Il y a 20 ans …
Je suis professeur dans une grande école et nous sommes en voyage d’étude à la côte belge une semaine avec toutes les élèves infirmières.
Nous passons le temps entre cours improvisés et activités sportives.
Le soir, musique, dance et jeux divers.
Je suis là en célibataire avec mon fils de 4 ans adorable, coqueluche de ces demoiselles qui s’en occupent …
Nous sommes une centaine d’étudiantes et quelques monitrices et je suis le seul mâle de l’école.
Ce lundi, tennis, pingpong et puis piscine fin d’après-midi.
A la piscine on joue au ballon comme des sauvages et les contacts se multiplient.
Je suis derrière une étudiante de 21 ans, Brigitte, pas mal de sa personne et j’essaye de lui arracher le ballon qu’elle a dans ses bras. Je suis derrière elle et je la tiens dans mes bras pendant que quelqu’un d’autre lui arrache le ballon.
Merde, je commence à bander en contact avec son magnifique derrière et elle doit le sentir.
Puis pas croyable, je sens qu’elle fait tout pour entretenir le contact et faire amplifier mon érection. Je sens que ma verge pointe vers elle.
Il y a du monde et je ne sais quelle attitude adopter. Arrêter ou jouer un peu à ce jeu dangereux. Je continue le jeu qui me donne des sensations fantastiques. Je la maintiens toujours de dos en tirant ses bras vers l’arrière ce qui écrase encore plus son cul sur ma verge. Elle se débat pour se libérer ce qui masse mon pieu sur ses fesses et nous rend la situation claire. J’ai failli. Elle réussit à se retourner, et ce sont les seins qui s’écrasent sur mon torse. Ma verge est en contact avec son entrejambe, j’ai envie d’elle, elle aussi, mais comment se dépêtrer ? Le petit jeu s’arrête, on se sépare, on continue la partie et nous quittons la piscine, direction les vestiaires.
Tous se sont rhabillés et quand je sors de ma cabine, elle sort en même temps de la sienne et nous nous retrouvons face à face. En deux secondes ça y est, on pénètre vite dans une cabine comme des amoureux fous. Vous imaginez une fille bien foutue de 21 ans avec le professeur de 28 ans pleins d’envies nées d’un contact dans la piscine. Le vrai coup de foudre … ! Je l’embrasse pleine bouche, voracement, mon sexe est déjà en ébullition contre elle. Je la retourne et prends possession de tout d’elle, d’abord les seins que je sens libres de tout soutien qui n’attendent que mes mains possessives. Je descends, je caresse son ventre, je descends, je découvre tout son bas-ventre avec quelques intrusions plus bas où je me délecte d’approcher son sexe. Je la déshabille petit à petit, chemisier, jupe, slip, elle est nue. Je descends short et slip, ma verge est libre, tendue dirigée vers ses trésors. Je l’incline sur la banquette, elle écarte ses jambes et je la pénètre en une fois. Je suis au fond d’elle, elle balance son cul en avant, en arrière, la pression monte et j’éjacule en elle qui hurle intérieurement en sentant ma semence lui remplir le ventre.
On s’embrasse, le mal est fait. On se dit des petits câlins, on se promet de trouver des petits moments d’intimité très vite.
La soirée se passe comme les autres, musique, dance. On se retrouve pour une série de slows, nous sommes décents en public, bien que le contact répété de nos bassins fait naître chez moi un début d’émoi peu orthodoxe.
Mon fiston mis au lit par certaines étudiantes très maternelles, je remonte en chambre quand je suis happé par Brigitte dans sa chambre qu’elle partage avec une autre étudiante, une amie à elle, Marie Christine 20 ans.
Elle a vendu la mèche à sa copine, ce qui n’arrange pas mes affaires. Je suis marié et la discrétion doit être de rigueur.
Pourquoi me dis-je ? En fait son amie est vierge, folle de moi et veut que je sois son premier homme. Les relations entre les deux filles sont très poussées jusque dans leur intimité. Me voilà avec deux filles à satisfaire, qui sont en plus mes élèves.
Elles sont déjà en pyjama assises sur le lit. Pyjama en tissu fluide avec blouse moulante exposant leurs charmes à 100%.
Je ne résiste pas, je les embrasse lune après l’autre. Je cherche des petits contacts ici et là avec leurs seins désirables.
Elles me poussent et m’obligent à m’allonger sur le lit. Brigitte défait la ceinture et les deux premiers boutons de mon pantalon et insinue sa main au-dessus de mon slip vers mon sexe qui commence à réagir à la situation et à la manipulation si douce. Marie Christine m’embrasse et me confirme tout le désir qui est le sien d’être possédée par moi. Elle m’avoue s’être très très souvent masturbée en pensant être déflorée par moi. Je joue un jeu dangereux mais combien jouissif en puissance.
J’ai deux femmes jeunes à ma disposition, avec tout ce qu’il faut, et qui en veulent.
Je retire mon pantalon, ma verge pointe au travers du slip. Les deux filles me tricotent, une me lèche en mouillant de salive le slip. Marie Christine éprouve avec sa bouche la dureté de mon sexe. Le gland sort du slip, Marie Christine dit ohhhhh! elle prend en main le gland, lui donne des bisous, une goutte perle au bout sitôt léchée. Je retire mon slip, la verge est fière. Marie Christine admirative du sexe en érection le prend en main et s’inquiète de savoir si il sera possible de le faire entrer dans son vagin. Les deux filles conversent. Brigitte explique que l’après-midi, elle est entrée en elle comme dans du beurre et jusqu’au fond.
Je prends les choses en main et je déshabille les deux filles. Elles sont nues sur le lit et je commence à les éveiller. Je m’occupe de leurs seins, caresses, bisous mouillés, ils pointent de plaisir. Je les couche sur le dos et m’occupe des dos et des fesses, des petits massages avec des intrusions dans leur entrejambe pour m’assurer que la zone s’humidifie comme je le souhaite.
Je suis particulièrement attentif à Marie Christine. Je veux qu’elle soit fin prête pour être baisée comme il se doit. Elle est sur le ventre et je suis à portée de son sexe. Je découvre toute son anatomie à mon aise, les grandes lèvres, les petites, le vagin, le clitoris qui sort le bout de son nez. Elle sent la femelle, elle mouille. Je la masse du pouce, elle glousse.
J’ai une trique d’enfer. Elle est préparée.
Brigitte veut être de la partie dans le dépucelage de Marie Christine.
Elle s’empare de ma verge en érection avec laquelle elle masse avec de petits mouvements circulaires de haut en bas le clitoris de Marie Christine qui est au bord de l’implosion.
Le grand moment est arrivé. Elle fait entrer le gland dans le vagin de Marie Christine. Ses lèvres se distendent, mon gland est entré, il progresse, il bute sur l’hymen qui cède et ça y est, la verge est entièrement à l’intérieur. Petit moment de répit et puis petits mouvements de sorties et d’entrées.
La pression monte, Brigitte masturbe Marie Christine, elle masse son clitoris, de mon côté, je la pistonne, elle va arriver au point de non retour. Brigitte lui met la main sur la bouche pour ne pas ameuter les autres.
Elle a son premier orgasme de vraie femme.
Etre le premier déclenche mon éjaculation, de fortes giclées que j’envoie bien au fond de son vagin.
On se repose tous les trois blottis.
Marie Christine me regarde et me dit merci avec un regard plein de tendresse, merci d’avoir fait d’elle une vraie femme.
Brigitte, elle recommence doucement à s’occuper de moi. Petits bisous, caresses délicates sur mon sexe qui petit à petit revit. En un quart d’heure elle me remet au garde à vous.
Son souhait, la sodomiser en levrette. Elle voudrait découvrir la sensation.
Je l’agenouille sur le lit, et je promène ma verge d’avant en arrière pour préparer avec sa mouille son anus.
Elle est magnifique dans cette posture, ses seins pendant, ballotant dans tous les sens.
Je ne peux m’empêcher avant de répondre à son souhait de la pénétrer devant.
Je la lime.
Ma verge est au top de la bandaison.
Je suis fin prêt.
Je délaisse son vagin.
Ma verge mouillée de son jus commence sa lente progression dans son cul.
Elle est serrée.
J’avance à petits pas.
J’y suis.
Je la laisse s’habituer.
Je commence mon va-et-vient.
C’est génial.
Elle explose.
Je la suis et déverse mon jus dans ses entrailles.
Nous avons recommencé tous les soirs.
Vacances scolaires uniques.
Marie Christine est mon amante depuis 20 ans.