DEUX PETITES SALOPES
Dany semblait sidéré, sidéré par la violence de mes propos, sidéré par l’aveu que je venais de lui faire, sidéré par cette proposition …
Il s’est approché de moi, m’enlaçant tendrement et me plaquant à lui.
Je suis désolé, me dit il. Quand je vous ai vues comme ça, je ne sais pas ce qui m’ a pris.
De vous voir offertes aux deux chiens, de l’entendre crier…..
Quelque chose à changé depuis qu’elle elle là, je ne comprenais pas ce qui se passait.
Elle, toujours si pudique quand elle venait avec Jacques, qui se cachait dans des vêtements informes, se balade maintenant presque nue.
Tu as vu l’autre jour, quand elle s’est faite bronzer devant nous : elle avait roulé sur ses hanches le bas de son maillot, à la limite de l’indécence. Elle l’aurait enlevé, elle n’aurait pas été plus suggestive. C’était comme un appel au viol !
Et toi, chaude comme de la braise, qui n’arrête pas de me parler de ses fesses, de ses seins, de son ventre, quand on fait l’amour, comme pour me donner plus envie ..
Toute la semaine,j’ai rêvé de toi, de vous …. J’ai taché les draps plusieurs fois à l’hôtel.
Les femmes de ménage doivent se demander ce que je fais de mes nuits !
Mais… pas question que je touche à une autre femme, pas question que je la touche elle, ta petite soeur !
Tu étais jalouse comme une tigresse. Propriété exclusive, ton mec !
Mais toi tu avais le droit de prendre du plaisir ailleurs, tu comprends que ça me foute en rogne !
Reconnais que tu es une belle salope, ….. mais je crois que c’ est comme ça que je t’aime, je crois même que c’est pour ça que je t’aime .
Il a posé ses lèvres sur les miennes et nous avons échangé un long baiser.
Il s’est tourné vers Lucie qui baissait la tête, attendant la suite .
Bon, tu le sais maintenant,, j’ai envie de toi depuis longtemps, mais pas question : Ta soeur me voulait sa propriété exclusive, et puis il y avait Jacques.
Et tu jouais la timide, l’effarouchée, la pudique, toujours cachée sous des vêtements larges .. Pas touche quoi !!
Alors, quand je t’ai vu tout à l’heure, je crois que je suis devenu jaloux.
Moi je n’y avait pas droit, mais lui si, dit il en désignant Caramel.
Je trouve que sous tes airs de sainte nitouche, tu es quand même une sacrée petite pute toi aussi, que vous formez une belle paire de salopes !
Mais tu vas voir, je saurais te faire l’amour, tu crieras peut être moins fort qu’avec ton chien, mais je te donnerais du plaisir longtemps, longtemps et tu aimeras ça.
Leurs visages se sont rapprochés, et quand il a pris ses lèvres, elle a fermé les yeux, répondant à son baiser avec fougue, plaquant son ventre contre le sien, déjà offerte.
Ils se sont séparés, et un silence pesant est tombé sur la pièce …
Bon, je crois qu’on a du boulot, dis je en désignant ses valises qui trainaient dans l’entrée, le canapé ravagé par nos ébats..
Oui, tu as raison, je vais me reposer un peu au soleil, reprendre mes esprits.
Mais je prendrais bien un café, dit il en s’éloignant, nous laissant seules .
Lucie ne bougeait pas, semblait contrariée.
Ca ne vas pas ? dis je.
Tu m’as offerte à lui, me dit elle.
Oui, je ne pensais pas faire ça un jour, moi la possessive, l’exclusive ..
Mais toi, ce n’est pas pareil, tu es ma soeur, je t’aime, et nous partageons tant de secrets..
Et puis tu as entendu ce qu’il t’a dit : Il te désire depuis longtemps déjà. Nous en parlions quelques fois, quand nous faisions l’amour.
Il me parlait de tes fesses, de tes seins, mais je croyais que ce n’ était que pour pimenter nos jeux amoureux.
Et c’est un beau cadeau, non, ? Offrir à son chéri la femme qu’il désire depuis si longtemps !
Surtout quand celle ci en meurs d’envie !
Quand il t’a embrassé tout à l’heure, tu te plaquais à lui si fort, j’ai cru que tu allais lui demander de te faire l’amour tout de suite, là, sur le canapé .
Regardes tes seins, ils sont gonflés de désir, je suis sûre que ta chatte est trempée !
Oh, dit elle en écartant ma main .
C’est pas vrai peut être ? S’il avait voulu te faire l’amour, tu te serais enfuie en courant, c’est ça ?
Oh non, j’en avais tellement envie,…… mais j’ai honte .
T’as honte de quoi, m’étonnais je ?
Parce que c’est ton mari, que j’ai envie de lui, et que j’aurais honte de faire l’amour avec lui devant toi.
C’est comme si je prenais ta place, que je te le volais ….
Tu as entendu ce qu’il a dit, il veut que nous soyons ses deux petites femmes, ses deux petites putes plutôt comme il a dit !
Je lui ai promis que nous lui obéirions.
Alors, il prendra celle qu’il voudra quand il voudra.
Et l’autre attendra son tour, sans jalousie, en petite femelle obéissante.
En plus, je crois que j’adorerais t’entendre gémir sous lui, alors, tu vois, tu n’as pas a avoir honte ..
Et puis, tu sais, je connais chaque parcelle de son corps, je connais les caresses qu’il adore, et toi, il meurs d’envie de caresser tes seins, ta peau, de s’enfoncer dans ton ventre…
Tu vas aimer.
Et lui, il aura du mal à choisir, à préférer l’une de nous deux !
Allez, vient, notre maître attend son café dis je !
On lui a fait le grand jeu : service en porcelaine blanche, sucre, lait,.. tout ce qu’il aimait.
Lucie , portant le plateau s’est agenouillée devant lui, déposant son précieux fardeau sur la table basse.
J’ai servi délicatement le breuvage, lui tendant sa tasse, la tête basse.
Ouaahh, vous voyez que vous pouvez être charmantes quand vous voulez !
Il a siroté son café lentement, ses deux petites femelles agenouillées devant lui, soumises.
Puis il m’a tendu sa tasse en déclarant : depéchez vous de ranger la maison et je vous emmènes faire un tour en ville.
On s’est activées, et très vite la machine tournait, les coussins reprenaient forme, le carrelage brillait .
On lui laisse choisir nos tenues, proposais je ?
On s’est présentées devant lui : Elle en short et top blanc, moi en robe noire, sexy, juste comme il faut .
Tu préfères quoi ? Deux petites putes ou deux bourges sexy ?
Tournes un peut demanda t’ il à Lucie .
Tu l’as cousu sur toi, c’est pas possible, lui dit il en caressant ses fesses .
Se tournant vers moi, il me détaillait en silence.
Les deux petites putes méritent d’aller trainer à T ( grande ville à 100 km de chez nous ) alors, va pour les petites ménagères sexy, dit il.
On est entré dans la maison : Lucie à enfilé sa robe en coton blanche, lui, un jean et un polo de sport, puis on s’est glissés dans la voiture, nous à l’arrière, laissant le maître seul au volant.
On s’est baladé en ville, admirant les vitrines, et nous sommes arrivés devant une boutique de fringues.
Tu sais, ce serait bien si Lucie avait la même robe que moi, murmurais je à son oreille.
Il est entré le premier, et nous l’avons suivies, accueuillis par un vendeur souriant, un peu maniéré, un peu efféminé.
Nous voudrions la même robe pour mademoiselle, dis je.
Bien sûr, suivez moi, nous dit il en se dirigeant vers les rayons.
Il jaugeait Lucie d’un regard connaisseur, écartant certaines robes, puis nous en tendit une en disant : celle ci devrait lui aller.
Avez vous aussi ce modèle d’escarpins ?
Bien sûr, je vais les chercher pendant que vous essayez la robe.
J’ai poussé ma soeur vers une cabine. Elle s’est dévêtue, enfilant à même la peau la petite robe.
Elle lui allait parfaitement. Ce vendeur avait l’oeil !
Elle est sortie de la cabine, il était déjà là, lui présentant les escarpins.
Bien cambrée sur ses talons, le tissu noir épousant parfaitement ses formes, elle irradiait.
Elle était faussement sage, terriblement sexy.
Je la trouvais ………. diablement désirable !
Vous la gardez sur vous, demanda t’ il ?
Venez, suivez moi, je vous enlève les étiquettes .
Pendant que Dany réglait la note, il est parti vers la cabine, revenant rapidement présenter à Lucie un grand sac en papier entrouvert : Sa robe y était, avec, sur le dessus, sa petite culotte soigneusement pliée.
Coquin, le monsieur, peut être pas si efféminé que ça, en fait !
Nous avons continué notre promenade.
Lucie marchait en retrait. J’ai lâché la main de Dany, l’ai rejointe et lui ai glissé à l’oreille : Tu sais, maintenant nous sommes ses petites femmes, toutes les deux .
Prends lui la main, le bras, montre lui que tu lui appartiens, ça lui fera plaisir .
Elle s’est avancée, leurs doigts se sont croisés. Dany serrait ma main plus fort maintenant..
Nous nous sommes installés à la terrasse d’un café.
Je me suis penchée en avant pour ramasser le briquet que Dany venait d’échapper, écartant les jambes pour le récupérer plus facilement.
Ma robe est remontée brusquement, découvrant mes cuisses bronzées.
Un air frais est venu caresser mon intimité . C’était délicieux !
Je m’ouvrais insensiblement pour mieux sentir cette caresse, repoussant encore un peu plus loin le tissu de ma robe.
Je me suis tournée vers Lucie qui regardait mes cuisses, fixement.
Soudain, elle a souri et croisé ses jambes très haut, repoussant le tissu vers son ventre, à la limite de l’indécence.
Elle s’en est aperçu et a reposé un pied sur le sol, serrant ses cuisses, mais le tissu restait bloqué la haut, tout en haut, à la naissance de son ventre.
Le garçon était là pour prendre notre commande.
Ses yeux sont tombés sur le spectacle que nous lui offrions, il a semblé bloqué .
Incapable de noter notre commande qu’il nous a fallu répéter deux fois au moins !
Et quand son regard a croisé le mien, je n’ai pas baissé les yeux, lui offrant mon plus joli sourire pour le déstabiliser plus encore.
Puisque mon homme avait décrété que je n’étais qu’une petite salope, autant l’être, non ?
Et puis, je venais de m’apercevoir que j’aimais ça .!!
Troubler un inconnu à notre première rencontre …..
J’essayais d’imaginer ce qu’il devait penser .
Et s’il revenait avec une grosse bosse sous son pantalon ?
Ou mieux encore, une petite tâche à coté de sa braguette ??
Il est revenu rapidement, manquant de renverser les verres tant il semblait troublé, trop intéressé par nos cuisses généreusement offertes.
La serviette qu’il portait sur le bras m’ empêcha de voir sa braguette.
J’étais déçue !
Puis il s’est mit a passer et repasser devant nous, débarrassant une table qu’il revenait essuyer, prenant des commandes qu’il livrait rapidement, bousculant parfois un client qu’il n’avait pas vu, uniquement intéressé par ces deux petites clientes.
Lucie sirotait doucement son verre, jetant un regard innocent autour d’elle.
Moi, je soutenais sans ciller le regard indiscret des ces mecs qui passaient devant nous, les cuisses entrouvertes, le ventre doucement caressé par l’air chaud.
Du bonheur, rien que du bonheur !
Dany avait raison : nous étions deux petites salopes !!
Je croisais quelquefois son regard et nous échangions un sourire complice.
Il avait vu et semblait apprécier.
Il a tendu un billet au garçon qui repassait une nouvelle fois.
Le pauvre homme calculait et recalculait, cherchant la monnaie…. quand je me suis levée, réajustant ma tenue.
Lucie faisait de même, en bonnes épouses soucieuses de préserver leur pudeur.
Il devait être frustré, mais c’était le jeu !!
En regagnant la voiture, Dany nous enlaçait par la taille.
Pour un peu, on voyait vos culottes, fit il tout à coup.
Nos culottes, nos culottes, t’as montré ta culotte Lucie, demandais je ?
Oh, fit elle en haussant les épaules, ça m’étonnerait qu’ils aient vu ma culotte.
Impossible ajouta t’ elle, énigmatique .
La main de Dany descendait doucement sur mes fesses, cherchant l’objet.
Tu peut chercher, il en existe maintenant de si fines, sans coutures, si légères, qu’on a l’impression de ne rien porter.
C’est comme si on avait oublié d’en mettre une !
Et puis, il y a des strings, ajouta Lucie, et la petite ficelle est bien cachée.
Tu peut chercher !
J’ai compris qu’il la caressait, elle aussi.
C’était son fantasme préféré : me savoir nue sous mes fringues.
J’ai l’impression que tu es totalement offerte, disait il. Cela l’excitait.
Alors, avec deux petites paires de fesses qu’il continuait à caresser, qui ne se refusaient pas même en pleine rue, il devait être dans un état !!!!
Nous sommes arrivés à la voiture sans qu’il ai résolu l’énigme : Culottes ou pas culottes ?
A la maison, nous nous sommes affairées à la cuisine, en bonnes ménagères.
Il trainait dans notre dos, les mains baladeuses, et nous le repoussions en riant.
T’as pas le droit, t’as pas le droit, on cuisine. Va voir la télé !
On verra tout à l’heure, après le repas, allez, du balai !
Il a fini par s’installer devant la télé et n’est venu nous rejoindre qu’une fois le repas prêt, le couvert mis.
Brutalement, l’atmosphère est devenue lourde, nous n’échangions que de brèves paroles, surtout nous, les filles, le dorlotant : Tu veut boire ? je te ressert ??
Pour un peu, nous allions nous installer derrière lui, les mains sagement dans le dos en attendant qu’il ai fini de manger.
Puis il est retourné devant la télé pendant que nous rangions.
Nous l’avons rejoint sur le canapé. Le film était commencé, je me concentrais pour essayer de comprendre l’histoire.
Lucie était agitée, remuant sans cesse.
Lui, le regard fixe regardait le film.
J’ai tourné la tête et j’ai vu : Lucie avait les yeux clos, le souffle court, et sa main, sa main à lui, qui caressait ses cuisses, jusqu’à cette touffe noire qu’elle lui tendait, la robe retroussée jusqu’au ventre.
Mon coeur s’est arrêté.
Il l’avait choisi, elle, m’ignorant totalement.
Mais c’était ma faute aussi, c’était moi qui la lui avait offerte, lui criant qu’il pourrait la baiser.
Et c’était moi aussi qui avait dit a ma soeur que nous étions siennes, qu’il serait notre maître, qu’il choisirait a son gré celle qui gémirait sous son ventre, et que l’autre devrait accepter, obéir, se soumettre !
Et cette caresse qui continuait, cette main qui remontait lentement, doucement, vers ce ventre qui s’offrait, hésitait puis repartait pour mieux revenir entre ces cuisses nerveuses qui se fermaient pour l’emprisonner, se rouvraient …..
Et lui, les yeux rivés sur la télé, continuait cette caresse, machinalement, reculant sa main quand le ventre s’offrait trop, ignorant ses soupirs de désir, comme pour lui signifier qu’elle n’était qu’ une petite pute, comme il nous avait qualifiées, qu’il était le maître, le maître de ses désirs, qu’elle n’aurait du plaisir que quand il en aurait décidé, lui, le mâle !
Elle s’est tournée vers lui, l’enlaçant, murmurant à son oreille : tu me donnes envie !!
Voilà, voilà ce qu’était devenue ma petite soeur si pudique : une femelle en chaleur, insatiable !
Qui s’était faite saillir en criant de bonheur par un chien brutal qui ne pensait qu’a se vider dans son ventre accueillant, qui, a genoux, la croupe offerte, avait reçu tout au fond de sa gorge les jets de sperme chaud de Dany, guettant le plaisir qu’il prenait, comme ces femmes soumises par un maître égoïste, prêtes à tout, même à s’avilir, pour ne pas qu’il les oublie, et qu’une simple caresse distraite suffisait à combler de bonheur !
Voilà ce qu’elle était devenue : une vraie pute, une salope, qui le réclamait en râlant devant moi, offerte, impudique ….
Je me suis levée d’un bond en disant : ce film est nul, je n’y comprend rien, je vais me coucher !
Je suis entré dans la chambre, sans un regard vers ces êtres chers qui allaient s’aimer.
J’ai retiré ma robe noire, la jetant sur le sol, et me suis écroulée sur le lit, secouée de sanglots, le visage inondé de larmes.
Allais je oser revenir devant eux pour crier : stop, arrêtez, stop !
Ce n’était qu’un jeu! Il est à moi, à moi seule, c’est moi seule qui doit gémir sous ses caresses, ce n’est que que mon ventre qu’il peut fouiller de son sexe, ce n’est que dans mon ventre qu’il peut déposer sa semence !
Mais non, je n’irais pas, puisque c’était moi qui avait fixé la loi, accepter, obéir, se soumettre, en bonne femelle !
Comme ces louves que nous avions vus, qui regardaient leur maître saillir d’autres femelles, sans jalousie, sans rancune, sachant qu’un jour il viendrait vers elles et qu’elles s’offriraient sans réserve.
Les larmes inondaient mon visage, je bouchais mes oreilles pour ne pas l’entendre gémir de plaisir, quand la porte s’est ouverte.
Il s’est déshabillé dans le noir, sans un mot et m’a rejoint sur le lit.
Je me suis blottie contre lui, il me maintenait serrée contre son corps, me caressait le dos, les reins, murmurant des mots doux : Ne pleure pas mon bébé, je t’aime, tu sais, je t’aime .
Il embrassait mon visage, mes yeux, asséchant toutes ces larmes qui s’échappaient encore.
Et puis nous avons fait l’amour .
Sa peau contre la mienne, ses mains qui couraient sur mon corps, caressaient mes seins, mon ventre, sa bouche sur la mienne, nos langues qui se mêlaient …
C’était du bonheur, rien que du bonheur, je me sentais chatte et je ronronnais de plaisir .
Son sexe palpitait sur mon ventre.
Je me suis ouverte et il m’a pénétrée, doucement, m’arrachant des soupirs.
Mes mains caressaient son dos, ses épaules, ses reins …
Mon ventre allait à la rencontre du sien, je vibrais à son rythme, les yeux clos, savourant toutes ses sensations que j’aimais tant.
Attentif à mon plaisir il m’a fait jouir deux fois avant de s’activer en moi pour prendre enfin son plaisir .
Attends, lui ais je dit, attends !
Il m’a regardé, étonné, alors que je me dégageais, me levais, avant de le prendre par la main et l’obliger à se lever.
Je me suis blottie entre ses bras et lui ai murmuré : Ce matin tu nous à forcées à tour de rôle en disant que nous étions désormais tes petites femelles.
Elle a accepté, soumise, et tu as eu l’air d’aimer. Tu la caressais tout à l’heure et elle te réclamait.
Elle à envie de toi et tu la désire depuis si longtemps.
Maintenant elle est à toi, elle aussi.
Viens ! c’est mon cadeau d’amour !
Je l’ai pris par la main et l’ai dirigé vers la chambre ou était Lucie.
Son sexe, encore lubrifié de mes secrétions intimes se dressait fièrement, prêt à pénétrer la petite grotte de ma soeur cachée sous sa toison brune.
J’ai ouvert la porte de la chambre. Elle reposait sur le lit et a tourné la tête vers nous.
Fais lui l’amour comme tu viens de me le faire donne lui du plaisir, fais la jouir elle aussi.
J’ai poussé Dany dans la pièce et suis retournée dans notre chambre, les laissant seuls.
Que se passait il ?
Moi, la jalouse, l’exclusive, j’offrais ma soeur à mon homme et je n’avais plus peur, je n’étais plus jalouse !
Très vite, j’ai entendu les gémissements de ma soeur.
Je les imaginais, elle, le corps tendu par le plaisir, parcouru par les mains habiles de Dany, lui, la pénétrant doucement, lui murmurant des mots doux…..
Ma main s’est glissée entre mes jambes, un doigt est entré dans ma fente encore trempée, allant et venant …
J’ai saisi mon petit bouton, l’ai caressé, d’abord doucement, puis plus vite, au rythme des gémissements de bonheur qui me parvenaient de la chambre d’a coté.
Un spasme de plaisir m’a contracté le ventre, mes jambes se sont refermées, emprisonnant ma main, et un râle de bonheur s’est échappé de ma gorge . Je jouissais.!
Comme en écho, un long cri m’est parvenu : elle jouissait elle aussi !!
Dany venait de s’enfoncer au plus profond d’elle pour y déverser son jus d’amour et jouir à son tour.
Nous jouissions ensemble tous les trois , à l’unissons !
Du bonheur à l’état pur !!!
J’ai fermé les yeux, laissé mon coeur reprendre son rythme normal, apaiser ma respiration …
Le silence a envahi la maison et je me suis endormie .
Au petit matin, je les ai entendu bouger. Je me suis levée et suis sortie de la chambre.
Ils sont apparus à leur tour, nus.
Dany enlaçait Lucie, une main sur sa hanche, la maintenant contre lui en mâle victorieux et protecteur.
Elle, le regard pétillant d’une femme assouvie, souriait, ses petits seins pointaient, orgueilleux .
Je me suis blottie contre lui, le visage levé vers le sien et j’ai posé mes lèvres sur les siennes.
Il m’a enlacé sans lâcher ma soeur et a répondu à mon baiser.
Nos langues se sont mêlées jusqu’ a en perdre le souffle.
Je t’aime, lui ais je dit. Moi aussi je t’aime a t’ il répondu.
Puis je me suis penchée vers Lucie et ai posé ma bouche sur la sienne.
Ses lèvres restaient fermées, mais ma langue l’a forcée et elle s’est livrée à mon long baiser d’amour.
Je t’aime toi aussi, lui ai je dit.
Vous êtes vraiment deux belles salopes, dit il en souriant, d’abord je vous trouve en train de vous faire enfiler par les chiens, maintenant vous vous bécotez devant moi. Si ça continue, je vais vous retrouver dans le même lit !
Et pourquoi pas, ai je répondu. Je suis sûre que ça t’exciterais et que tu viendrais nous rejoindre !
Oui, peut être, on verra, on verra, en attendant : au boulot. Regardez moi ce bordel dit il en désignant le canapé.
Et puis j’ai besoin d’un petit déjeuner copieux !
On se fringue et on s’y met dis je en me dirigeant vers la chambre.
Ah non, pas question de fringues ! J’adore tes petites fesses qui dépassent sous ton doudou.
Et son petit cul est mignon comme tout, dit il en caressant ma soeur.
File lui un doudou et c’est tout.
En attendant je vais prendre une bonne douche.
Restées seules, Lucie m’a demandé : Pourquoi tu as fait ça ?
J’ai fait quoi, demandais je ?
C’est toi qui l’a amené dans ma chambre, je t’ai vue !
T’as pas aimé ?
Si dit elle en baissant les yeux, mais pourquoi tu as fait ça ?
Tu as entendue ce qu’il a dit : on est ses petites femelles, ses petites putes.
Il veut pouvoir nous baiser quand il en aura envie.
Mais quand il en baisera une , il baisera l’autre. Comme ça, pas de jalouse !
Et puis, tu en avais tellement envie, tu le réclamais comme une prière.
Et lui avait tellement envie de toi !
J’ai entendu tes soupirs, tes petits cris, j’avais l’impression que c’était moi qu’il baisait .
C’a m’a fait un effet !!!
Je n’ai pas pu m’ empêcher de me caresser et j’ai joui en même temps que vous, c ’était bon !!
Je l’ai enlacée et attirée contre moi.
Sa toison chatouillait mon pubis, j’ai glissé une jambe entre les siennes et nous avons échangé un long baiser auquel elle a répondu avec fougue.
Je sentais le désir envahir mon ventre !
Je me suis reculée en disant : allons chercher des doudous et mettons nous au boulot, tu me donnes trop envie et je crois que je suis prête à faire de nouvelles bêtises. !!
Et puis notre homme attend son petit déj, il l’a bien mérité.
On a intérêt à le soigner si l’on veut qu’il reste en forme .
Le prochain épisode de ma vie de dévergondée pourrait s’intituler ENFIN !!!
Ca vous tente ?