J’ai fais l’amour pour la première fois avec Gilles mon Chéri dans une chambre d’hôtel et je lui ai offert mon pucelage ce qui l’a ravi.
Quelques jours plus tard il m’a remerciée en m’offrant une superbe bague qui doit nous rappeler cet évènement.
Les mois qui suivent nous sortons les week-end: visites dans Paris, séjours à la mer et autres.
Il m’a présentée à sa famille qui m’a très bien reçue.
Je m’entends bien avec sa sur Coralie.
Son frère Yvan lui a demandé comment il avait fait pour "dégoter" une si belle fille.
Nos relations sexuelles se passent suivant les situations soit dans notre petit coin tranquille, soit sur un plaid étalé dans l’herbe quand le temps le permet ou dans une chambre d’hôtel quand nous sommes de sortie. A chaque fois je termine nos ébats sexuels dans un état second car il n’hésite pas à me faire jouir jusqu’à ce que je n’en puisse plus.
Un soir je suis en retard au rendez-vous, j’ai eu un gros accrochage avec mon père qui n’aime pas Gilles à qui il ne trouve que des défauts et veut que je le quitte.
A part le fait qu-il ne supporte pas que j’aie des relations sentimentales avec qui que ce soit, j’apprends autre chose.
Un jeune homme, Jean Claude L….., que je n’aime pas me draguait et cela m’importunait, je l’ai rembarré vertement devant d’autres personnes puis il a su que je fréquente Gilles et est allé lui dire des méchancetés sur moi. Gilles l’a envoyé promener et lui a répondu qu’il ne croyait pas ses dires et que de toutes façons que mon passé avant de le connaître ne le concernait pas. Suite à cela Jean Claude a baratiné mon père qui s’est empressé de le croire.
Gilles m’attend adossé à sa voiture, je m’approche pour l’embrasser. Une paire de gifles me font reculer et mes joues sont en feu.
"Tu es en retard".
"Excuse moi, je vais t’expliquer".
"Pas maintenant, monte à l’arrière, déshabilles toi entièrement et donnes moi tes vêtements".
Je m’exécute sans répondre, la chaleur a envahi mon ventre et je commence à mouiller.
Il prend mes habits et les dépose dans le coffre.
Il se met au volant, démarre et nous gagnons notre coin habituel.
Une fois l’auto arrêtée il vient s’assoir à coté de moi, il m’attrape sans ménagement et me couche à plat ventre sur ses genoux.
"Maintenant tu vas être punie pour ton retard".
"Oui chéri, mon corps t’appartiens".
Il commence à me fesser, je ne suis pas satisfaite par la force des claques.
"Ce sont des caresses ou tu n’as pas de forces".
Suite à ces mots il ne retient plus ses coups. Il me fait très mal.
Je me trémousse, crie et pleure mais ne lui demande pas d’arrêter.
Une fois qu’il m’a bien battue, une fois que les claques ont cessées mes fesses me cuisent et la mouillure a coulée abondamment de mon vagin.
Il me déplace, m’allonge sur le siège, essuie mes larmes à l’aide d’un kleenex.
Je passe mes bras autour de son cou et l’attire vers moi.
"Merci mon chéri, c’était super".
Je l’embrasse avec fougue puis je déboutonne son pantalon et me démène pour sortir son sexe imposant qui se dresse fièrement.
Je me positionne afin de pouvoir m’en occuper avec ma bouche. Je l’embrasse puis le lèche partout.
Je le porte à mes lèvres, j’ouvre la bouche et l’enfonce au fond à en avoir la nausée. Je lui fais une fellation en m’appliquant avec des mouvements rapides très excitée.
Pendant ce temps il caresse mes cuisses puis mon vagin qu’il commence à doigter. ensuite il s’en prend au clitoris qu’il masturbe frénétiquement.
Excitée par la raclée qu’il m’a mise, le ventre en feu, rapidement mon corps se raidit puis viennent les spasmes pendant que je jouis beaucoup plus fort que d’habitude.
Je continue la fellation pendant qu’il doigte alternativement mon vagin et mon anus.
J’atteins l’orgasme pratiquement en même temps qu’il éjacule dans ma bouche. Je m’évertue à avaler tout son sperme qui est abondant, je continue à sucer et à lécher son pénis pour le nettoyer.
Il se déplace, se couche sur moi et sa queue pénètre ma chatte. Les va-et-vient durent un moment puis il me sodomise pendant que je gémis beaucoup et crie. Les orgasmes se succèdent pendant qu’il continue à me défoncer la chatte et le cul.
Quand il finit par éjaculer dans mon vagin je ne suis plus lucide et la mouillure a trempé mon entre-jambes et la serviette qui était sous mes fesses.
Pendant que je m’essuie et me remaquille il va dans le coffre de la voiture chercher mes vêtements puis il me les apporte.
En me rhabillant je lui explique la raison de mon retard.
"Ce n’est pas grave si tes parents ne m’aiment pas, l’important c’est toi et moi. Quand à ma situation, s’ils savaient ils seraient bien surpris".
Il m’explique qu’il a un emploi de technico-commercial avec lequel il gagne bien sa vie et qu’en dehors de cela il a créée une société
de dépannage informatique implantée dans deux villes et qui marche bien.
Quelques temps après c’est mon anniversaire, c’est la guerre à la maison alors je le fête avec Gilles dans un restaurant puis chez ses parents qui ont préparé un gâteau. Gilles m’offre des boucles d’oreilles et un collier, curieusement assortis à la bague qu’il m’avait offerte pour mon dépucelage.
Quand il me ramène je lui demande d’arrêter dans un chemin en dehors de la route, je veux le remercier pour cette journée et son cadeau.
Je dégage son sexe de son pantalon et de son caleçon, le caresse, l’embrasse puis lui fait une fellation énergique qui lui plait pendant qu’il caresse mes cheveux et mes joues.Rapidement il éjacule dans ma bouche, j’avale consciencieusement le sperme et continue la fellation un bon moment jusqu’à ce que son pénis gonfle puis arrose ma gorge. Je lèche pour le rendre propre.
Gilles veut me donner du plaisir, je refuse désirant passer la soirée avec mes envies (mon entre-jambes est très mouillé ainsi que ma culotte) pour penser à cette journée en me caressant.
Quelques temps plus tard j’arrive au rendez vous en pleurant.
Il me prend dans ses bras et demande ce qui m’arrive.
"C’est mon père, si je ne t’ai pas quitté d’ici la fin du mois il me mets dehors avec ’mon baluchon’ et je n’ai nulle part ou aller".
"Cela fait un moment que je pense à nous, j’ai quelque chose à te proposer mais ça ne peut se faire que si tu es d’accord".