Esther ne rentrât que tard dans la soirée, elle me trouvât endormi sur le canapé du salon. Elle était le maire de son village et avait souvent des conseils municipaux sans fin.
Elle me réveillât en me caressant la joue:
" tu t’es bien reposé, mon bébé, je suis exténuée, sers moi un verre et regardes, je t’ai acheté quelques vêtements, ça devrait t’ aller."
Je la remerciais et jetais un coup dil sur les affaires, des polos, des chemisettes, deux pantalons à pince et deux bermudas, très classique, bourgeois décontracté.
" Je peux les essayer "
"Plus tard sers moi une vodka, d’abord "
Je répondis:
" bien, madame, sans glace ou avec?"
"Avec!"
Je lui tendis son verre, elle le prit sans aucun signe de remerciement.
"Enlèves moi mes escarpins, je souffre le martyre et sois gentil masse moi les pieds";
Assises sur le canapé je me mis à ses pieds et toujours nu je lui ôtais délicatement ses chaussures, Je massais le premier pied à travers ses bas quand je sentis son autre pied se poser sur mon sexe et se frottait sur lui.
Je ne pu m’empêcher de porter son pied à ma bouche et après quelques baiser je suçais son gros orteils, elle appréciait et m’encourageait.
"quel pervers tu es, regardes moi, j’adore te voire comme ça à mes pieds, en train de les baiser dis moi que tu es à moi, que tu veux être mon toutou obéissant!"
"Oh , oui je veux être ton toutou, je ferai tout ce que tu désires!"
"tout?"
"oui je suis à ton service".
"Bien, recules, je vais aux toilettes je me retiens de pisser depuis une heure, à moins que tu ne désires boire le nectar de ta maîtresse?"
"Oui , s’il te plaît j’en ai très envie".
" Bonne réponse!
" Tu aimes ma pisse?"
" oh oui, j’aime ça!"
" Tu me fais mouiller, j’ai tiré le gros lot avec toi petit vicieux, allez mon cochon colle ta bouche sur ma chatte, viens bois, régales toi."
Elle contrôlait son jet et j’avalais chaque goutte, Esther semblait jouir de me voire ainsi apprécier son nectar.
Lorsqu’elle eu fini elle saisit ma tête à deux mains et se frottât énergiquement la vulve sur mon visage, le jet abondant de cyprine me confirmât l’orgasme puissant qu’ Esther accompagnait d’un long râle. Elle reprit ses esprits et me dit d’aller prendre une douche, elle voulait se coucher.
Je me suis débarbouillé et après une douche rapide j’ai rejoins Esther dans le lit.
" Viens me téter, mon bébé!"
Je me plaçais sur elle, elle écartât ses grosses cuisses et je mis a sucer et mordiller ses gros tétons, puis elle m’a attiré pour que je m’introduise en elle. Son sexe était trempé et je prenais un plaisir fou à baiser cette vieille chatte.
Esther, comme la veille se saisit de mes fesses et s’en occupât, caresses, coup de griffes et petites claques alternaient.
" vas y baise moi, baises moi bien, cochon, honores ta maîtresse, voilà c’est un bon garçon ça, il fait du bien à sa maman!"
Je la limais et sans prévenir la jouissance m’a submergée, j’ai joui dans un grognement sourd.
Ce n’était pas du goût d’Esther, elle n’avait pas joui.
"Espèce de petit salaud tu crois que tu vas me laisser comme ça, ah non alors !"
"Lèches moi et finis le travail, allez dépêches toi!"
J’y suis allé de bon grès, après tout ce n’était pas la première fois que je goûtais mon sperme.
Je me suis mis à lui dévorer la chatte, j’ai pris son gros clito entre les lèvres et je l’ai littéralement sucer comme une mini bite, elle haletait, je sentais ses cuisses me compressait, son corps entier se convulsait de plaisir.
"Non mais quel cochon, oh oui tu me lèches bien, continues tu me fais jouir, oh que c’est bon, mon dieu."
"Continues lèches moi, encore oui comme ça, tu t’occupes bien de mon clito, tu me fais jouir bébé."
Elle a joui comme à son habitude dans un torrent qui inondait ma bouche, elle m’a gardé longtemps dans cette position je l’ai léché une bonne partie de la nuit .
