Salut c’est votre folle de lycra.
Ça y est, j’ai retrouvé inspiration pour ce second chapitre, cela a été long.
Geneviève et moi venions de nous assoupir, après avoir fait des folies de nos corps. J’ai ouvert un il avant elle, je me suis regardé, j’étais habillé en fille, je venais d’honorer la femme de mon patron et surtout elle venait de me faire une turlutte d’anthologie. Elle était vraiment magnifique dans sa robe longue, douce et fluide qui mettait parfaitement ses courbes en valeur. Quand Geneviève a repris ses esprits elle s’est mise à m’embrasser avec gourmandise avant de me quitter. J’ai fermé la porte de mon studio qui était en communication avec le reste du rez-de-chaussée de la maison, car j’avais peur que le patron ne me surprenne ainsi vêtu. J’étais vraiment très heureux de ce que je venais de vivre, je vais vous avouer que je n’avais pas envie de me défaire des vêtements féminins que je portais. Mes vêtements sentaient le minou et par-dessus ça, Geneviève m’avait laissé sa petite culotte très odorante. Quelque chose venait de changer en moi et cela n’était pas pour me déplaire.
Ce qui me travaillait le plus, c’est que je venais de faire l’amour à la femme de mon directeur, cette dernière étant une véritable féline au lit je ne comprenais pas pourquoi son mari ne la touchait pas.
Bien évidemment l’après-midi je n’ai pas pu me retenir de me faire un petit plaisir, entre l’odeur de la culotte de Geneviève et la douceur des textures que je portais sur moi c’était vraiment très agréable et surtout excitant. En fin d’après-midi, je suis parti au cinéma, j’ai gardé mes vêtements féminins sur moi, j’ai juste enfilé un petit pull léger par-dessus pour que cela ne se voie pas. Ma fine robe longue, ne se voyait pas du tout sous mon jean. Avec mon tanga en lycra et mon chemisier satiné, je n’ai pas débandé de la soirée devant le film qui n’avait pourtant strictement rien d’érotique. À mon retour, à ma grande surprise était attaché à la poignée de ma porte, un petit sac que je me suis empressé d’ouvrir pour y découvrir à nouveau une culotte bien odorante et surtout poisseuse de la maîtresse de maison. Mon sexe commençait à montrer des signes de fatigue mais je n’ai pas pu me retenir de me refaire un petit plaisir avant de m’endormir.
C’est en mhabillant en femme sur les conseils vestimentaires de Geneviève que je me suis endormi ce soir-là.
Le dimanche matin vers sept heures, j’ai entendu frapper à la porte intérieure de mon appartement, c’était Geneviève qui m’a donné un petit peignoir satiné très doux et surtout très féminin, qui m’a aussi fait très plaisir. Nous étions à peu près de la même taille, elle avait la même pointure que moi, j’étais appelé à porter ses vêtements de plus en plus souvent. Elle faisait quand même que quelques centimètres de plus que moi, ce qui faisait que je n’aurais strictement aucun problème à rentrer dans les plus belles de ses parures. C’est vrai que Geneviève s’habillait toujours avec beaucoup de classe et j’en arrivais maintenant à m’imaginer dans la plupart de ses vêtements. Sur le coup j’ai enfilé ce peignoir en satin par-dessus ma tenue féminine, mais la maîtresse de maison m’a ordonné de me dénuder pour l’enfiler.
Une fois que je me suis retrouvé nu comme un ver devant elle, j’avais honte car j’avais une énorme érection devant elle, je me suis empressé d’enfiler le peignoir pour dissimuler mon sexe, mais Geneviève l’avait déjà saisi. Quand elle s’est agenouillée devant moi pour prendre mon sexe en bouche, j’ai fermé les yeux de plaisir ; elle savait vraiment y faire avec sa bouche et sa langue autour d’un sexe masculin.
J’ai cru qu’elle allait me faire une fellation comme la veille, mais elle s’est redressée puis s’est mise à m’embrasser en m’emmenant sur mon lit. Là elle m’a fait allonger en me gardant les pieds au sol puis m’a écarté les jambes. Une fois totalement offert à elle, elle s’est mise à me mordiller l’entrejambe ainsi que l’intérieur des cuisses, j’en arrivais à pousser des petits cris de plaisir, le plus insupportable fut quand elle est venue me déposer de la salive dans la raie des fesses. Je sentais sa langue se déplacer partout sur mon corps, son souffle chaud l’accompagnait, cela me faisait un effet monstre. J’étais complètement allongé sur le lit, j’ai fermé les yeux je me laissais faire ; j’étais totalement offert à Geneviève. Là, Geneviève m’a soulevé les jambes pour avoir un meilleur accès à la raie de mes fesses.
Quand j’ai senti sa langue se positionner sur ma rondelle, j’ai carrément poussé un cri de plaisir, heureusement que mon oreiller était à portée de main pour étouffer le cri. Moi qui étais totalement innocent dans ce domaine, j’y ai très rapidement pris goût.
Sa langue était indiscrète, elle formait des cercles concentriques, à chaque fois qu’elle arrivait à mon petit trou, elle repartait se promener tout autour. Ses mains me tenaient fermement l’arrière des cuisses, mais à aucun moment je n’aurais voulu changer de position tellement Geneviève me faisait du bien, j’en arrivais même à tenir mes jambes par mes genoux. Maintenant mon issue de secours rêvait que la langue de ma partenaire s’attarde sur elle, j’avais envie qu’elle m’excite encore plus mon anus. À ma grande surprise la prestation que m’offrait Geneviève me donnait une érection comme jamais je ne m’en étais vue. J’étais en train de me découvrir une sensibilité inavouable à cet endroit, mais cela n’avait pas l’air de déranger la femme de mon patron. Maintenant en plus de sa langue, je sentais ses doigts se promener tout autour, elle me tirait sur les fesses, j’en avais à avoir peur qu’elle me les déchire.
Par moments ses doigts s’attardaient uniquement sur mon petit trou, je vais vous avouer que j’avais envie qu’elle y glisse un doigt. Pendant que Geneviève me faisait un bien fou, je pensais à Claude qui devait être encore en train de bosser, même le dimanche, et sa femme lui était infidèle.
Maintenant je sentais mon anneau rectal quelque peu distendu, c’est à ce moment-là que Geneviève a décidé de me coller un doigt plein de salive dans mon orifice secret. Dans les premières secondes, j’ai été très surpris et même un peu honteux, mais rapidement c’est le plaisir qui a pris le dessus. J’étais en train de me demander si j’allais tenir longtemps avec ce traitement car Geneviève était tellement efficace que j’étais sur le point de jouir. Quand ma partenaire a glissé un deuxième doigt dans mon petit trou, puis a saisi mon sexe de l’autre main, je n’ai pas pu tenir plus longtemps. Pour la première fois de ma vie je venais de jouir suite aux caresses anales que venait de me pratiquer une femme. Il n’y a pas à dire Geneviève adorait faire l’amour, adorait donner du plaisir et surtout adorait faire jouir son partenaire. Je réalisai que pour la découverte du plaisir et des sensations nouvelles, j’étais vraiment entre de bonnes mains.
Maintenant j’avais une énorme envie de pénétrer la proprio, je lui ai fait savoir, elle m’a fait comprendre qu’il fallait que je me pare de nouveau des vêtements féminins qui étaient sur mon lit.
Tu vas devenir ma petite pédale, mon étalon, mais à chaque fois que tu voudras m’honorer, j’exige que tu sois toujours habillé en fille.
Ce n’était pas très valorisant pour moi, mais en même temps Geneviève était une très jolie femme, fort désirable, et j’avais l’honneur et le privilège de pouvoir lui donner du plaisir. Vous vous doutez bien qu’avec de telles conditions je n’ai pas été bien loin à me métamorphoser de nouveau en fille, j’avais vraiment l’impression que Geneviève prenait plaisir à me voir ainsi vêtu ; peut-être pour me rabaisser.
À partir de maintenant je ne veux plus que tu te coupes les cheveux, je t’apprendrai à te maquiller avec goût.
Moi qui voilà peu, me limitais à sentir les petites culottes de ma propriétaire, voilà que maintenant cette dernière était partie pour prendre goût à me féminiser. Par contre, par moments j’imaginais ce qui se passerait si Claude me surprenait dans les bras de sa femme ou juste habillé en femme. Une fois joliment travesti, Geneviève s’est absentée pour revenir avec un flacon de parfum, deux pschitts et ça y est, je sentais la femme distinguée.
J’avais l’impression que je n’avais plus beaucoup de liqueur à lui donner, par contre j’avais envie de retrouver la sensation de la veille, à savoir sentir mon sexe coulisser en elle. Mon anneau rectal avait toujours le souvenir de la venue de ses deux doigts, doigts qu’elle était maintenant en train de me donner à sucer. Je ne dirais pas que Geneviève était débauchée mais plutôt perverse et finalement ce n’était pas désagréable, j’avais la sensation de m’offrir à elle. Ça avait l’air de beaucoup lui plaire, en même temps je n’imaginais pas du tout son mari accepter ce genre de chose de sa part. Il y a une chose à laquelle je pensais aussi c’est que nous faisions l’amour sans protection et bien que Geneviève soit plus âgée que moi, je pense qu’elle devait être encore fécondable. En même temps je pense qu’elle avait les pieds un peu plus sur terre que moi à ce niveau-là. Donc une fois de nouveau métamorphosé en femme, Geneviève m’a de nouveau fait allonger sur le lit.
C’est à ce moment-là que j’ai découvert qu’elle était nue sous sa superbe robe longue, elle avait vraiment un corps magnifique, elle avait bien raison de ne pas le cacher.
De nouveau Geneviève s’est absentée pour aller chercher un collant fendu, très délicatement elle me l’a fait enfiler. Ensuite elle s’est amusée à me caresser les jambes à travers cette fine texture douce, qui me faisait des frisons des chevilles jusqu’à l’entrejambe. Après de longues minutes de ce traitement je ne pouvais que comprendre pourquoi les femmes mettaient des collants ou des bas. Par moments pour s’amuser, elle ne faisait que souffler sur mes jambes, même cela me faisait de l’effet. Maintenant que mes jambes étaient gainées de lycra satiné, Geneviève a estimé que j’étais prêt pour qu’elle passe aux choses sérieuses. Elle est montée sur le lit à quatre pattes, puis m’a chevauché, l’instant d’après mon sexe que je voyais dressé, venait de disparaître sous la douce robe de la proprio. J’ai rapidement compris que mon sexe qui était dissimulé, était en contact direct avec la toison tout humide de Geneviève.
Le temps que je réalise cela, elle avait saisi mon sexe pour se caresser la toison avec quelques instants. Elle a joué avec mes attributs masculins quelques minutes, avant de décider qu’il était temps que je la pénètre.
Geneviève ne s’est pas attardée sur les préliminaires, elle s’est littéralement assise sur mon sexe. Je peux vous garantir que me retrouver à l’intérieur de ce vagin si soyeux, c’était mon plus grand vu depuis qu’elle m’avait retrouvé ce matin. Maintenant elle jouait avec ses longs cheveux, elle s’amusait à les frotter sur mes vêtements doux et moulants. J’étais tellement excité et surtout réceptif que je peux vous garantir que je sentais ses cheveux se déplacer sur mon corps, cela me chauffait encore plus. Par moments elle prenait le temps de se pencher pour m’embrasser, de façon gourmande, de façon passionnée, de façon érotique et même par moments poétique. Il n’y a pas à dire cette femme savait vous mettre dans tous vos états. Le plus beau c’est que régulièrement elle allait tremper ses doigts dans son vagin, contre mon sexe pour en récupérer de la cyprine et me les donner à sucer. Jamais je n’aurais pensé qu’une femme puisse faire ça à un homme mais cela me plaisait énormément.
Geneviève était en train de me convertir au sexe débridé et sans limite.
Maintenant elle montait et descendait sur mon priape,
Je ne suis pas du tout un expert, mais je pense qu’elle contractait son vagin à chaque fois qu’elle redescendait. Quand je l’ai vue déposer de la salive sur ses doigts, j’ai craint le pire et bien évidemment j’ai eu le droit au pire. Dans les minutes qui suivirent, Geneviève était en train de me mettre maintenant trois doigts dans mon intimité. J’étais un peu contrarié qu’elle prenne une telle initiative, mais en même temps elle me faisait tellement de bien.
Tu sais que ton petit cul pourrait vraiment servir de chatte pour un mec. Tu te rends compte, si un mec te voyait dans cette tenue, pendant que je te glisse trois doigts dans le fondement, je pense que ça pourrait lui donner des idées.
Pour l’instant ce qu’elle faisait avec ses doigts me faisait énormément de bien, j’avais même écarté les jambes au maximum pour qu’elle puisse enfoncer ses doigts le plus loin possible. En deux jours, Geneviève avait fait de moi une grosse salope, très ouverte sexuellement parlant, mais de vous à moi, je pense que j’avais de belles prédispositions.
La combinaison entre la contraction de son vagin et l’intromission de ses doigts dans mon intimité, me faisait tellement de bien, que si je ne me retenais pas, je pense que je n’allais pas tarder à jouir. J’étais conscient que si je venais à partir si rapidement en Geneviève, je pense qu’elle m’aurait pris pour un lapin. Il en allait donc de mon honneur, de mon amour-propre que je résiste ce désir de jouir jusqu’à ce que ma partenaire puisse prendre son pied. Dans sa relation sexuelle, Geneviève savait être féline, tout comme être câline mais aussi entreprenante et sans limite. Au fond de moi, je ne concevais pas qu’une femme à ce point gourmande puisse ne pas avoir de relations avec son mari. De temps à autre quand physiologiquement je pouvais me le permettre, j’essayais de contracter mon sexe pour le rigidifier, au moment où ma partenaire contractait son vagin.
Finalement, et pour mon plus grand soulagement, car j’étais conscient que je n’allais plus pouvoir tenir longtemps, Geneviève a fini par atteindre le septième ciel. Elle s’est mise à pousser des cris qui me mettaient mal à l’aise, tellement ils étaient stridents et puissants.
Pour qu’elle se permette d’ainsi crier sans retenue, il n’y avait pas de doute, son mari n’était pas là. Vu que sa jouissance venait de très loin, elle n’a pas pu se retenir de me griffer les cuisses en profondeur, au point de filer le collant qu’elle m’avait fait enfiler. Elle secouait la tête dans tous les sens et ses longs cheveux lui donnaient un petit air de Gitane. De temps à autre sa robe se soulevait et j’avais une odeur de minou vraiment très agréable à humer. À vrai dire je pense qu’elle faisait exprès de soulever sa robe, pour me faire profiter de ces fragrances intimes, mais très excitantes, pour ne pas dire enivrantes. Une fois qu’elle a quitté les nuages, elle s’est laissée tomber sur moi, j’avais l’impression qu’elle n’avait plus aucune énergie. Elle était d’une douceur que je n’aurais pas soupçonnée, j’avais le visage complètement recouvert de ses cheveux et mon sexe était toujours fermement emboîté en elle.
De mon côté, il ne m’a fallu que quelques minutes pour jouir à mon tour en elle, tout en sachant que je n’allais pas lui déposer beaucoup de liqueur, car je pense que mon stock était vidé pour la journée.
Bien que nos corps soient séparés par quelques épaisseurs de tissu très doux, je sentais la chaleur de son corps sur ma poitrine mais surtout à l’endroit où ses cuisses se collaient aux miennes. Je serais resté des heures collé à elle, à la sentir inerte mais satisfaite et même peut-être amoureuse. Ce moment magique et unique, j’ai pu le savourer un bon quart d’heure, avant que Geneviève ne reprenne ses esprits et surtout son côté directif et autoritaire. Elle avait pris son pied, elle était contente d’elle, sans doute même satisfaite et elle était sur le point de me quitter pour reprendre ses activités la journée. Avant de me quitter, elle m’a embrassé avec passion et gourmandise, elle me tenait fermement le visage et elle me regardait dans les yeux avec son regard coquin et irrésistible.
Bonne journée ma coquine, prépare-toi à ce que l’on refasse ça souvent.
Cela me faisait tout drôle qu’elle parle de moi au féminin, surtout après que je vienne de la combler sexuellement. Je n’ai plus entendu parler d’elle pendant quelques jours, en même temps cela m’arrangerait car j’avais vraiment peur de tomber amoureux d’elle.
J’avais aussi peur que cela arrive aux oreilles de Claude, qu’il le prenne mal en me licenciant ou pire en venant me casser la gueule. A chaque fois que je croisais le patron au boulot, j’avais toujours l’impression qu’il me regardait avec un il suspicieux, en fait j’avais l’impression qu’il me regardait effectivement avec un il différent. Le samedi d’après, quand je suis parti lancer une lessive, je suis tombé sur Geneviève toujours aussi belle et désirable mais surtout excitante. Elle ne m’avait pas entendu arriver, je suis resté là immobile à l’admirer, à épier le moindre de ses gestes durant quelques instants. Finalement je me suis approché d’elle, sans vouloir lui faire peur, je lui ai tapé sur l’épaule, elle n’a pas sursauté.
Je sens que tu as envie de me baiser sur la machine à laver, n’aurais-tu pas oublié quelque chose.
J’étais impressionné par l’aplomb de cette femme qui me tournait toujours le dos, effectivement l’idée m’était passée par la tête une fraction de seconde. Mais que voulait-elle dire en me disant que j’avais oublié quelque chose.
Personnellement je trouvais que j’étais plutôt opérationnel, vu que j’étais avec mon caleçon et surtout mon érection, bref j’étais prêt à l’emploi pour lui faire du bien. Avec Geneviève je prenais de l’assurance, le petit puceau innocent que j’étais encore voilà peu, était maintenant bien loin, en peu de temps Geneviève avait réveillé l’étalon qui sommeillait en moi. Elle me tournait toujours le dos, maintenant je l’ai saisi par la taille avec pour projet de la faire tourner sur elle-même pour que nous nous retrouvions face à face. Une fois face à moi, j’avais envie de l’embrasser et de la plaquer contre moi, j’avais l’impression que c’était le mâle qui était en train de vouloir prendre le dessus en moi. Bien que légèrement plus grande que moi, j’étais plus fort qu’elle et je n’ai eu aucun problème à provoquer ce tête-à-tête.
J’ai senti qu’elle se laissait faire et c’est comme ça qu’au moment où j’étais sur le point de l’embrasser et que je la sentais offerte, son index est venu s’interposer entre nos lèvres.
Si tu veux que nous fassions l’amour, va te faire belle, je viens t’aider si tu le veux.
Vu mon envie de lui sauter dessus, j’ai fini par obtempérer. Geneviève m’a accompagné dans mon studio, elle a fouiné dans ma garde-robe, elle avait vraiment envie de me faire belle. Les vêtements étaient en train de s’accumuler sur le lit, j’étais déjà en train de m’imaginer toute belle. Une fois que Geneviève a fini sa sélection, elle s’est approchée de mon oreille.
Fais-toi belle ma chérie, je reviens dans quelques instants.
La suite, vous la découvrirez dans le prochain chapitre qui arrive bientôt.
Bisous à vous