Cela fait des mois que cela me travaille, ce lieu a quelque chose de très glauque mais m’attire terriblement : C’est l’aire de repos de l’autoroute près de chez moi.
Cela fait des mois que je m’arrête pour faire "une pause" en rentrant du travail … Bien confortablement assis dans ma voiture j’observe discrètement : J’ai pu voir des pères de famille se garer avec leur monospace pour aller aux toilettes … et bifurquer au dernier moment vers les bois !
Une fois j’ai vu un petit jeune se garer avec sa polo et se rendre avec un déhanché des plus évocateur vers les toilettes … Suivi de près par un cinquantenaire bien décidé !
Bref ces "pauses" ou plutôt ces instants de voyeurisme soft, bien que des plus glauques, m’ont bien travaillés le bas ventre. C’est ainsi qu’un soir un peu plus chaud que d’habitude je suis rentré du travail avec un préservatif et du gel dans la poche …
C’est fou comme je tremblais en me garant ce soir-là ! il y avait quelques voitures sur le parking, un peu d’activité à l’arrière des toilettes mais celles-ci paraissaient vide. Après avoir pris une grande respiration je me décidais à sortir et me dirigeais vers les toilettes. En arrivant aux urinoirs, j’ai sorti mon sexe et j’ai fait semblant de faire pipi. Personne, ouf, le courage commençait vraiment à me manquer et je remballais le matériel à toute vitesse. C’est à ce moment-là que j’ai entendu un "et pssst" sortir des toilettes turcs. Mon cur a bondi dans ma poitrine et en un instant j’étais entré dans les WC !
Il fait sombre ici. L’homme qui se trouve là est de type maghrébin. C’est un beau gosse d’1 m 75 qui doit avoir entre 25 et 30 ans. Il a une petite moustache bien entretenu. Son sexe est sorti et bien bandé. Il me regarde droit dans les yeux puis son regard descend vers son pénis. Le message est clair, il ne s’est pas passé 5 secondes depuis mon entrée. Je pense que cela va suffire pour une première fois, ce type est bien membré ! Son sexe doit faire dans les 20 centimètres et a un bon diamètre.
Je le regarde à mon tour dans les yeux, j’ai bien compris, je m’accroupi en face de lui et je prends son sexe par la hampe du bout des doigts. il est chaud et soyeux. Là je suis réellement troublé et j’approche ma bouche de son gland. Je me mouille les lèvres et commence à le prendre en bouche. Son gland est bien prononcé, sa couronne est large. Ma langue s’attarde un peu dessus et puis je fais un premier mouvement de va et vient dans ma bouche. Nous nous regardons dans les yeux. Ma main passe sur son abdomen. Il est bien dur, musclé. Il me touche la tête gentiment, m’incitant à accélérer la cadence, ce que je fais. C’est agréable. Au bout de 2 ou 3 minutes, il se retire et me dit :
— Maintenant je tencule
— ????
Je pensais bien que c’était la suite logique mais cela me laisse sans voix !!!
— Maintenant je tencule
— Je ne sais pas si cela va aller, …
— c’est pas grave … je tencule.
Bon ben vas-y alors…
Je me relève et fait descendre mon pantalon, mon slip. Je sors de ma poche le préservatif et le passe sur son sexe. Je sors le gel et lui lubrifie bien le gland, la hampe. Je passe le reste sur mes fesses. Je me mets dos à lui et me penche vers l’avant pour lui signifier que je suis prêt.
Je sens son gland se poser à coté de ma rondelle, il tâtonne. Je l’aide, je prends son sexe et le pose sur mon petit trou. Je pousse légèrement, lui s’avance et son gland rentre d’un coup. Je n’ai pas pu m’empêcher de pousser un petit râle. Je n’ai pas mal mais sa bite est quand même grosse et le reste passe difficilement, il pousse doucement et moi je m’accroche à la poignée des toilettes. Petit à petit, mon étalon prend confiance en même temps que mon cul s’adapte à son phallus.
Ce traitement n’est pas très long et au bout de quelques minutes il se colle contre moi, son ventre sur mes fesses et ses testicules contre les miennes. Je sens ses spasmes pendant qu’il se libère en moi.
Il se retire, je me retourne et le regarde dans les yeux. Je remonte mon slip, mon pantalon, nous nous faisons un sourire et je sors des toilettes. En arrivant dans ma voiture, je me rends enfin compte de ce que j’ai fait. Et je dois avouer que cela m’a vraiment plu …