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Soirée particulière – Chapitre 1

Soirée particulière - Chapitre 1



Nous devenons folles. Le champagne fait son effet. Les histoires de nos amours sont maintenant à la limite de la pornographie. Il faut dire que les filles entre elles sont plus crues que les hommes.

La première à nous raconter ses ratées avec son mari est Jeanne, une belle fille un peu en rondeurs. Il lui fait lamour à sa façon, deux coup dans le vagin, il lâche sa purée et cest fini. Elle attend quil dorme pour se satisfaire. Pourtant rien ne la force à le tromper.

Henriette, elle ne se prive jamais damour. Pourtant elle vit seule dans sa maison. Elle trouve toujours un amant, jamais le même pour vivre des nuits éblouissantes. Je ne sais pas comment elle arrive à ce résultat, dautant plus quelle nous parait toujours sérieuse, trop même.

Moi, je reste célibataire à 30 ans, sans attache particulières vivant l’amour au jour le jour, si jai un homme jen profite, si je nen ai pas, je me masturbe sans problème. Lamour physique que jaime bien nest pas ma préoccupation principale.

Toujours sous la dictée du champagne nous décidons daller dans un endroit discret où les couples se mêlent sans problème. Le lendemain soir, je repense à notre projet que je trouve sacrément osé.

Les jours passent quand un de mes copains linvite pour participer justement à une soirée particulière : il ne veut pas men dire plus. Je le connais assez bien : il est attiré par les hommes. Il me surprend, surtout que je ne sais trop comment se passe ce genre de soirée. A tout hasard je prends dabord une douche pour être bien reluisante, jévite la masturbation : je me dis que je vais baiser, jen aurais sans doute assez.

Pour la toilette cest vite fait, ma robe blanche, la collante devrait aller à condition que joublie de mettre des sous vêtement : au fond ça ne me gêne pas. Je sais que mes mamelons sont apparents, lidéal pour ce soir. Mon copain fidèle à sa réputation est chez moi juste à lheure. Le chemin est court, nous navons pas darguments pour bavarder surtout que dès la sonnette enclenchée, une jolie femme dans un robe comme la mienne, mais noire ouvre : elle nous embrasse rapidement. Disons quelle embrasse mon copain rapidement. Pour moi cest directement sa bouche sur le mienne, oh pas un baiser normal, juste un baiser promesses.

Je sens de suite quelle me veut. Elle ne serait pas la première à me faire comprendre quelle me veut, mais là je sens que je vais me laisser faire : elle me plait bien.

Dès lentrée je sens lodeur de lamour, lodeur des sexes. Comme un léger picotement au bas ventre me montre que je ne vais pas céder ma place. Mon copain est déjà parti avec ses amis. Je ne reste pas longtemps seule, lhôtesse est déjà à mes coté :

— Tu es seule ?

— Oui,

— Si tu veux de moi, je suis disponible.

Je la détaille : elle doit avoir mon âge, brune les yeux verts rare. Sa poitrine est plus ronde que la mienne. Je suis totalement hétérosexuelle et je me laisse lever par une fille. Je suis curieuse de savoir ce que peut faire une autre fille avec moi : je verrais bien, je nen mourrais pas de toute façon et je mourrai moins bête.

Sans gêne elle me prend la main pour memmener vers une chambre au fond dun long couloir. La lumière tamisée nous servira à nous cacher un peu. Sa bouche revient sur moi. Cette fois cest un baiser complet quelle me donne. Cest très agréable de sentir sa langue venir dans ma bouche.

Nous nous serrons longuement pendant ce baiser accrocheur. Je ne voudrais pas quelle arrête. Je sens mes seins gonfler. Sa bouche oublie un moment la mienne pour le cou. Elle me donne des frissons. Ses mains descendent de mon dos pour chercher je ne sais quoi. Si elle ouvre ma robe pour men dégager : elle sait que je suis nue dessous. Mon vêtement tombe sur le sol. Je suis comme une idiote nue, devant une femme qui ne me connait pas encore. Je nai pas de réflexe de pudeur : je me montre telle que je suis.

A son tour elle fait tomber sa robe : sa nudité me sidère tellement son corps me plait. Nous sommes à nouveau corps à corps. Cest excitant de sentir sa poitrine contre la mienne. Nos pubis se touchent longuement : je suis toute trempée.

— Jai envie de toi, je veux te baiser.

— Moi aussi jai envie que tu me baise.

— Tu sais faire lamour ?

— Avec les hommes oui, pas avec les femmes.

— Je vais tapprendre.

Elle nattend même pas mon accord, une main sur mes fesses me donne encore le frisson. Son autre main passe entre nous deux pour venir sur ma choupinette. Elle caresse mes poils au passage avant daller directement sur mon bouton. Je crois quelle ne caresse dun seul doigt. Elle menvoie au paradis rapidement, trop vite hélas.

Elle me fait mettre sur le lit. Je my étale les jambes écartées dans lattente de la suite. Jattendais quelle recommence à me branler. Cest sa bouche qui vient visiter mon intimité. Mon clitoris la reçoit encore, cette fois je suis plus longue à venir. Savoir quune bouche de fille me lèche le bouton mexcite drôlement.

Je sens quand elle entre des doigts dans mon puits. Je me tends vers ses doigts qui me baisent. Je jouis comme si une bite était venue dans mon ventre. Elle garde toujours sa bouche sur le bouton, elle ne fait que changer dendroit ses doigts qui caressent dabord lanus avant dy entrer. Je repars encore une fois. Je suis devenue une chiffe mole dans ses bras.

Elle se tourne complètement en me donnant son abricot. Je suis surprise de voir un sexe féminin tout près de ma bouche, et pourtant je nhésite pas un seul instant à lembrasser. Malhabile ma langue cherche ses endroits sensuels. Son odeur, semblable à la mienne est familière, son gout plus salé ne me dégoute pas un seul instant.

Nous sommes dans une position que jaime bien : un 69 ne me rebute pas avec une bite dans la bouche alors que là je nai pas lexcuse de recevoir plus tard du sperme : sa cyprine me comble aussitôt. Je ne sais que faire de mes mains, je les passe sur ses fesses et cherchant la raie culière. Doucement, comme pour ne pas effaroucher un oiseau mes doigts arrivent sur son anus. Jagis dans un autre monde. Je suis satisfaite de ses mains qui me donnent du plaisir, comme je suis satisfaite de lui en donner.

Sans men rendre compte je la sens jouir comme moi tout à lheure. Nous sommes devenues des bêtes de sexe, un sexe alternatif qui nous fait jouir comme des folles. Quand nous sommes fatiguées, nous nous retrouvons pelotonnées ensembles, nos bouches se faisant des baisers sans cesse. Cest bon quand même de faire lamour avec une autre fille.

Laurore arrive, nous nous séparons sans même nous promettre de nous revoir. Au fond je suis une fille comme les autres.

Les semaines ont couru, les mois même. Entre temps je revoie mes amies, Henriette, la plus part du temps. Nous bavardons de tout de lamour. Javais oublié volontairement mon aventure avec une autre fille : javais peur de me faire traiter de lesbienne. Un après midi jai dit un mot de trop. Henriette ma fait la tête pendant quelques jours. Je me demandais pourquoi. A force de linterroger, elle accepte de me donner la cause de sa fâcherie.

— Tu avoue avoir baisé avec une autre, sans penser à men parler.

— Oui, et alors, jen avais envie sur le moment.

— Tu nas jamais pensé que moi aussi jai envie de toi.

— Tu as envie de moi ?

— Oui, même maintenant si tu veux le savoir.

— Mais tu ne ma jamais dit que tu aimais les filles.

— Les filles ? Non, mais toi oui.

Elle se réfugie contre moi en ayant des véritables sanglots. Je la console comme je peux : elle continue jusquau moment où mes lèvres sont sur les siennes. Cest le seul moyen de la consoler.

A partir de là, je ne suis plus capable dagir : cest Henriette qui prend le commandement. Je me retrouve dans la même situation quavec ma première initiatrice.

Dans le lit elle continue à diriger : je la laisse faire, japprouve tout ce quelle me fait, je le lui rends comme je peux. Ce que je préfère cest de la sentir jouir quand ma langue est sur son écrin.

Elle ne ménage pas ma figue en me mordillant le clitoris et les lèvres. Jaime aussi sa langue dans mon puits, elle sait mieux faire que lautre.

— Je ne savais pas que tu étais lesbienne.

— Non je ne le suis pas, mais avec toi cest normal, la preuve nous avons bien joui. Promis cest la dernière fois.

En attenant elle ma donné gout aux femmes. De temps en temps jarrive à trouver une fille qui accepte de baiser. Mais je baise le plus avec des hommes: rien de remplace une bonne bite dans le cul.

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