Ma jupe flottait au gré du vent, les quelques brises qui se glissèrent en dessous me fessaient le plus grand bien. Le thermomètre avait encore grimpé de quelques degrés pour atteindre les 29 degrés. En tournant au coin de la rue de Charlotte, une voiture sarrêta à ma hauteur, à son bord, quatre jeunes me braquèrent du regard. Celui qui était au volant, sortit et me bloqua le chemin. Imposant et parfumé de la tête aux pieds, il me dévisagea, prit la cigarette qui était placée derrière sur oreille et se mit à la fumer et expira toute la fumée sur mon visage. Son compère sortit à son tour de la voiture et se plaça derrière moi. Sans un mot, il plaça sa main sur mon épaule et se fendit dun large sourire. Une rafale vint soulever ma jupe, jeus le temps de la maintenir, mais les vociférations des garçons me firent comprendre quils avaient entraperçu la dentelle de mon string. Je sentis une main se glisser le long de ma hanche, passer sous ma jupe pour terminer sur ma fesse droite. Ce merdeux me tripotait ma fesse droite. Un grincement de pneus me fit sursauter. Les garçons salarmèrent et reculèrent dun pas en arrière. Le jeune homme derrière moi lâcha un juron. Le père de Charlotte lavait attrapé à la gorge et lavait plaqué contre la haie. Figés, les autres regardèrent la scène sans vraiment comprendre ce qui se passait. Sans réfléchir, je continuai ma route dun pas pressé en direction de la maison de Charlotte. Une fois devant la villa, je vis le père de Charlotte regagner sa voiture et les jeunes senfuir au bord de leur voiture. Jentrai et me mis à appeler Charlotte pour lavertir de ce qui venait de se produire. Sur lécran de mon GSM :
« je suis chez Thomas, je viens de voir ton message, jarrive dès que j’ai fini ici bisous »
La porte souvrit et le père de Charlotte mattrapa et me serra contre lui. Le souffle haletant il mobserva longuement pour sassurer que je navais rien. Son t-shirt était couvert de quelques taches de sang, mais ce nétait pas le sien. Il sinstalla dans le divan, je me pressai à la cuisine remplir un verre deau fraiche. Entre-temps il mavait rejoint dans la cuisine torse nu. Il vida le verre dune seule gorgée et me remercia. Au fond de moi, je me sentais redevable pour ce quil avait accompli. Il sapprêta à sortir de la cuisine quand je me mis à le serrer contre moi. Il était en sueur et avait du mal à retrouver une respiration normale. Tout en glissant ses mains sur mes fesses, il me fixa de son regard ténébreux et me dit :
« Personne ne touche à ces fesses-là, personne ».
Au fond de moi, jexplosai de joie et javais quune envie lembrasser, mais il memboita le pas en posant ses lèvres sur les miennes. La différence de taille se fit ressentir, il mattrapa par les hanches et me souleva du sol pour me déposer sur le plan de travail de la cuisine. Il commença à môter le haut et dune seule main, dégrafa mon soutien-gorge. Je me sentis très gênée de cet empressement. Il plaça son visage entre mes seins et se mit à lécher mes tétons qui entre-temps avaient durci. Je le repoussa, descendis du plan de travail et lui pris la main et le dirigea dans le salon. Il était tellement excité quil ne put sempêcher darracher ma jupe avec précipitation. Je le poussai des deux mains dans le divan. Le fixant du regard, je me mis à masser mes seins sensuellement. Il déboucla sa ceinture et enleva son jeans. Les évènements prirent une tournure que je navais pas envisagée. Charlotte pouvait rentrer dun moment à lautre, je fis un signe de la tête et me précipitai en haut tout en ramassant mes vêtements, il me suivit dun pas pressé. Arrivé dans sa chambre, il me lança sur le lit et se mit à se masturber devant moi. Son sexe avait triplé de volume, inconsciemment je repensais au sexe de Thierry qui était beaucoup moins imposant que le sien. Le visage du père de Charlotte affichait un rictus quasi extatique. Il mallongea avec une certaine fougue bestiale. Sa langue traça un sillon humide sur mon ventre, depuis mes seins jusqu’à mon pubis. Il mécarta les cuisses et se mit à lécher mon vagin comme un enfant se jetant sur sa glace. Ses grandes mains me malaxèrent les seins pendant quil lâchait un râle de plaisir. La veine de son front palpitait encore plus vite. Il écarquillait les yeux pour ne rien perdre, dévoré par lexcitation. Son étreinte dominatrice mempêcha de faire le moindre mouvement. Mon dieu quest-ce que jaimais cela.
La porte dentrée claqua, je me relevai et courus me cacher dans le placard. Son sexe en érection, il sinstalla confortablement sur le lit et alluma la télévision. Mon il inspecta la pièce depuis la légère ouverture du placard, mon cur battait la chamade et je suais abondamment par le stress, par lexcitation et par la chaleur. De ma position, je réalisai avec ébahissement que la taille de son sexe était tout de même largement supérieur à la moyenne. Charlotte fit irruption dans la chambre et ne fut pas étonnée par la nudité de son père, elle sauta sur le lit et vint sinstaller à côté de lui, elle ne détacha pas ses yeux de son sexe. Elle affichait un léger sourire.
« Tu regardais un porno, avoues ! »
« Non, pas du tout, javais chaud » il attrapa un cousin et vint le placer sur son sexe. Charlotte se leva du lit et réajusta sa jupe, tira sur son décolleté et se mit à sadmirer dans le miroir, elle contempla son père par lintermédiaire du miroir et au bout de longues secondes, elle dit :
« Alexandra, nest pas passée ? » Sans attendre de réponse de sa part, elle se jeta de nouveau sur le lit et sempara du cousin. Elle plaça sa main sur son ventre et contempla son sexe avec avidité.
« tu aimerais que je te branle, je le sais »
Agacé par son attitude, son père se leva et lattrapa par le bras et la ficha dehors et verrouilla la porte à clé. Au fond de moi, je savais que Charlotte avait des rapports ambigus avec son père et sur le moment je culpabilisais et de plus je serais verte de jalousie si elle fessait quelque chose avec Thierry. Mais mon excitation avait repris le dessus, je sortis, il eut à peine le temps de me chuchoter quelque chose à loreille, que je magenouillai et me mit à la hauteur de son sexe. Dune main hésitante, jattrapai son sexe et linspectai sous toutes ses formes. Il comprit aussitôt quavec un tel maniement, je navais jamais eu de réelles expériences avec un sexe. Agréablement surpris par mon intervention, il se laissa faire et se détendit. Je navais jamais fait de fellation auparavant. La taille démesurée de son sexe me freina quelque peu. Je me mis à le lécher timidement, mes lèvres vinrent se poser sur son gland. Je pris son sexe de mes deux mains et décida de sucer tout ce qui dépassait, même si mes mains nétaient pas spécialement grandes, au moins 10 cm dépassait, je me mis donc à le sucer délicatement pour éviter de lui faire mal avec mes dents. La sensation nétait pas désagréable, tout dun coup, il ôta mes mains de son sexe et me prit par les cheveux et fit des va-et-vient dans ma bouche. Je failli métouffer, mais son emprise sur moi, mempêchai de dire quoi que ce soit. Il continua de longues secondes, quand il sortit son sexe, un filet de bave dégoulina au sol. Je repris tant bien que mal ma respiration et jétais en état de choc, car il venait de massujettir, faire de moi son jouet sexuel, jétais finalement prise à mon propre jeu. Complètement dépassée, je me laissai faire sans me poser de question et tenta tant bien que mal de savourer linstant. Les informations arrivèrent toutes en même temps à mon cerveau et ce dernier eut bien du mal à les recevoir et à les traiter. Cest comme si jétais dans une attraction forte et que tout mon corps subissait les sensations extrêmes. Même si tout ceci était nouveau pour moi. Il magrippa les seins et y plaça son sexe entre, celui-ci était enduit de ma bave et ne pouvait être plus tendu. Il compressa ma poitrine pour que mes seins écrasent son sexe, bien que ma poitrine soit généreuse, elle ne suffisait pas pour dissimuler son sexe. Pendant quil sévertua à réaliser la branlette espagnole possible, jexaminai son regard. Il était parti dans un délire purement sexuel et rien ne put len sortir. Le GSM dans mon sac se mit à vibrer. Consciente que je devais accélérer la cadence pour ne pas laisser Charlotte seule, je lui saisis son sexe et de mes deux mains, me mit à le masturber vigoureusement. Javais énormément de mal à le maintenir, son bassin sagita dans tous les sens. Il mattrapa sauvagement mes cheveux et se mit à lâcher des mots crus. Je me mise à le sucer de plus belle, il enfonça son sexe le plus loin possible dans ma bouche. Il dirigea ma main qui était placée sur sa cuisine, vers ses testicules. Il me fulmina de les triturer avec ardeur. Je nétais plus certaine de ce que subissait mon corps, jétouffais, mais je fis dénormes efforts sur moi-même pour répondre à ses moindres caprices. Son corps se raidit, il se cambra en arrière et du liquide chaud gicla dans le fond de ma gorge, je ne pus le contenir plus longtemps dans ma bouche, je le recrachai et son liquide continua à éclabousser mon torse. Je mempressai à continuer à le masturber jusquà la dernière goutte. Jen avais un peu partout, cétait un mélange de son sperme avec ma salive. Il sétala sur le lit et me signe de partir. Je me rhabillai tant bien que mal tout en essuyant au maximum la semence quil avait laissée sur et dans moi. Javalai une partie pour en connaître le gout.
10 min plus tard.
Je sortis discrètement de la maison de Charlotte. Devant chez elle, je me mis à lappeler pour lavertir que jarrivai. Quelque temps après, nous nous retrouvâmes dans sa chambre.
« Quand je suis rentrée, jai surpris mon père se masturber, il en a une grande, tu nas pas idée » Jacquiesçai dun léger sourire, mais à lintérieur de moi, je me disais « oh bien évidemment que jai une idée ».
[Suite]