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SHANA – Chapitre 31

SHANA - Chapitre 31



Pascal rebondit sur ce bon mot.

– Je peux lenchaîner, Mme Niarchos. Ce serait amusant. Jai tout ce quil faut pour attacher cette belle chienne blonde. Si lidée vous plait, je lemmène au local technique. Je lui poserai de jolis bracelets pendant quelle maidera à choisir le matériel approprié pour les fouilles. Il nest pas interdit de travailler en se divertissant.

– Voilà une très bonne idée qui minspire pour toi, Poupée, un petit jeu très lubrique !

La seule pensée de me retrouver captive me mit en transes.

Florence coupa les cordons de mon string, estimant que l’échauffement avait suffisamment porté mes muqueuses au rouge. Ses doigts de fée mincendièrent au premier contact. Je fus parcourue d’un frisson fulgurant et si violent, au contact de cette main si impudente quun gémissement sonore méchappa.

– Cest comme ça que tu me remercies de te donner loccasion de montrer ta vulve que je trouve trop saillante d’ailleurs.

Asservie, vaincue, je me laissai glisser en m’’abandonnant avec lespoir vain de lui offrir la pose appropriée qui mettrait fin à ma frustration.

– Tu as tort de tenter de me soudoyer en bombant le torse et en écartant tes longues cuisses. Ta jolie minette va trinquer.

C’était une mise en garde et je crois qu’elle m’était destinée. Elle posa ses lèvres sur mon oreille et me susurra:

"Jaime quand tu te fardes le sexe et les seins. Je connais ce baume miracle. On devient folle mais cest si bon. Je sais que ce sera compliqué mais promets-moi de ten servir régulièrement pour rester tout le temps au bord !"

– Cest horrible ce que tu me demandes ! Ca monte déjà si fort dans mon ventre avec lovule que tu mas mis dans le vagin. Tu as vu comme je coule. Jai limpression dêtre posée au milieu dun champ de jasmin en fleur. Je suis si loin déjà, Flo. Tu me touches et je repars aussitôt.

Elle me touche et effectivement, je révulse déjà.

– Tu es claquée là. Tu peux arrêter si tu veux mais ce serait dommage. Il y toujours les teasers miniatures pour taider. A ta place, je me ferai aider. Ces petits engins peuvent décharger jusquà cinquante fois et il y en a cinq en service. Si ce soir, ils me les rendent, accus vidés, jaurai la satisfaction davoir rechargé tes glandes. Et toi de voir que ta garde robe est remplie à nouveau

– Que veux-tu dire ?

– Que je te laisserai toutes les tenues que Sakis ma offertes pour « services rendus » Enfin, presque toutes, surtout celles qui sont trop petites pour moi.

– Mais Flo, tu fais une taille de moins que moi, même en ayant beaucoup grossi !!!!

Pascal fut pris dun fou rire nerveux et Florence dune crise dhystérie.

– Ne riez pas, cest vrai !…Arrêtez de vous marrer ! Elle est moins grande que moi et nettement plus courte sur pattes.

Un choc violent m’électrisa le flan. La douleur fut instantanée et fulgurante.

– Salope ! Je vous la laisse. Ne la choyez pas trop! Je la connais bien.

Elle n’aime pas la délicatesse. Rien ne vaut une bonne correction pour lui échauffer le corps et la tête.

Un homme de Flo me tira les bras en arrière.

Les autres semparèrent de leurs fouets garnis de trois lanières très fines.

Ils cherchaient délibérément à me faire mal, dessinant des fines stries sur le ventre et sur les cuisses. Je ne quittais pas Pascal des yeux. Son comportement à mon égard commençait à changer.

Attiré par le frissonnement de ma vulve, Dominique se concentra sur mon entrecuisse pendant que son ami cherchait une solution pour me dévisser les tétons.

– Non… Pas là…

Pascal me fixait avec un éclat extraordinaire dans les yeuxun regard de satyre.

Son trouble n’était pas feint. Il semblait réellement devenu enragé.

– Vas-y Dominique ! Fais la danser! que l’on voie se balancer ses mamelles. Fouette-la entre les cuisses ! Servez-vous de son cul, vous autres ! Ca lui apprendra à paler correctement à lla patronne.

Chacun de mes dérisoires gestes d’esquive me livrait encore un peu plus.

Loin de vouloir me dérober, je donnais des coups de reins, comme si ces premières atteintes ne me suffisaient pas. Mon sexe, traversé par un feu démoniaque, savourait chaque cinglée.

Celui qui me tordait les bras avait laissé glisser son pantalon et cherchait le chemin de mon fondement.

Embroche-la, Phil ! ajouta Dominique.

Je ne savais plus d’où venaient les coups.

Ils hurlaient et se prenaient tellement au sérieux que ça me donnait envie de rire malgré ma peur.

Jai hurlé lorsque le premier sodomite explosa en moi. Logiquement, jaurai du me retrouver chauve pour le reste des « vacances » mais Pascal, attentif, apposa brièvement son arme sur mon épaule. Bon gré, mal gré, je redescendis quatre à quatre les marches de léchelle du plaisir.

Les trois autres hommes m’enculèrent à tour de rôle. La tournante sadique prenait, par instant, une allure de rodéo sauvage tant jétais secouée

Pascal avait carrément pété les plombs. Il demanda de passer son tour pour me prendre plus tard quand je serai attachée. Dune main, il vérifia si mon ovule vibrant était toujours bien positionné sur mon point G. De lautre, il tapotait mon gros clito au bord de la crampe. Il me mit sur une orbite si éloignée de la terre que tout retour semblait impossible.

– Il faut quelle redescende. Là, elle est trop partie. Tu las trop gâtée Dominique avec ton gros calibre. Je suis sûre quelle a encore envie de te sucer pour recommencer.

Vraiment trop cons, ces mâles ! Je parvenais tout juste à articuler tellement je tremblais.

– Je nai aucun plaisir à satisfaire un homme et jamais un homme ne ma satisfait avec sa petite virgule qui fait pipi. Si je jouis, cest uniquement parce quil sait comment me faire mal. Ce nest pas votre cas.

L’un d’eux déclara stupéfait que j’étais la plus belle vicelarde qu’il avait eu à corriger et quil commençait à y prendre goût.

– On na plus besoin de son cul. Choque-là !

Une décharge dix fois plus forte que toutes celles que javais déjà reçues méclata lanus. Sans me laisser le temps de reprendre ma respiration, les autres me cueillirent sur les seins et les fesses une vingtaine de fois de suite. Je ne les voyais plus et les entendais à peine.

Ecroulée sur le ventre, je ne parvenais plus à me redresser. Après le coup de soleil carabiné quils mavaient administré entre les jambes et sur les seins, ils décidèrent de me fouetter le dos à quatre

– Pauvre petite pouliche! Elle était si bien partie. Elle est toute tremblante maintenant.

Non ! Je ne leur donnerai pas le spectacle jouissif de ma terreur.

Mon dos était déjà une fournaise et ils avaient à peine commencé. Je me roulai en boule mais les décharges de teaser men empêchaient. Mes fesses étaient en feu mais ils narrêtaient pas. Ils ne narrêteraient jamais.

Pascal, qui navait pas participé à ma fustigation, retint leurs bras.

– Ca va? Elle a son compte?

– Tu crois. J’ai vu des filles maso bien plus abîmées après une séance moins dure.

– Cest possible mais le boss sera furieux si vous la massacrez.

Il mobligea à métendre sur le dos dun petit coup pied dans le flanc.

Comme un faucon volant autour de sa proie, il tournait autour de moi, me scrutant, m’inspectant, sans un mot. Et soudain

– Je vais te faire quelque chose que personne ne t’a jamais fait. Mets-toi debout dans ce cercle!

En moins dune minute et quelques mots, il m’avait réduite à l’état de marchandise. De la pointe du pied, il traça une circonférence dans le sable. Je cherchai encore à rattraper mon souffle, épuisée, incapable de me mettre debout, en ayant l’impression d’avoir fait l’amour durant toute une nuit sans le moindre répit.

Je me sentais sale et leur semence coulant sur mes cuisses me rappelait sans cesse à mon triste sort.

– Tu vois cette trique souple.

C’est un ami vietnamien qui me l’a offerte avec ses deux surs jumelles.

Un souvenir des instruments utilisés pour faire parler les prisonniers américains récalcitrants.

Dans ton cas, je l’utiliserai pour te faire taire quand tu seras trop arrogante ou pas assez prompte à obéir.

J’adore zébrer de jolies cuisses surtout lorsqu’elles sont aussi bien présentées.

Le coup partit à la vitesse de léclair et me cueillit sur laine, me catapultant en position verticale au beau milieu du cercle.

– Je vais taider à retrouver la fierté que tu viens de perdre et te purifier. Prouve-moi que tu es assez forte pour soutenir mon regard !

Cétait la chose la moins difficile qui mavait été imposée aujourdhui.

– Je serai assez forte. Tu ne mimpressionnes pas au point de mimposer de baisser les yeux.

Nos visages se touchaient presque. Lambiance devint subitement électrique. Plus un bruit, plus un cri doiseau. Même les vagues ne roulaient plus mais se cassaient en glissant sur le sable.

Il porta sa main à la racine de ma cuisse droite etmembrassa.

Je poussai un cri terrible. Les muscles, à l’intérieur de ses cuisses, tressautaient. Il avait déchargé son teaser dans mon aine!!!

Il reprit possession de mes lèvres, m’embrassa fougueusement et recueillit avec soin dans sa bouche mes soupirs et mes larmes tout en caressant la racine de ma jambe gauche.

La douleur de cette deuxième décharge fut insoutenable et me perfora lautre aine mais, pour rien au monde, je n’aurais lâché ni ses yeux ni sa bouche.

Sa main glissa dans ma fente parfumée au jasmin et ses doigts engagèrent la conversation avec mon bouton damour. Nayant pas été mis au courant de la perversité de cette main qui le branlait, il se redressa pour présenter ses hommages à lintruse qui le complimentait pour sa rigidité.

Coup de foudre au propre et au figuré ! Mon clito ne se remettra jamais de cette traîtrise.

Atomisée par la douleur, mes lèvres quittèrent celles de Pascal mais aucun cri ne parvint à sortir de ma bouche. Je ne croyais pas qu’une souffrance aussi amère puisse persister plus de quelques secondes. Je pensais que l’on finit toujours par s’habituer à la douleur mais il ny a que les poupées qui peuvent rester impassibles

– Tu reprends tes esprits, Shana ?

Pas tout à fait encore ! Tu peux te vanter davoir toucher la corde sensible.

Mine de rien, Pascal avait habilement manuvré et repris le contrôle de la situation.

– Je dois faire pipi, sil vous plaît !

– Dominique ! Jette-la à la mer ! Assez rigolé !

Je vais chercher le matériel, je lui passe les fers et on se met au travail.

– Contente-toi de ferrer la pouliche aux pattes arrières ! Elle aura besoin de ses mains.

Florence ma donné ce bikini pour elle. A ne lui donner que si elle la mérité. Tu ten charges, Casanova ?

– Casanova, il te dit que ce sont les connaissances archéologiques de la belle qui lintéresse, pas le cur. Je te laisse volontiers le bikini et le contenu.

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