Juliette s’était retirée dans sa chambre encore toute bouleversée par ce qui venait d’arriver. Comment avait-elle pu se faire manuvrer par sa petite fille. Il est vrai que le sexe avait une place prépondérante dans sa vie. Se retrouvant seule trop tôt dans la vie, elle n’avait pas eu le courage de recommencer une nouvelle histoire même si, le soir, seule dans son lit, elle ne sentait plus à ses côtés le corps chaud de son partenaire.
Bien vite ses doigts retrouvèrent le chemin qui mène au plaisir comme elle avait l’habitude de le faire durant son adolescence. Jour après jour, soir après soir, elle se soulageait et ses plaisirs solitaires s’accompagnaient de plus en plus souvent d’images de femmes. Elle avait même fini par s’abonner à un magazine lesbien. Elle se souvenait aussi des moments où elle donnait le bain à Chloé et ne pouvait s’empêcher de mettre plus de temps que nécessaire pour lui laver le sexe. Elle se souvenait aussi que juste après elle se masturbait avec frénésie. Puis Chloé a grandi, elle est devenue femme. Comme elle aurait aimé continuer à lui donner le bain. Alors ce qui venait de se passer avec sa petite fille, dans le fond, n’était que la suite logique de ses fantasmes. Elle savait qu’elle allait recommencer, qu’elle s’offrirait entièrement aux caresses de Chloé, qu’elle la caresserait elle aussi. Jamais elle n’aurait cru qu’à son âge elle pourrait enfin faire réellement ce dont elle avait souvent rêvé. Ce soir peut être, Chloé la rejoindra dans sa chambre. A cette idée sa chatte se mouilla.
— Mon dieu, se dit elle, je vais devoir encore une fois me contenter de mes doigts.
Elle se mit toute nue et ses caresses eurent vite fait de l’amener à la jouissance, se croyant enfin tranquille elle continua de passer lentement sa main sur son pubis mais une nouvelle irrésistible envie monta en elle et ne s’apaisa qu’après avoir joui de nouveau.
Pendant le dîner, Juliette assise en face de Chloé, n’osait pas la regarder. Par contre elle sentit un pied s’immiscer entre ses jambes et sa seule réaction fut d’avancer le bassin pour que les orteils atteignent plus aisément sa culotte. Chloé faisait comme s’il ne se passait rien et devisait avec sa mère, assise à côté d’elle.
Juliette concentrée sur l’excitation qui montait mis un certain temps avant de s’apercevoir qu’un bras de Chloé était sous la nappe. Ah la vilaine se dit la mamie, elle est en route à se caresser elle aussi mais le bras de sa petite fille n’était pas dirigé vers elle mais plutôt vers sa mère. Les joues rouges et le nez pincé de cette dernière ne laissaient aucun doute, Chloé ne se branlait pas, elle branlait sa mère. Voyant le regard effaré de sa grand-mère, Chloé hocha la tête pour lui faire comprendre que ce qu’elle croyait être, se passait réellement.
— Tu vois mamie, maman est aussi avide de sexe que toi, regardes la, tu vois son plaisir qui monte.
— Maman dit Elise le souffle de plus en plus rapide, Chloé m’a raconté, je ne sais pas exactement ce qu’elle te fait en ce moment mais tu es comme moi, à la limite de l’explosion, n’est-ce pas maman.
— Oui ma fille, cette diablesse de Chloé a le diable en elle. Je sens son gros orteil qui s’attaque à mon clito.
— Moi c’est son doigt qui s’occupe de mon bouton rétorqua Elise.
— Il faut avouer, commenta Chloé que de ce côté là vous êtes plutôt gâtées, on ne peut pas le rater. Juliette et Elise eurent leur orgasme en même temps et s’assoupirent quelque peu après cette violente jouissance mais Chloé ne l’entendit pas de cette oreille.
— Et moi alors, qui s’occupe de moi?
Elise et sa mère se levèrent d’un bond et d’une seule voix.
— Nous serons deux ma petite Chloé, tu auras droit à une double jouissance.
— Ce ne sera pas facile commenta Chloé, 4 mains et deux bouches c’est trop alors je propose que pendant que l’une s’occupe de moi, l’autre s’occupe de celle qui me caresse et quand j’aurai eu mon premier orgasme vous inverserez les rôles. Qui commence? Maman? Mamie? Attendez, j’ai une idée.
Chloé fit mettre les deux femmes côte-à-côte et passa un doigt de chaque main dans la fente du sexe de chacune.
— Maman tu commences, c’est toi la plus mouillée.
— Mais moi j’ai le plus gros clito râla Juliette.
— Justement tu jouirais trop vite et tu me laisserais en plan.
Le trio se forma, se défit puis se reforma. Tout le monde y trouva son compte. Le soir, bien que le lit fût étroit, elles dormirent ensemble et bien sur elles ne restèrent pas inactives. Elles étaient trop énervées pour trouver le sommeil et Elise raconta l’histoire de sa sur Lucie et des premiers émois de Chloé.
Juliette ne parut pas étonnée par ce récit.
— Ta jeune sur a toujours été en avance sur son âge commenta Juliette. Plus d’une fois je l’ai surprise en train de se donner du plaisir et jamais elle n’a essayé de cacher son goût pour la masturbation. Tu étais mariée Elise et moi j’étais seule. Les masturbations de Lucie m’indisposaient et m’excitaient à la fois. Je me suis mise à faire comme elle et ce qui devait arriver arriva. Ce fut elle qui me surprit en pleine séance de branlage alors que je me croyais seule à la maison.
— Continues maman m’avait elle dit, c’est beau une femme qui se branle. Je vais faire la même chose.
Je n’ai même pas pu protester tant mon envie été grande et mes désirs lesbiens étaient si forts que j’oubliais qu’il s’agissait de ma fille.
— Comme aujourd’hui ajouta Chloé. Et vous vous êtes masturbées de concert
— Non seulement de concert mais aussi mutuellement avec la main puis avec la langue et ça doit être un don dans la famille car vous léchez aussi bien qu’elle.
Il va sans dire que ce genre de discussion, entre trois femmes, nues dans un lit, en pleine nuit eut des effets secondaires. Les trois femelles, que l’on croyait rassasiées, avaient repris de la vigueur.
Au petit matin, exténuées, elles s’endormirent enfin, heureuses car elles allaient passer des moments merveilleux à n’en pas douter.