Il ne nous fallut pas beaucoup de temps de la gare à chez elle et dans l’habitacle de la voiture flottait une bonne odeur liée sans doute aux phéromones que Gourmande dégageait alors que je lui caressais la nuque, la faisant tressaillir et frissonner. Je n’abusais pas trop de la situation pour ne pas rendre sa conduite dangereuse quand bien même profitant d’une portion de route droite, je pris sa main pour la poser sur la protubérance qui bombait sous mon jean. Enthousiaste, Gourmande me serra la queue fortement, geste qui ne laissait pas de doute à l’envie de la libérer du jean, carcan de tissu inconvenable à la superbe érection qu’elle constatait. A peine le seuil de sa maison franchie, porte refermée à la va-vite, je la collais contre le mur et tout en lui prenant sa langue en un baiser violent, je fourrageais sous sa jupe, la retroussant sur ses belles fesses mettant ainsi sa vulve à disposition.
Deux de mes doigts dans sa chatte, je pouvais sentir ses parois vaginales gonflées tant elle bandait intérieurement. Son utérus, aussi turgescent, était descendu comme pour bloquer l’entrée de son vagin. Qu’il était bon de palper cet organe interne, muscle strié, tout enrobé de mouille crémeuse. Je l’embrassais partout, plongeant ma langue dans l’échancrure de ses seins, les faisant jaillir hors des bonnets du soutien-gorge qui maintenant les maintenaient hauts et fiers. Tétons pointés, le pourtour froncé de ses aréoles se marquait des petits picots de chair dus à la fièvre bienfaitrice qui la gagnait. Portée par la vague du désir, Gourmande, sans même s’en rendre compte, fléchissait ses jambes, ce qui faisait ouvrir sa chatte davantage. Je la besognais encore plus profondément de bien plus de doigts et le bruit produit par la course de mes doigts tous poisseux de sa liqueur était bruitage divin d’un sexe en regain de vie. Elle cria quand une première jouissance l’envahit.
Tout son corps était pris de tremblements et le mien, en soutien, l’empêcha de s’effondrer sur ses jambes. Elle haletait comme si elle venait de courir un long moment. Je reculais un peu ma tête pour voir ses beaux yeux verts. Ils étaient révélateurs de la forte jouissance qui venait de la transporter. Elle serra ses cuisses comme pour m’indiquer d’en retirer ma main, déboucla ma ceinture, s’impatienta sur le bouton de mon jean et quand elle parvint à le défaire, elle le baissa avec avidité en même temps que le slip dont je savais être imbibé de ma cyprine, et emboucha ma bite fièrement tendue et douloureuse. Gourmande s’appliquait, courbée en avant, cul magnifiquement exposé, incitatif à souhait et disponible pour une reconnaissance digitale. Ma bite était énorme dans sa bouche et elle me léchait avec application, englobant mes couilles dans sa main à la chaleur bienfaitrice. Mon majeur se fit fureteur et glissa dans sa raie culière, trempée de la mouille de sa chatte.
Quand je parvins à son anus, je le sentis se contracter juste un instant, puis il s’ouvrit de lui-même comme pour gober mon doigt. Je la pénétrais doucement et je ressentis foule de contractions autour de mon majeur. Son cul mouillait tout autant que sa chatte. Excité par ces sensations, je lui bloquais la nuque et en me soulevant un peu sur la pointe des pieds, je violais sa bouche, lui faisant avoir un mouvement de recul par l’inconfort provoqué. Elle m’excitait et je voulais le lui démontrer.
Me tenant par la queue, elle m’amena dans son salon aménagé pour l’occasion d’un matelas à même le sol, nid douillet et confortable, qui allait devenir un lieu incontournable de nos joutes amoureuses jusqu’aujourd’hui. Une table basse et un canapé complétaient le décor, absolument utile pour se positionner en levrette et pour recevoir tous les jouets et autres choses qui nous serviraient à mieux élaborer et réaliser la conquête de nos corps et des orifices dont ils sont dotés.
Nos physiques de seniors bons vivants font que nous préférons toujours la position en levrette et comme mon intention était de l’enculer directement avant toute autre pénétration ce soir là, je la commandais de se positionner à quatre pattes. D’instinct, elle écartait ses cuisses pour que je me positionne entre elles. Superbe vision de son illet froncé quand je lui écarte les fesses. J’adore voir son anus se contracter et se dilater comme s’il était doté d’une vive énergie qui invite à sa prospection. Gourmande gémit quand mon gland qui vient au contact de son trou la rend fébrile. Je fais durer son impatience un moment pour qu’elle soit encore plus réceptive au moment où je l’enculerai d’un coup jusqu’à coller mon pubis contre ses fesses investies. Pur bonheur que de voir mon mandrin s’enfoncer en elle sans qu’elle émette une plainte, sans qu’elle ne se lasse que je la défonce agrippé à ses hanches.
Durée du plaisir, incitation vocale, caresse de son clitoris, de son dos, de ses fesses, frissons et enfin cris de délivrance et multi-contractions de ma bite fichée dans son fondement pour autant de giclées de foutre déversées en elle. Puis rester là un moment, profiter de la douce texture de nos foutres mélangés avant que de sortir de son cul, à regret. Et plus le temps passait, plus nos jeux érotiques prenaient consistance avec comme fil rouge nos appels téléphoniques quand au fin fond de la nuit, nous évoquions d’autres baises, d’autres envies, d’autres possibilités de faire. La chatte de gourmande, son cul, ses seins, son corps étaient aptes à de belles choses et de fil en aiguille, au plus fort de nos jouissifs échanges téléphoniques, je lui faisais état que je rêvais de beaux jouets pour ses orifices. Nous évoquions alors des godemichets, des vibromasseurs, des plugs et nous en fîmes l’acquisition d’une belle collection.
D’ailleurs, c’est Gourmande qui fit, seule, la première démarche d’achat d’un beau godemichet vibrant dans un sex-shop de province. Mais vraiment, à la longue, j’estimais que c’était insuffisant pour la combler comme il se doit. Moi je l’imaginais avec du plus gros dans sa chatte, car si elle prenait son pied avec ma queue et les jouets disponibles, ils avaient tous à peu près la même circonférence. C’est ainsi qu’un soir de baise, après un 69, elle demeura dans cette position tête-bêche, se mettant sur le côté, chatte offerte et me tendit deux godes. « Mets-les dans ma chatte » me dit-elle alors qu’elle embouchait ma queue qui se dressa de plus belle à son invite. Elle s’appliqua à me sucer comme jamais pendant que je lui fourrais son Con des deux godes. C’était chose aisée et j’adorais son initiative quand sa main se posa sur la mienne comme pour m’intimer de les lui enfoncer loin.
Elle mouillait tellement que j’ai encore en mémoire la bonne odeur de son sexe qui emplissait la chambre. J’avais une vision de son sexe que je dilatais et que je prenais profondément. Quelle belle Salope elle se plaisait à être à s’écarteler comme si elle voulait aussi que mon regard la pénètre. Notre désir commun était au summum de son expression et alors nous nous exprimions oralement et physiquement librement et sans tabous. « Tu aimes que je sois ta Salope, ta Chienne et moi j’aime que tu sois Mon Maître ». De tels propos, réfléchis et volontaires qui sortaient de la bouche de cette femme du monde étaient bien preuves que tout un chacun est en droit d’attendre mieux et plus en matière de sexe. Je n’avais rien exigé d’elle et elle s’offrait ouvertement à d’autres expériences.
Je le prenais ainsi et comme depuis notre première fois, je la savais perfectible, il était évident que j’allais prendre des directives pour la faire devenir ce qu’elle souhaitait être, Une vraie Salope de Chienne.
On bandait et on bande encore à échanger téléphoniquement. Skype est parfait pour ça, tout comme le visionnage des super albums photo que nous avons constitués et les vidéos de nos débauches. Gourmande prenait de plus en plus d’initiatives, se voulant aussi meneuse de nos jeux. On était loin de sa réserve naturelle et de sa timidité et elle me le démontra lors d’un déplacement dans un pays limitrophe de la France. Nous y étions pour une compétition avec d’autres amis qui ignoraient tout de notre relation et auxquels nous ne donnions aucune liberté de penser que nous étions amants. Nous logions tous à la même enseigne et l’intimité était plutôt restreinte. Un soir, à table, assis près d’elle, j’avais glissé ma main dans son dos, puis dans son pantalon pour lui caresser les fesses en direct. Même si surprise au départ, Gourmande se serrait plus fort contre moi comme pour m’encourager.
Elle aimait ça et me le démontrait dans sa respiration accélérée quand mon majeur prit possession de sa raie culière. J’aimais tout comme elle cette situation alors que nous discutions à bâtons rompus avec nos amis qui étaient loin de se douter de ce que nous faisions. A un moment, n’y tenant plus, elle me souffla d’aller l’attendre dans le fourgon que nous avions loué le temps de notre séjour, un magnifique Mercedes Vito. Il était garé assez loin de notre lieu de vie et dans une zone d’ombre prononcée. Gourmande me rejoint rapidement et à peine montée, elle sort ma queue hyper-tendue de mon survêtement, me regarde et me dit « Laisse-toi faire et va jusqu’au bout ». Elle m’a sucé avec une telle conviction que j’aurais pu la qualifier de professionnelle. Soumis à son savoir-faire de bonne pipeuse, je ne fus pas long à gicler dans sa bouche experte. Qu’il était bon de la sentir déglutir avec satisfaction quand elle avalait mon foutre.
Elle se montrait fière et heureuse de la réalisation de cette bien belle fellation. Il me fallait, moi aussi, lui faire preuve de reconnaissance et c’est à l’arrière du Vito que je la couchais à même le plancher, lui plantais ma queue d’un coup dans sa chatte inondée et la fit jouir en quelques va-et-vient même si elle ne put libérer ses cris de jouissance pour cause de passage de badauds non loin de notre lieu de baise. Je l’accompagnais dans son escalade vers son plaisir en arrivant en même temps qu’elle, mélangeant nos foutres au plus profond de son vagin qui se contractait comme pour me faire prisonnier. Ce séjour nous obligea à nous baiser en silence, mais ce qui nous importait, c’était de pouvoir le faire encore et toujours. C’était plaisant de baiser avec nos amis si proches de nous même si nous devions nous mordre les lèvres pour ne pas dévoiler notre relation. Comme toujours, après chaque baise, Gourmande me suçait que je sortais de sa chatte ou de son cul.