…Aujourd’hui, j’accompagne mon père au sex-shop qu’il fréquente régulièrement. Je suis maquillé, je porte de faux cheveux longs, lisses et noirs, des escarpins de couleur identique, une jupe également noire, cintrée, et un chemisier très échancré qui laisse paraître ma poitrine artificielle. Je fais vraiment pute et femme car mon père se plait à m’embrasser en me caressant le cul devant ma mère, avant de partir, déjà très excité…
Mon entrée, bien que discrète dans le magasin, est remarquée. Deux types d’âge mûr qui rodent dans les rayons m’ont réellement pris pour une jeune femme avenante et ont l’air, de par leurs regards insistants, de me trouver à leur goût. Ils doivent me supposer soumise en raison du collier de chienne que j’ai autour du cou. Papa dirige et je le suis, au coeur du rayonnage et des étals labyrinthiques de dvd pornographiques qui constituent tout le rez-de-chaussée de la boutique, vers les films bisex qu’il regarde avec application. Je demeure à ses côtés, immobile et muet. Sage comme l’image de la femelle docile qu’il veut que je donne de moi. Timidement, le vieux cochon qui me tourne autour depuis quelques instants se met à me coller. Devant mon absence de réaction, il devient vite plus entreprenant. Mon joli corps fluet associé au parfum de femme sensuelle qui émane de ma personne l’émoustille. Il fait mine de lire la pochette d’un dvd en se tripotant l’entrejambe. Puis, je sens une main discrète venir me caresser les fesses. D’abord furtivement, puis de façon plus durable. Ce salaud a sorti un morceau énorme de son fond de braguette et me l’exhibe maintenant sous le nez. J’ai à peine le temps d’admirer l’engin, qu’il m’a, sans plus attendre, saisi par la nuque pour me forcer à me pencher entre ses jambes. Sans un mot et sans opposer la moindre résistance, je le laisse me fourrer son gros champignon odorant dans la bouche. Son pote, dont je subis aussi les attouchements, s’est aperçu de sa méprise. Mais, au lieu d’en paraître vexé, il décide de me soulever la jupe afin de mater et de palper plus à son aise:
_C’est mon fils, lui murmure-t-on à l’oreille.
Le type bedonnant qui me tâte la croupe n’en revient pas. Je le sens me doigter énergiquement le cul pendant qu’il me lèche les couilles, agenouillé derrière moi. Papa en profite pour se faire humidifier la queue à l’air par la bouche gourmande du gars dont la face est à la bonne hauteur. Je suis branlé par le vieux qui pompe papa tandis que je tète, avec bonheur, le gros chibre de son collègue, aux anges. Les mains baladeuses et les caresses perverses vont bon train. Dans le rayonnage, la chaude ambiance improvisée tourne à la partouze entre hommes. Celui que je suce ne se contente pas de mon orifice buccal pour se faire du bien. Je me tiens aux cuisses de mon père pour ne pas chavirer pendant les gros coups de boutoir qui me sont maintenant assénés. Je suis pris en sandwich comme un sac… Papa me baise la gueule pendant qu’on me farcit copieusement l’arrière-train. Le troisième larron se contente de mater et de toucher, faute d’un troisième trou pour se mettre au chaud. Il attend, sans doute, que son copain se les vide en moi, pour voir ça de très près….
A suivre…
