J’arrive dans ce bar, élégant et décontracté, je m’assieds au comptoir, commande un whisky et un cigare. Je regarde partout autour de moi quand japerçois dans le fond cette jolie femme, élégante, sexy et attirante. D’un coup mon je me sens irrésistiblement attiré, absorbé excité. Je ne cesse de la regarder, la dévisager, l’envisager. L’envie me prend de plus en plus, je m’imagine l’aborder, lui parler, la séduire ou tout simplement la suivre et sans mot dire lhonorer.
Sous l’effet de mon regard insistant, elle me repère. Je sens son regard de plus en plus porté sur moi, elle répond a mes sourires, me dévisage, m’envisage. Elle porte son verre a ses lèvres, prends son glaçon dans la bouche, le laisse fondre sur sa langue en me regardant dans les yeux. Elle passe sa langue sur sa bouche, ses mains sur sa poitrine. Je sens son regard teinté d’envie décupler la mienne, je me retourne, commande un autre verre pour me donner du courage, de l’assurance.
Elle se lève, me regarde et commence a se diriger vers la salle du fond. Revient a moi cette idée du vieux fantasme de la belle inconnue, ce genre d’occasion qui ne se représente pas. J’enfile mon verre, me lève et commence a la suivre. Arrivé a l’entre porte je la rattrape, la prend par le bras pour l’attirer vers moi, la coller contre moi, dans son dos, une main autour de la taille. Elle passe une main derrière sur mes fesses, ma main sur ses seins, mon sexe durcit contre ses fesses, elle tourne la tête pour m’embrasser, se retourne, passe sa main sur mon pantalon pour sentir mon désir montant.
Sans mot dire elle me regarde, se baisse doucement, dégrafe mes boutons pour libérer mon membre, le prendre en main et commencer a le lécher, le prendre en bouche, y donner des coups de langue tout le long, des bourses jusqu’au gland, le reprendre en bouche en me regardant, je pose mes mains sur son crâne pour la guider, mon sexe de plus en plus gonflé au fond de sa gorge.
Mon degré d’excitation est de plus en plus intense, je la relève, arrache ses boutons un a un, libère ses seins, ma langue s’aventurant sur ses tétons, je les titilles , les prends entre mes lèvres, les mordilles, les aspires, un puis l’autre, les prends a pleine bouche, je sens son excitation, son envie , ses seins gonflés de plus en plus durs. D’une main je soulève sa jupe, baisse sa culotte, lui caresse la vulve, son sexe tout trempé, mes doigts sur son bouton gorgé, ses lèvres gourmandes. Je la sens prête a m’accueillir, je prends mon sexe le frotte contre le siens, le fais glisser sur ses lèvres, son vagin, je luis soulève la jambe et commence a la pénétrer, doucement, délicatement, menfonçant de plus en plus loin, de plus en plus vite, je m’avance pour l’embrasser pendant que mes coups de rein s’accélèrent, Je la pilonne, la martèle, mes coups de rein deviennent coup de butoir, elle gémit, tremble de plus en plus, me regardant d’un regard salace, coquin, l’excitation dégoulinant de ses yeux.
Je me retire un peu, la retourne, la plaque face contre le mur, ses mains au dessus de sa tête, je lui soulève une jambe et recommence a la prendre, plus sauvagement, mon excitation, mon désir a leur paroxysme, je vais bien profond, bien loin, mes reins cognant contre ses fesses, mes bourses contre ses cuisses. Je gémis elle crie, je continue mes vas et viens, des mouvement amples, circulaires et profonds. Elle tremble de plus en plus, a des spasmes, des soubresauts, son bassin se contractant, m’écrasant le gland bien au fond de son corps, mes muscles se contractent. Je sens que le plaisir mon monte de plus en plus. Elle tourne la tête pour m’embrasser pendant que j’accélère encore, son sexe coulant de plus en plus, sentant son plaisir couler sur mes jambes, ses cris de plus en plus fort, son bassin ondulant, bougeant, elle commence a se laisser aller, a s’abandonner, jouissant sous les coups de mon bassin, continuant mes mouvements, puissant et profond. Je sens ma sève remontant le long du conduit, parcourir tout mon sexe pour jaillir entre ses reins, mes mouvements se saccadent, je lui donne tout mon fluide, mon plaisir toujours en train de l’embrasser.
Je m’abandonne en elle, l’embrassant a pleine bouche pour bien la sentir une dernière fois, comme pour la remercier de ce moment divin, l’accomplissement d’un vieux fantasme qui me hantait depuis toujours. Je me retire me rhabille et retourne au bar, commande un whisky et le déguste, le savoure, heureux comblé, émoustillé, des images plein la tête.
