REPRISE DES RÉVISIONS
— Papa, cet après-midi je vais chez Martine.
— Encore ?
— Mais je te lai dit, nous avons lhabitude de réviser ensemble tous les mercredis.
— Son frère sera là ?
— Peut-être. Il a souvent sport, il nous rejoint en milieu daprès-midi.
— Leurs parents sont là jespère ?
— Non, ils travaillent.
— Ça ne me plaît quà moitié. Quel âge ont-ils ? Comme toi ?
— Ils viennent juste de fêter leur dix-huitième anniversaire.
— Cest bien avec ce garçon que tu as fait lamour pour la première fois ?
Annie scrute le visage de Lucien. Lui ferait-il une crise de jalousie ?
— Et après ? Jaime bien François.
— Ce nest pas correct que vous voyez seuls !
— Dabord on nest pas seuls, Martine est là, ensuite tes mal placé pour me faire la morale !
Elle enfile une veste, un manteau, prend ses affaires et claque la porte.
— Non mais ! Quest-ce quil se croit !
La vie à la maison après quelques tâtonnements sest organisée. Une femme de ménage vient le matin pour nettoyer et préparer le dîner pour le père et la fille. Chacun prend le repas de midi séparément, au lycée pour Annie. Ils se retrouvent le soir. Lentente sexuelle ne se dément pas. Annie est aux anges. La queue de son père lui procure jouissance et plaisir. Ils font plusieurs fois lamour, à leur retour, après le repas en regardant la télévision ou dans une chambre, mais elle refuse de passer la nuit entière dans le lit de son père. Une fois lexcitation de la jouissance retombée, elle le renvoie dans sa chambre, ou regagne la sienne. Malgré cette boulimie de sexe, les câlins de sa sur lui manquent et elle attend avec impatience le mercredi pour combler avec Martine sa fringale de caresses. Elle na pas osé inviter le frère et la sur chez elle depuis larrivée de monsieur Morel. François nest pas satisfait. Il avait pris ses habitudes avec la jeune fille et chez lui, cest le domaine de Martine. Annie aussi regrette le garçon. Il ne la faisait pas jouir comme son père, mais ses baisers et létreinte la laissaient dans un état second proche du plaisir parfait. Et puis maintenant que Lucien lui a fait découvrir lorgasme, pourquoi ne retrouverait-elle pas cette merveilleuse sensation entre les bras du frère de Martine ? Ou dun autre ?
François rattrape les deux filles qui rejoignent bras dessus bras dessous lappartement des jumeaux.
— Tas pas sport cet après-midi ? interroge Annie.
— Non, je révise avec vous, jai une importante interro demain.
Annie est déçue. La présence du garçon empêche Martine de se livrer totalement aux caresses féminines. Tout à lheure, elle devra assister une fois de plus à laccouplement du frère et de la sur. Lui est fébrile. En refusant de rejoindre ses copains au sport il a le secret espoir dinaugurer la caresse de la bouche sur le sexe dont a parlé Annie et quil na pas encore osé réclamer. Comment ça sappelle ? Fella quelque chose, croit-il se souvenir. Comment convaincre la jeune fille de la pratiquer ?
Martine et Annie déballent leurs affaires de classe. Elles ont hâte de terminer les révisions. François préfèrerait commencer tout de suite par les câlins.
— Quest-ce que tattends ? le gourmande Annie, je croyais que tavais interro demain.
— Oui, oui je my mets.
Il est forcé de travailler en même temps que les deux filles. Enfin Annie sétire. Cest le signal du début des caresses.
— On a bien travaillé, nest-ce pas ? plaide-t-il.
— Oui, concède sa sur. Heureusement que tétais là Annie, jaurais eu des difficultés avec ces dérivées. Jai compris maintenant.
Les deux filles se regardent lil mouillé. François naime pas cette partie des réjouissances dont il se sent exclus.
— Va nous chercher à boire, lui ordonne Annie.
Il sexécute de mauvaise grâce. A son retour, les filles ont ôté leur corsage. Elles sembrassent tout en caressant la poitrine. Annie abandonne la bouche pour téter les bouts de seins. Ses lèvres descendent sur le ventre, sa langue lèche la peau au fur et à mesure que la jupe glisse sur les cuisses. Comme Martine, à son habitude, ne porte pas de culotte, les lèvres sappliquent tout de suite sur le sexe.
— Aaah !
Annie sapplique à faire jouir son amie, la langue et les lèvres sur le clitoris, un doigt puis deux dans lorifice du vagin.
— Aaaaah !
Martine se tord sur sa chaise. François hausse les épaules. Cest du temps perdu ces gamineries entre filles. Il prend son mal en patience. Il sait quune fois la jouissance de sa sur atteinte, les deux filles iront dans la chambre où Martine rendra le même service à sa copine. Ce sera linstant de présenter à la bouche
Annie, allongée sur la couverture ferme les yeux. Entre ses cuisses écartées, Martine lèche consciencieusement le sexe humide. François ouvre sa braguette et sort sa queue. Deux ou trois coups de poignets, elle est raide à faire mal. Il lapproche des lèvres de la jeune fille. Une pensée traverse son cerveau : et si elle le mordait ? Mi-inquiet mi-confiant, il promène le gland sur les lèvres. Elle ouvre les yeux sur la verge à quelques centimètres de ses paupières.
— Oh !
— Quest-ce quil y a ? interroge Martine.
— Ton frère est un petit cochon Non un gros cochon qui veut que je le suce.
Elle sourit. Sil ny a que ça pour lui faire plaisir ! Elle attrape la tige à la base, arrondit les lèvres et introduit le gland dans la bouche.
— Aah !
Quelle sensation ! Une décharge de plaisir secoue le garçon.
— Oh ! Tu le fais ? sétonne Martine.
— Et alors ? rétorque-t-il. Elle ta bien léchée tout à lheure !
Annie retire le sexe le temps dintimer à Martine lordre de continuer ses caresses. Tour à tour, elle avale la tige qui lui chatouille la glotte, ou la sort pour lécher lextérieur puis reprendre le gland quelle mordille entre ses lèvres. François est aux anges. Il en oublie de résister, de contrôler léclosion de la jouissance pour la faire durer.
— Aah ! Aaah ! Aaaah !
Annie avale consciencieusement le sperme. Elle trouve quil a meilleur goût que celui de son père.
Martine est un peu jalouse. Ici, chez elle, François est sa chose. Personne dautre na le droit de le faire jouir !
— Ça y est ? Cest fini ?
Annie se lève en souriant pour aller se rincer aux toilettes. A son retour, François est dévêtu. Le frère et la sur sembrassent à pleine bouche. Annie bien quelle meure denvie de faire lamour avec le garçon, ne veut pas faire de peine à son amie et laisse les jumeaux sétreindre. François qui a rapidement récupéré est en grande forme. Martine aussi. Tour à tour ils prennent le dessus. Annie samuse à caresser le cul de celui ou celle qui domine complétant par lintroduction de lindex dans lanus du garçon
Martine et François ont passé une robe de chambre et Annie sest rhabillée. Elle sait quaprès son départ, avant le retour des parents, le frère et la sur se calmeront par une étreinte supplémentaire. Elle nest pas jalouse, Lucien est à sa disposition. Elle ramasse ses cahiers.
— Dis Annie ? interroge Martine. Pourquoi tu veux plus quon aille chez toi ?
— Oui pourquoi ? renchérit François.
— Ma sur nest plus là. Cest mon père qui est revenu à la maison.
— Et alors ?
Oui alors ? Pourquoi Lucien naccepterait pas ce que Sylviane tolérait ? Annie hésite. Son père sera plus difficile à leurrer que sa sur. Que dira-t-il sil découvre leurs jeux ? Elle soupire. Elle aussi a envie de François.
— Je lui demanderai, je promets rien.
Elle quitte ses amis en les embrassant ensemble.
Martine referme la porte.
— Viens maider à ranger, puis il faut shabiller.
— Oh y-a pas le feu ! On a le temps ! réplique son frère en enserrant sa sur par derrière.
Il défait la ceinture de la robe de chambre. Une main remonte sur la poitrine, lautre descend vers le ventre et sinsinue entre les cuisses serrées.
— Veux-tu !
Le doigt insiste.
— Aah !
— Tu vois, tas envie !
Oui, elle a envie Non ! Elle ne veut pas recevoir la queue dans le ventre, plus maintenant, plus aujourdhui. Elle repousse son frère dun coup de cul.
— Tu mas fait lamour tout à lheure.
— Cétait pas bien ?
— Si mais ça suffit pour aujourdhui !
— Dis, Martine ? Et si on se caressait ?
La surprise rend la fille muette. François explique.
— Oui, je vois bien comme vous faites Annie et toi, lune sur lautre quand vous vous léchez le minou.
— Mais nous sommes deux filles !
— Et alors ?
— Tu veux que je
— Oui, suce-moi, je te lècherai pendant ce temps.
Martine ny avait jamais pensé. Lidée fait son chemin. François lentraîne dans sa chambre. Il la couche sur le lit écarte la robe de chambre. Il essaye de se souvenir des images aperçues sur Internet. Il sinstalle à quatre pattes au-dessus de sa sur. Il est ému. Il connaît le sexe de Martine, il y a souvent mis le nez mais cest la première fois quil va y mettre la langue. Ses doigts découvrent le bourgeon du clitoris, insistent sur lexcroissance. De son coté, Annie empoigne la verge. Elle la manipule, la décalotte sans oser lapprocher des lèvres.
— Prends-la en bouche, ordonne François.
— Toi aussi alors.
Un petit coup de langue timide, puis Martine se lance et introduit le gland.
— Aah !
— Ne moublie pas ! réclame-t-elle.
Il mordille le bouton de chair. Martine frémit. Elle aspire la tige. Ça lui fait drôle de sucer lengin qui, il y a quelques minutes senfonçait là où François maintenant introduit le doigt. Les deux jeunes gens se caressent avec application, attentif à savourer les nouvelles sensations. La jeune fille est tout étonnée dapprécier la grosseur qui déforme sa bouche pendant que François découvre la saveur douceâtre des sécrétions de sa sur.
— Argh ! Rheu !
Martine bouscule son frère qui a déchargé sans prévenir. Elle fonce dans la salle de bain à la stupéfaction du garçon qui la suit inquiet. Que sest-il passé ?
— Espèce de salaud ! Cest dégueulasse ce que tu mas fait ! linjurie-t-elle après sêtre rincée la bouche. Tu pouvais pas te retenir ?
François ne comprend pas. Annie tout à lheure avait reçu sans broncher lémission de sperme. Comment a-t-elle fait ? Aurait-elle avalé ?
— Excuse-moi
— Préviens-moi la prochaine fois.
La prochaine fois ? Ouf ! Martine ne lui en veut pas. Elle recommencera mais il prendra ses précautions, promis. Peut-être Annie consentira-t-elle à convaincre sa sur davaler ? En attendant, il est temps de se préparer au retour des parents. Les deux adolescents shabillent. François sourit quand Martine soulève la jupe sur ses fesses nues pour tirer sur son chemisier.
(A suivre)