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Un gentil garçon – Chapitre 5

Un gentil garçon - Chapitre 5



Ce fut avec un immense soulagement que je revêtis mes vêtements. Ma sur allait prévenir ma mère et ma tante de l’évolution de ma queue. Restait à attendre leur décision. Quelques minutes plus tard, mes trois maîtresses entrèrent dans la cuisine. Ma mère parla la première:

«Selon ta sur, tu aurais pris de la bite. C’est bien mais ta tante et moi souhaitons d’abord voir ton engin avant de prendre une décision. Déshabille-toi, esclave.»

J’obéis à l’ordre de ma mère et me dévêtis rapidement, tout excité et fier de dévoiler mes progrès. Je fis descendre mon boxer le long de mes jambes et exhibai ma queue à ma mère et à ma tante sous le regard fier de ma sur. Les deux femmes semblèrent contentes de mon sexe. Ma mère demanda à ma sur:

«Elle mesure combien, tu as dit, Lily?»

«16,3 cm, maman.» lui répondit ma sur.

Ma mère regarda tour à tour ma tante et ma sur pour prendre conseil. Ma tante ne semblait pas savoir quoi conseiller à ma mère. Ma sur, elle, semblait réfléchir. Elle s’approcha de ma mère et lui chuchota quelque chose à l’oreille. Ma mère hocha la tête d’un signe affirmatif. Ma sur alla ensuite dire la même chose à ma tante qui eut la même réaction que ma mère. Quelle que soit l’idée de ma sur, elles étaient toutes les trois d’accord. Ma mère m’annonça le verdict de leur conseil:

«Nous avons réfléchi avec ta sur et ta tante. En voyant que tu avais pris de la bite, nous avons décidé de ne plus t’humilier. Cependant, tu restes notre esclave et tu dois toujours nous appeler "Maîtresse Nathalie", "Maîtresse Rosalie" ou "Maîtresse Lily". Nous t’avons fait passé du statut de pute soumise à celui d’étalon sur demande. Ça veut dire que tu devras nous baiser ET nous faire jouir à chaque fois que nous te le demandons sans discuter. Poursuis tes masturbations et nous verrons dans un mois où ça en est. En attendant, obéis-nous au doigt et à l’il. Maintenant, va baiser ta sur. Comme c’est elle qui a eu l’idée de faire de toi notre étalon, c’est elle que tu vas baiser en premier.»

Sans dire quoi que ce soit, je laissai mes vêtements sur le sol de la cuisine et suivis ma sur jusque dans sa chambre. Lorsque nous fûmes tous les deux à l’intérieur, ma sur ferma la porte à clé. Elle se retourna ensuite vers moi et me dit:

«C’est l’occasion de faire tes preuves, petit frère. Fais-moi jouir maintenant que tu as bite suffisamment grosse pour cela. Mais je te préviens, si tu ne parviens pas à me faire jouir, je dirai à maman et à tante Rosalie que tu es un mauvais amant et tu seras à nouveau notre pute. Compris, esclave?»

Je hochai affirmativement la tête. Alors ma sur se déshabilla lentement, me laissant admirer son corps au fur et à mesure qu’elle enlevait ses vêtements. Lorsqu’elle fut totalement nue, elle se coucha sur son lit et me fit signe de la rejoindre. À peine eus-je mis mes genoux sur le lit que ma sur m’attira à elle et me roula une pelle magistrale que je lui rendis instinctivement. Ce baiser me semblait un encouragement. Plus sûr de moi, je laissai mes mains se balader sur le corps de ma sur. Tout était agréable à toucher chez ma partenaire. Ses seins étaient bien gros et bien ronds bien qu’un peu aplatis par la position. Sa chatte était douce et chaude. Quant au reste de son corps, ma sur avait des formes à séduire le diable. J’avais toujours songé à la première fois que je ferais l’amour et à la fille avec laquelle je partagerais ce moment. Bien qu’elle n’ait pas de visage précis, je la voyais toujours très belle et très bien faite. Mais je n’aurais jamais imaginé que cette fille soit ma sur. Ce que je ressentais? Un mélange de honte et d’excitation. J’avais honte car l’inceste est immoral mais j’étais excité par l’extraordinaire beauté de ma sur. Mon excitation fini par avoir le dessus sur ma honte et je me décidai enfin à baiser ma sur. Je décollai ma bouche de la sienne et promenai ma langue tout le long de son corps en insistant sur ses seins et son nombril jusqu’à ce que j’arrive à son intimité. Je léchai avidement la cyprine qui coulait de ce sexe de femme aimante et dominatrice. Ma sur plaqua ma tête contre son sexe et m’incita à continuer ma lèche.

«Hum. C’est bon… Continue, petit frère! Je mouille!!! Lèche-moi, BAISE-MOI!!!!»

À ces mots, je me mis à lécher la chatte de ma sur comme un possédé. Ma sur jouissait sous mes coups de langue et la cyprine coulait à flots de son sexe. Après avoir bu toute la boisson que ma sur m’offrait, je remplaçai ma bouche par ma queue. Je caressai la fente de ma sur de mon gland en savourant le moment fatidique où l’on pourrait officiellement qualifier notre relation d’ "incestueuse". Je m’enfonçai ensuite dans son sexe et entamai une série de puissants va et vient qui la firent crier de plaisir. Voyant l’effet que je faisais à ma sur, je poursuivis mes va et vient plus fort encore. Ma sur hurla de plaisir et s’accrocha à mon dos en s’agitant sous mon corps.

«OH OUI, PETIT FRÈRE!!! CONTINUE, J’ADORE!!!! BAISE-MOI, DÉFONCE-MOI!!!!»

Excité par ses paroles, je me retirai de sa chatte et introduisis immédiatement ma bite dans son cul dans lequel je me fis un plaisir de m’enfoncer. Comme dans la chatte, je fis une série de puissants va et vient qui firent frissonner ma sur de plaisir.

«HUM!!! OH PUTAIN, J’ADORE!!! CONTINUE, PETIT FRÈRE!!!! DÉFONCE-MOI BIEN LE CUL!!!!!! »

Je poursuivis mes pénétrations durant une dizaine de minutes encore avant de sentir le sperme monter en moi.

«OHHHHH!!!!!! VOUS ÊTES TROP BONNE, MAÎTRESSE LILY!!!!!! JE VAIS JOUIR!!!!!!!!»

Je me retirai de son cul et me mis à me branler pour faire sortir mon jus tandis qu’elle se couchait sur le dos et comprimait ses seins pour m’inviter à jouir dessus. Dans un dernier râle, j’éjaculai sur la magnifique poitrine de ma grande sur. Apaisé et épuisé par la jouissance, je m’allongeai à côté de ma sur.

«Bravo, petit frère! Tu as été un superbe amant! Au fait, tu peux m’appeler grande sur quand on est entre nous. Tu as bien dû te rendre compte que je t’ai appelé petit frère durant toute la baise. Bon, maintenant, rhabille-toi et attends les ordres. Je t’aime, petit frère.»

Et c’est avec la complicité et l’amour de ma sur que j’allai me rhabiller et attendre les ordres.

La suite dans le prochain épisode

Marc

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