La semaine s’était écoulée lentement. De mon côté, la mégère qui me sert de secrétaire, n’arrivait pas, bien évidemment, à détourner mes pensées que je vouais si je puis dire, corps et âme à Nathalie. Pour Mélanie, c’était plus facile car elle était régulièrement entourée de jeunes étudiants en médecine. Bien qu’elle veillait à ne pas céder à la tentation, il lui arrivait quelquefois de se surprendre à fantasmer sur l’un ou l’autre étudiant, voire plusieurs, ce qui provoquait naturellement des séances masturbatoires aussi libératrices que soudaines.
Alors que nous attendions à recevoir bras et braguette ouverts Nathalie dès ce samedi, quelle fut notre surprise de la découvrir derrière notre porte, en cette fin de vendredi après-midi.
— « Mais, Nathalie, nous ne t’attendions pas avant demain », fis-je étonné
— « Vas-y, tonton, cache ta joie »
— « Non, ça me fait très plaisir, c’est juste que ce soir, nous recevons du monde avec ta tante Mélanie »
— « Et alors, où est le problème, j’attendrai qu’ils soient partis pour baiser avec vous deux ! »
Son insolence et sa franchise me laissèrent pantois. Heureusement, c’est à ce moment que Mélanie est venue à mon secours :
— « Qui c’est ? Oh, Nathalie on ne t’attendait pas ce soir, mais finalement c’est bien, on aura une nuit en plus » fit-elle
— « Mais ma chérie, as-tu oublié que nous recevons nos amis du Cap d’Agde ce soir ? »
Ah oui, il faut que je vous précise que Mélanie et moi, nous nous offrons, chaque année, en septembre, une semaine à dix jours de vacances au Cap d’Agde, histoire de rompre la monotonie et faire de nouvelles connaissances. Et avec les années, nous avons un cercle d’amis, disons, intimes et ouverts d’esprit, que nous retrouvons et avec qui nous partageons d’intenses émotions, si vous me suivez Et chaque année, pour préparer les vacances à venir, nous nous voyons chez les uns ou chez les autres à tour de rôle. Et il se trouve que, ce soir, c’est à notre tour de les recevoir.
— « Mais où est le problème, tu sais bien, mon amour, que nos amis sont très partageurs »
— « qu’est-ce que c’est que ces mystères ? » répliqua Nathalie, que la curiosité rendait assez nerveuse
— « Bon, ben voilà » et je lui expliquais nos relations privilégiées avec les 3 couples qui venaient nous rendre visite ce soir.
— « Chouette, plus on est de fous, plus on rit » claironna Nathalie, dont la fraîcheur et l’insouciance nous émerveillait.
— « Ben, tempéra Mélanie, ne t’emballe pas non plus tu es jeune, tu manques d’expériences et ce n’est pas toujours aussi simple que ça. L’alchimie pour partager qui un mari, qui une épouse n’est pas une simple affaire de sexe, il y a aussi un côté intellectuel bien marqué et certains principes qu’il faut respecter »
— « Mais je ne demande qu’à apprendre, vous m’aiderez ? ».
Elle balança cette dernière phrase, cette dernière question avec une telle mine défaite, telle un enfant pris les doigts dans le pot de confiture, que nous la prenons instantanément dans nos bras, puis, l’un après l’autre, et enfin les trois ensemble, nous nous embrassons avec fougue, pour marquer nos retrouvailles et sceller notre nouveau pacte, bien que celui-ci soit encore sous-entendu
Mais il n’était pas l’heure de traînasser Il fallait encore préparer la table pour le repas, aménager le séjour en prévision de la soirée qui s’annonçait ma foi fort intéressante, et encore plus avec la présence de Nathalie et préparer la terrasse et les abords de la piscine pour l’apéritif et les premiers échanges, terme particulièrement de circonstances.
Nathalie avait pris les choses en main et elle devait certainement croire que l’arrivée de nos hôtes était subordonnée au moment où nous aurons terminé avec la préparation des lieux. Nathalie avait composé une table magnifique, avec nos couverts en faïence, une table bleu roi, dont les pans retombaient des quatre côtés au trois-quart Curieux d’ailleurs qu’elle ait choisi une si grande nappe Mais bon, c’était du plus bel effet et j’entendais bien ne pas la « reprendre » à chaque initiative.
Pendant ce temps, Mélanie s’afférait à la cuisine et déjà, les premières odeurs se propageaient dans la maison, attisant notre curiosité, ce qui valu même à Mélanie de profiter de quelques séances d’attouchements tant de Nathalie que de moi-même.
Au moment de préparer le séjour, Nathalie se trouva dans l’impossibilité de s’organiser, ne sachant pas comment se déroule une soirée telle que nous nous apprêtions à la vivre. Mais, ni une ni deux, je volais à son secours et la rassurait du même coup.
— « Tu vas voir , lui dis-je, prends place sur le sofa. »
— « Comme ça » fit-elle, en croisant ses jambes faisant remonter encore un peu plus sa mini-jupe
Je m’asseyais à ses côtés et, tout en passant mon bras droit autour de ses épaules, je l’attirai vers le fond du canapé pour qu’elle soit le plus confortablement installée.
— « Et alors ? » me lança-t-elle fièrement ?
Pour toute réponse, je me tourne vers elle et l’embrasse à pleine bouche. Elle n’attendait que cela, la garce. Nos langues dansaient comme si elles fêtaient leurs retrouvailles. Je sentis immédiatement mon désir grandir et mon sexe commençait à se trouver à l’étroit. Je plongeais ma main dans l’échancrure de son débardeur et retrouvais la douceur de sa petite poitrine. Cette douceur, combinée à sa fermeté, renforce encore mon désir pour ma nièce qui, bien évidemment, appréciait mes caresses avec délectation, à en croire sa façon d’onduler.
Alors que je joue avec ses deux seins et leurs pointes bien dressées, au garde-à-vous, Nathalie me caressait la cuisse non sans insister sur la grosseur qu’elle avait remarquée. Le contraire eut été difficile tant la toile de mon pantalon était distendue. Comme sa marge de manuvre se trouvait limitée du fait de notre position assise, elle me demandait comment procéder lors de la soirée.
— « Tu vois ces coussins, là-bas, dans le coin ? »
En effet, dans le coin de notre séjour, empilés les uns sur les autres, une dizaine de coussins carrés, de 80 cm sur 80 cm, n’attendent que d’être placés sur le sol pour offrir une grande couchette, moyennant de déplacer légèrement la grande table de la salle à manger et ses 10 chaises.
-« Non, Nathalie, on ne va pas déjà les installer », lui fis-je en coupant court son élan. Je vis à sa mine qu’elle était toute désolée de ne pas pouvoir les essayer de suite.
Pour la consoler, je la plaque contre le mur et glisse ma main sous sa courte jupe et l’état de son entrejambe ne fait que conforter mon sentiment elle est en chaleur, la garce et je crois bien que quelques caresses ne seront pas suffisantes. Tout en l’embrassant goulument, je fais rapidement descendre sa culotte qui finit par choir sur ses chevilles. Le sort de la culotte étant scellé, Nathalie en profite pour écarter légèrement les jambes, me permettant ainsi de pénétrer sa chatte avec un, puis deux, puis trois doigts. Sa cyprine coulait le long de ma main, jusqu’à mon poignait. Sa chatte était désormais grande ouverte. Je m’accroupis devant elle, Nathalie en profite pour dégrafer sa jupe qui rejoint la petite culotte, un peu plus loin sur le sol.
Nathalie me suppliait :
— « vas-y tonton, défonce-moi, fouille-moi ».
Je ne me fis pas prier plus longtemps. Pendant que je déposais un tendre baiser sur son bouton turgescent, déclenchant un léger cri de Nathalie, j’enfonce index, majeur et annulaire dans son vagin et commence des va-et-vient de plus en plus rapidement. Nathalie reposait ses mains sur mes épaules pour s’aider à rester debout, tant le plaisir l’assaillait. Elle aimait ça, la petite délurée.
-« Encore, tonton, encore plus »
Je me risquais avec un doigt de plus. Mes quatre doigts fouillaient son intimité et visiblement cela ne lui suffisait pas. Et à sentir la quantité de mouille qui dégoulinait, elle se trouvait vraiment dans une phase d’excitation très intense.
Je me risquais, cette fois, à retirer complètement mes doigts de sa chatte ce qui ne manqua pas de déclencher un «non, reste » de supplication. Mais à peine m’eut-elle supplié, que je lui enfonce ma main, tout doucement. Arrivé à l’endroit où la main est le plus large, je sens une résistance, mais je fus très surpris lorsque, par le fléchissement de ses jambes, Nathalie s’est littéralement empalée sur ma main, l’engloutissant totalement dans son intimité, jusqu’à la hauteur de mon poignet. Après le fléchissement initial, Nathalie se remit droite sur ses jambes, puis fléchis à nouveau et entame un ainsi une série de mouvements qui déclenchèrent très vite un puissant orgasme durant lequel des mots et des cris s’échappaient de ses lèvres qu’elle mordillait sous le feu de l’action.
Alertée par les cris de Nathalie, Mélanie est venue contempler la scène et son regard en disait long. Elle avait elle aussi envie de s’offrir une petite pause coquine. Mais il fallait faire vite, avant l’arrivée de nos invités.
Mélanie m’aidait à me relever je ne sentais plus mon bras à force de résister aux assauts de Nathalie. Elle ouvrit mon pantalon, dégagea mon sexe endolori à force d’être resté enfermé dans mon froc et voyant l’engin, elle ne put s’empêcher de me dire :
— « Tu bandes comme un taureau quand tu t’occupes de ta nièce ! ».
Et c’est vrai que ma nièce me fait bander magistralement. J’ai envie de la prendre, si possible par tous les trous. Mais ne nous pressons pas trop Apprécions le moment présent. Et ce moment, c’est, pour l’instant, une caresse buccale distillée avec dextérité par ma tendre et belle épouse. Sa langue sur mon gland, sa main jouant avec mes testicules pleines à craquer me transportaient. De sa main restée libre, elle caressait le bouton d’amour de Nathalie et récupérait un peu de sa liqueur pour porter ensuite ses doigts à sa bouche. L’alternance entre mon gland et ses doigts brillants par la cyprine de Nathalie la comblait. Et nous tous y trouvions notre compte. Ce manège continua quelques minutes, avec quelques variations qui me permirent notamment de remplir complètement la bouche de Mélanie, de me faire lécher mon membre comme un esquimau, ce qui ne me laissait pas de glace comme vous pouvez l’imaginer. Pendant ce temps, Nathalie, jambe écartée, s’était placée face au mur, présentant ainsi le galbe de ses fesses, bien taillées sans être volumineuses. Mélanie voyant cela, m’a également poussé contre le mur. Pendant qu’elle s’occupait divinement de ma queue, elle en profitait pour fouiller l’intimité de Nathalie, remontant de sa chatte à son petit trou. Et ce qui devait arriver arriva, Mélanie introduit un doigt dans l’anus de Nathalie qui ne restait, et de loin, pas insensible à cette nouvelle caresse.
Avant que je ne succombe aux caresses buccales de Mélanie, elle me prit la verge dans sa main et m’attira de telle manière à ce que je me retrouver derrière Nathalie, puis Mélanie m’ordonna :
-« vas-y, maintenant, encule-la elle n’attend que çà notre petite nièce chérie »
-« oui viens dans mon cul, mais doucement tonton, s’il te plait »
Pour bien me préparer, je passe mon gland sur la chatte de Nathalie pour l’humidifier un maximum, puis j’approchais mon bout de l’entrée secrète de Nathalie. La première poussée, toute en douceur, n’était pas très agréable, tant je sentais son corps tout entier se raidir. Mélanie qui comprit vite le problème, me poussa et plaça ses lèvres à la hauteur des fesses de Nathalie. Avec sa langue, elle prodigua quelques caresses bien précises à l’entrée de sa grotte et lui déposait un maximum de salive. Après ce traitement qui vit Nathalie commencer à gémir sérieusement, elle m’invita à tenter une nouvelle pénétration anale de notre nièce. Et cette fois, la première barrière est franchie plus aisément, mais la douleur est quand même bien ressentie par Nathalie. Je reste ainsi quelques instants sans bouger, la moitié de mon sexe enfoncé dans le cul de ma nièce. Rien que d’y penser, mon plaisir est intense. Après ces secondes passées à permettre à Nathalie d’habituer son couloir rectal à la présence d’un corps étranger (pas tant que ça), j’entame ma prospection un peu plus profondèment. La douleur se transforme en plaisir et c’est désormais Nathalie qui dicte le rythme. Derrière moi, Mélanie s’active à me caresser les bourses tout en me distillant des insanités. Elle sait très bien utiliser un vocabulaire assez curieux pour un aussi joli minois.
Aux :
— « Encule-la, bien au fond »
— « Vieux pervers, baiser ta nièce, ça t’excite »
succèdent les
— « prends-la comme une chienne »
— « défonce-la, lime-la, oui, c’est une vraie salope »
Ces paroles m’encouragent et avivent mon plaisir, et pas que le mien. Même que Nathalie est saisie à nouveau d’un violent orgasme qui me permet de me dégager de son cul magnifique et offrir ma queue à la bouche avide de Mélanie qui, ne se faisant pas prier, accueille toute ma semence dans sa bouche, semence qu’elle se garde bien d’avaler car elle se rappelle que Nathalie y avait goûté lors de nos premiers ébats et qu’elle avait bien aimé.
Pour en avoir le cur net, Mélanie se leva, et appuyant sur les épaules de Nathalie, la fit s’agenouiller ; elle compris très vite ce que Mélanie attendait d’elle et c’est avec un large sourire qu’elle ouvrit la bouche. Mélanie en profita pour laisser choir un filet de sperme dans sa bouche, pour son plus grand plaisir. Au moment où elle le jugea opportun, Nathalie a avalé le sperme avec délectation. La voilà à nouveau réceptive pour une nouvelle becquée Mais cette fois, Mélanie lui roule un patin d’enfer, profitant de lui refiler le reste de mon sperme. S’ensuivit une joute sauvage pour savoir qui des deux résisterait aux assauts de l’autre. Mais à l’évidence, tant Mélanie que Nathalie adorait jouer avec se mélange fait de sperme et de salive et finalement, il fallut se rendre à l’évidence, chacune avala les dernières gouttes, pour leur plus grand plaisir et le mien bien entendu.
A peine avions-nous eu le temps de nous réajuster que la sonnette de la porte d’entrée se fit entendre. Nos premiers invités étaient arrivés.
Pas le temps de nous débarbouiller, pas le temps de faire disparaître les traces de sperme sur le visage des filles L’échange de bises avec nos invités risque bien d’être surprenant
Au moment d’ouvrir la porte et accueillir nos premiers invités, j’entends, derrière mon dos, le ricanement caractéristique de filles en pleine complicité ainsi qu’un bruit de pas Les coquines, elles se dirigent vers la piscine. Certes, c’est plus vertueux, mais je me réjouissais déjà de voir la tête que feraient Jean-Claude et Denise en voyant mes deux amantes, fraîchement baisées.
Je n’aurai donc pas ce plaisir, mais à la vue de Denise, je retrouve rapidement ma bonne humeur et mon entrain. Denise, trente-huit ans, 165 cm, des yeux bleus vifs contrastant avec ses cheveux courts noirs, possède un corps comme je les aime. Une poitrine aguichante mais proportionnée, le ventre plat malgré ses trois maternités et des fesses, cambrées à souhait, fermes et croyez-moi, très très accueillantes. Je le sais, j’ai déjà pratiqué par le passé
Son mari, Jean-Claude n’est pas en reste. Ses cheveux bouclés noirs, ses yeux de jais et son type arabico-persan (il est de mère iranienne) lui donnent un côté mystérieux qui plaît énormément aux femmes mais pas seulement. Son mètre quatre-vingt-dix renforce encore sa stature et dégage une grande impression de puissance protectrice. Bref, un couple d’enfer dont la lubricité n’a d’égale que la grande soif de sexe qu’ils partagent en couple.
En les accueillant chaleureusement, je les mets dans la confidence pour ma nièce Nathalie, non sans toutefois préciser que je n’étais pas encore certain de sa participation et de son envie même d’assister à nos éventuels ébats. Par contre, je m’empresse de leur révéler la raison de leur absence Un brin de toilette bien nécessaire après ce que nous avions partagé.
A peine cinq minutes se sont-elles écoulées que Nathalie et Mélanie font leur entrée dans le salon. Elles sont là, debout, à l’entrée du séjour, dans l’embrasure de la porte qui mène à la terrasse, se tenant l’une et l’autre par la taille et vêtue uniquement d’une culotte, le restant de leurs affaires tenant en un amas de vêtements froissés que Mélanie, en bonne maîtresse de maison, tenait tant bien que mal de sa main libre.
Nullement étonné de voir ainsi Nathalie et Mélanie, Jean-Claude et Denise s’extirpent du sofa et s’en vont embrasser ces deux naïades. Les bises sonnantes des uns et des autres, coupées par les rires démontrant le plaisir de se retrouver, sont étonnamment gentillettes. Aucun geste déplacé, aucune brusquerie Jean-Claude et Denise sont des gens très bien éduqués. Lui, il est prof de sport à l’Université de Lausanne, alors que Denise s’occupe de l’accueil des nouveaux collaborateurs d’une grande multinationale de la place. Et l’accueil, ce n’est que le prénom puisqu’il faut tout organiser, être à l’écoute des besoins et envies des nouveaux venus et de leur famille, ce qui ne manque pas de créer nombre de situations parfois cocasses, voire simplement coquines. Denise adore nous raconter quelques-unes de ses expériences, en principe en soirée, ce qui a souvent pour effet de nous émoustiller. Nous verrons bien tout-à-l’heure si elle a de nouvelles anecdotes à nous faire partager
Après leur avoir servi un soda bien frais, en attendant que Mélanie et Nathalie nous reviennent un peu plus habillées, nous échangeons quelques banalités sur nos vies respectives. Peu de temps après, Mélanie et Nathalie nous rejoignent. Et quel spectacle. L’une et l’autre vêtue d’un chemisier, dévoilant la naissance de leur poitrine et l’absence de soutien-gorge. Pour le bas, petite jupe courte, mais pas mini, blanche qui mettait encore plus en valeur leur teint halé. Jean-Claude et Denise ne se gênent pas pour examiner mes deux amantes sous toutes les coutures. Et c’est Jean-Claude qui, bien évidemment, commente en premier lieu :
— « mais, vous êtes canon toutes les deux, tournez-vous ! »
Mélanie et Nathalie s’exécutent lentement et la synchronisation de leurs mouvements pourrait laisser croire à une chorégraphie bien huilée.
— « vous êtes aussi ravissantes l’une que l’autre », ajoute Denis, les yeux pétillants d’envie
Et c’est main dans la main, comme si elles voulaient sceller leur complicité, que Mélanie et Nathalie nous rejoignent vers le bar qui se trouve à l’extrémité du séjour, à l’opposé du coin où nos 3 canapés permettront plus tard de nous accueillir.
Quelques minutes plus tard, ce sont Gilles et France, Romain et Sandrine qui se présentent à la porte, ensemble. Ils ont fait le trajet ensemble, nos deux autres couples d’amis habitant dans la même petite ville, à proximité de Genève.
Et visiblement, à voir leur mine, et notamment les cheveux des filles légèrement défaits, ils n’ont pas fait que regarder le paysage durant le trajet en voiture.
Gilles et France ont quarante ans tous les deux. Gilles est légèrement bedonnant, mais avec de larges épaules malgré qu’il ne soit pas un grand sportif, et les cheveux châtains. Quant à France, son épouse depuis 15 ans déjà, c’est une femme assez élancée, 1m70, mince aux cheveux châtains également, avec quelques reflets auburn, du plus bel effet. Sa poitrine généreuse relève son côté charnel que ses lèvres ourlées soulignent.
Romain est un jeune homme de vingt-huit ans, 1m80, 80 kg, cheveux noirs, taille fine, épaules bien taillées, ventre plat avec de beaux abdos (c’est ce qui avait fait craquer Mélanie lorsque nous les avions rencontrés pour la première fois au Cap d’Agde). Sandrine, qui est sa compagne, n’a que 24 ans, mais déjà une grande expérience des rencontres en tous genres. Elle a un côté aventurier, de miss qui n’a pas froid aux yeux yeux bleus charmants d’ailleurs mis en valeur par une longue chevelure blonde, ondulée voire presque frisée qui lui donne un air de sauvageonne. Sa poitrine, presque inexistante du moins en apparence renforce cet air rebelle mais quelle charme elle dégage !
Cela fait donc quelques années que nous avons l’habitude de nous retrouver, une fois par année, en septembre si possible, au Cap d’Agde. Au départ, notre cercle était composé de Gilles, France, Jean-Claude, Denise, Mélanie et moi. Ce n’est que depuis deux ans que nous avons décidé de partager nos aventures avec Romain et Sandrine et tout le monde y a trouvé son compte. La fraîcheur de ces derniers mélangée avec l’expérience de nos trois autres couples ont permis de découvrir de nouvelles sensations et lorsque l’un ou l’autre fatigue il y a toujours des âmes vaillantes !
Mais aujourd’hui, à ce « quatriumvirat » s’ajoute notre nièce, Nathalie. Et franchement, je crois pouvoir d’emblée assurer qu’elle a fait la meilleure impression possible. Le fait de s’être habillée comme sa tante permet, inconsciemment ou non, à voir en elle le reflet de Mélanie, ce qui permet vraisemblablement d’occulter le caractère incestueux de notre relation. Mais moi, je n’oublie pas qu’elle reste ma nièce et c’est peut-être pour cela que je veille sur elle. Nous verrons bien si, tout à l’heure, ma protection sera requise
Pour l’instant, nous sirotons tranquillement nos verres, le soda ayant laissé le pas à un bon verre de vin blanc de notre région (pour les connaisseurs : un Dézaley 2010). Les discussions s’entremêlent, nous rions parfois à gorge déployée en se remémorant quelques souvenirs et il est déjà temps de passer à table.
Cette table, dressée avec beaucoup de goût par Nathalie, est bien dimensionnée puisque nous pouvons facilement nous retrouver à 12 convives. Ce soir, nous sommes 9 et l’alternance fille-garçon est presque réalisée à l’exception de Nathalie, ma jeune et solitaire nièce, qui se retrouve, par la force des choses, assise entre Mélanie et Romain avec lequel il m’a semblé apercevoir d’ores et déjà une certaine connivence.
Mélanie nous apporte une entrée, banale mais qui reste une valeur sûre, faite de melon et de jambon de Parme. J’insiste toujours pour que les plats choisis ne nécessitent pas une trop grande préparation. Accompagné d’un porto bien frais, chaque invité a pu se délecter de ce premier plat.
Lorsque tout le monde a terminé son assiette, Mélanie, aussitôt aidée de Nathalie, ont débarrassé les couverts. Maintenant Mélanie s’active un peu dans la cuisine pour la suite alors que Nathalie nous rejoint à la salle à manger.
Au lieu de s’asseoir à sa place, Nathalie annonce à la cantonade :
— « j’ai encore faim, moi et j’ai pas envie d’attendre »
A peine a-t-elle fini de prononcer ces mots surprenants qu’elle se met à quatre pattes et passe sous la table.. Je commence à comprendre pourquoi elle avait insisté de mettre une nappe aussi longue
— « On va faire un jeu… nous dit-elle depuis sa cache Que celle ou celui dont je m’occupe de sourcille pas, sinon il sera éliminé et ne pourra plus jouer ! »
Mais où diable va-t-elle chercher ses idées, me suis-je dit. Elle est vraiment très coquine ma petite nièce Et pendant qu’elle s’affaire dessous la table, chaque convive tente de découvrir de qui Nathalie s’occupe.
Nathalie, pour ne pas créer d’incident diplomatique, a choisi de s’occuper de quelqu’un avec lequel elle savait ne pas risquer grand-chose Eh oui, Nathalie me suce déjà le sexe Sûr qu’elle est affamée. Et qu’il est difficile de ne rien laisser paraître. Son manège dure de longues secondes, et les commentaires salaces des uns et des autres lui permettent désormais de pousser plus loin son exploration.
Je me retrouve donc comme uncon, la bite en l’air, bien excité Nathalie s’est alors précipitée sur sa prochaine victime Qui est-elle ? Jean-Claude, Romain, Gilles ou alors une fille Difficile de le savoir, tout le monde reste stoïque ou poursuit sa discussion. Tiens, peut-être Gilles dont la manière de se trémousser légèrement sur sa chaise