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J'ai trompé Julie – Chapitre 1

J'ai trompé Julie - Chapitre 1



Comme tous les ans, ma femme Julie emmène les enfant chez mes parents, à la campagne. Elle y passe toujours 15 jours. Cette année jai succombé à la tentation dune fille bien fichue. Je lai rencontré dans la rue, cherchant un restaurant. Je lai invité simplement. Elle était habillée court, trop court pour mon bas ventre. Sa poitrine plus forte que celle de Julie me donnait envie dy toucher. La soirée commençant je lai inviter à boire un verre chez moi: cest chose courante quand une fille vous plaît. Jétais quand même surpris quand elle acceptât. La suite était inévitable: Après le verre de rigueur je lai embrassé. Jétais à jeun depuis presque 10 jours, mis à par ma masturbation quotidienne dans la baignoire où, après mon orgasme je regarde toujours mon sperme flotter. Mes lèvres sur elle entraînaient une autre réaction plus bas: je bandais; Bien sur elle sen apercevait, elle nattendait que ça. Jai facilement pu la déshabiller avant de lemmener au lit. Dans la chambre nous étions corps à corps, bien serrés. Ma bite contre son ventre me gênait bien un peu, pas elle en tout cas. J’ai mis mes mains sur ses fesses pour fouiller sa fente. Par devant jai caresser sa chatte. Lhumidité ne laissait aucun doute sur son désir. Elle écartait ses cuisses, se tenait à mes épaules:

— Oui, branles moi.

Comme début on peut faire plus long, pas plus explicite. Jai fais ce qu’elle désirait. En découvrant sa protection, son clitoris bandait un peu. Doucement pour lui faire du bien, je le massais. Elle ne disait rien au début, petit à petit elle gémissait fortement. Quand linstant critique arrivait elle poussait un léger cri: elle jouissait.

Delle-même elle sest couchée sur le bord du lit, les jambes en dehors. Le message passait bien; ma tête était entre ses cuisses. Ma langue léchait lintérieur fragile des jambes; Je montais très lentement vers son paradis. Quand jarrivais à portée, elle prenait ma tête dans ses mains comme pour me guider.

Je sentais ma bite toujours dure sans soulagement même minime. Jaurais bien voulu faire autre chose que la sucer, faire un 69 ne maurait pas déplu. Ma fois, elle me donnait sa chatte à lécher, je nallais pas refuser ce cadeau, surtout que je suis amateur de cyprine. Je nétais pas loin de sa chatte, jy étais quand ma langue cherchait son bouton. Ce qui me frappait dabord était lodeur assez forte de son sexe. Son goût aussi était plus fort que le dernier que javais eu en bouche, celui de Julie. Au fond, javais une chatte à ma disposition, je nallais pas rater loccasion. Son clitoris se gonflait maintenant, ma bouche le serrait entre ses lèvres et ma langue le léchait. Elle jouissait rapidement à ma grande surprise, plus vite que Julie en tout cas.

Je la faisais se coucher normalement: elle était là, gisante, les jambes bien ouvertes. Je me couchais presque sur elle qui prenait enfin ma bite pour la placer juste dans son vestibule. Dun seul coup de rein je la pénétrais. Si elle soupirait beaucoup, moi je savourais le passage de ma queue dans son sexe. Je la limais pendant sans doute 10 minutes quand je lui donnais mon sperme. Quand elle sentit ma semence dans son vagin elle aussi jouissait.

Après avoir joui, je la laissais aller où elle voulait. Je pensais à Julie.

Le lendemain je prenais contact avec Julie pour lui donner des nouvelles. Je nai pas pu lui mentir, jai dis que javais baisé une autre quelle. Elle ne semblait pas très contente: elle savait que je me masturbais tous les matins, souvent devant elle, je savais quelle aussi en faisait autant, la plus part du temps devant moi.

Quand nous nous sommes retrouvés je craignais le pire: elle me donnait son baiser sur la bouche habituel. Après le déjeuner avec mes parents, nous laissions les enfants pour la durée des vacances. Pendant le voyage de retour qui dure normalement 1 heure et demi, elle ma demandé de marrêter dans un coin propice. Je savais ce quelle voulait. Je trouvais le même endroit que souvent dans ces cas. Au fin fond dun bois, elle sort de la voiture, soulève sa jupe pour me montrer quelle ne porte pas de culotte. Elle écarte ses jambes, se caresse lintérieur des cuisses pour arriver sur sa chatte. Devant moi elle se donne du plaisir, les yeux fermés. Contrairement à nos habitudes elle ne me demande pas de participer. Dès quelle jouit elle remonte dans la voiture: direction la maison.

— On baisera ce soir, dit-elle.

— Comme tu veux, jaurais bien aimé te baiser tout à lheure.

— Attends ce soir.

Jattend le soir. Je me demande quand elle me fera part de sa jalousie que je comprends fort bien. Julie traîne pas mal pour me rejoindre au lit. En passant rapidement elle me dit quelle va se branler dans la douche. Je reste seul en limaginant se donnant du plaisir. Elle revient après son orgasme, nue pour membrasser: il est 22 heures, . Elle soulève le drap, prend ma bite en main et me branle comme rarement.

— Elle ta fait comme ça ?

— Qui donc ?

— Celle avec qui tu as couché et jouis, salaud.

— Jétais sans toi, il fallait que je me vide les couilles.

— Et moi, jétais sans toi non plus, je me contentais de mes mains: pas celles des autres. Pourtant jai besoin dune queue. Tu vas me faire ce que tu as fait à lautre. Elle baisait bien au moins?

— Elle baisait bien, moins que toi, elle ma fait jouir une seule fois. Elle ma sucé, je lai baisée, enculée, sucée aussi. Son goût était moins , beaucoup moins bon que le tien.

Elle se lève pour venir poser sa chatte sur ma bouche. Je retrouve là son bon goût, surtout ces petits détails qui rendent une chatte unique. Son bouton très souple sous ma langue me semble encore meilleur à lécher. Cest elle qui mène la danse:

— Et ça tu le lui a fais ?

Julie pose son anus sur ma langue. Je crois que cest la première fois quelle me donne son cul pour le lécher. Jen profite, je nai jamais sucé un rectum de ma vie. Ma langue fait le tour de lanus, elle gémit assez fort. Je nai pas de difficulté à entrer ma langue. Je la fait aller et venir dans son cul. Normalement elle aime se faire mettre par ce trou. Entre ma bite et ma langue il y a une énorme différence.

Cest à croire quune simple langue lui fait autant deffet quune queue. Je sens son sphincter se refermer et souvrir pendant son orgasme. Elle se met sur moi, allongée, ma bite sur son ventre. Elle fait plein de mouvements inconnus qui me donne entre plus la trique. Quand elle se tourne, une fois sur le dos, elle écarte ses jambes:

— Baises moi bien.

Comme si je le lui donnais jamais de plaisir. Ce soir Julie est totalement déchaînée. Il me semble quelle veut tout. Je vais sur elle, ma bite bien droite: elle nas pas besoin de me guider: je connais son chemin par cur. Comme souvent je la fait languir! Je nentre pas dans son ventre un bon moment, puis, jentre un peu pour sortir jusquau moment où en ayant marre de mes « hésitations » elle donne un coup de rein. Elle est tellement mouillée que jentre dun seul coup au fond de sa caverne. Son plaisir commence, comme le mien, la seule différence entre nous est quelle se venge dune autre et que moi jai davantage de plaisir dans son con que dans celui de lautre. Je ne peux la limer longtemps: elle jouit trop tôt pour moi.

Elle me fait sortir de son ventre pour me caresser légèrement la pine. Je ne sais plus exactement ce quelle veut. Elle se met en levrette.

— Encule moi. Mets moi là à fond, plus profond que dhabitude.

Ma bite étant limitée je vais voir ce que je peux faire. Contrairement à ses précautions elle ne se mouille pas lentrée. Je me trouve avec mon gland sur un cul presque sec. Je prends un sein dans ma main, elle commence à se caresser le clitoris: je reste là, comme un con à ne plus savoir que faire.

— Encules moi.

— Je vais te faire mal.

— Je sais, cest pour ça que je veux que tu me la mettes profond.

Elle le veut, elle laura voulu. Mon gland force pour entrer. Elle écarte bien les fesses pour aider. Je ne peux entrer ainsi. Je rabats mon prépuce bien sur le gland, au moins je forcerai moins. Je sens le barrage de son sphincter qui pourtant se détend. Elle en a lhabitude de recevoir ma bite dans le cul. Jarrive en forçant à lui mettre toute ma bite. Elle soupire de douleur, sauf quand je suis au fond.

Je sens lentrée de son anus autour de ma bite, comme ses boyaux autour de mon gland. Je reconnais que pour moi cest bien meilleur. Pour elle cest plus que supportable surtout quand elle commence à faire les même soupirs que quand elle me demande de la lui mettre avec sa cyprine. Enfin elle jouit de cette jouissance parait-il différente de celle obtenue par devant. Je sors de son corps.

Je pense quelle en a eu assez: je commence à me branler pour ne pas lui imposer des pénétrations supplémentaires. Julie vient presque sur moi, à cheval, à genoux, sa main sur son clitoris. Ma masturbation lexcite, alors elle veut que nous nous masturbions lun devant lautre. Cest rare au lit, cest plutôt le matin pendant le bain. Si une main est sur son bouton, lautre file dans le puits avec trois doigts. Nos regards sont attirés par la main de lautre.

Elle enlève la main qui était sur son clitoris pour la mettre dans le cul. Je crois que cest la première fois, en tout cas devant moi quelle se masturbe lanus. Je glisse sous elle pour aller chercher son bouton avec ma langue. Non seulement elle laccepte, mais, elle se penche sur moi pour prendre ma bite dans la bouche. Je la reconnais bien là: elle adore me sucer. Elle abandonne totalement son anus, que je vais occuper avec deux doigts, pour ma queue quelle tient par la base pendant que sa bouche avale mon gland. Son art de la fellation est mis en route. Entre sa langue et ses lèvres me voilà parti vers des plaisirs inconnus des autres. Elle sait parfaitement doser sa caresse pour faire durer le plaisir au maximum. Cest divin davoir une telle femme, aussi chatte et féline, aussi douce et dure à la fois; qui aime jouir, faire jouir en donnant son corps en entier. Dire que jaurai pu la perdre pour avoir baisé une inconnue.

Je la fait jouir deux fois: je ne sais si cest parce que je la suce ou parce que je lui branle le cul. Je lui dis que je vais jouir, comme souvent, comme toujours elle nen tient pas compte: elle reçoit tout dans la bouche. Elle se relève en ouvrant bien les mâchoires pour me montrer le blanc de mon sperme quelle déguste un bon moment avant de le finir.

Nous regardons lheure: il est presque 3 heures; nous avons baisé presque 5 heures daffilé. Nous en tombons de fatigue. Nous restons nus, comme nous sommes. Ce nest que vers 10 heures que nous nous réveillons.

Nous nen avons pas assez eu; Nous recommençons à nous sucer. Nous baisons encore un coup vite fait. Quand elle me suce, presque rien ne sort de mes couilles. Nous verrons plus tard, nous nous levons, restons nus pour vaquer à nos occupation: elle une lessive, met la machine en route, moi du travail sur lordinateur. Après un rapide déjeuner elle a envie que je la lui mettes. Elle est sur mes genoux, me force à chercher un site porno américain où nous trouvons vite de quoi nous exciter: un couple avec une autre fille. Cest son fantasme. Elle se met à cheval sur ma cuisse, son clitoris posé à même la peau. Elle le frotte lentement: je sens sa cyprine sur la jambe. Elle me fait bander par la même occasion. Je me lève, la fait se pencher en avant, lui ouvre les fesses. Ma bite est vite sur son cul. Cette fois il est bien humide, jentre facilement. Je trouve le fond facilement. Elle accompagne tous mes mouvements. Mon pubis rencontre ses fesses quand je suis au fond. Je sens quelle se branle le clitoris. Elle accélère la vitesse et soudain pousse son cri de jouissance. Du coup elle me fait éjaculer au fond de son ventre.

Plus par flemme que par pudeur, nous restons nus jusquau lendemain matin après le bain. Cest agréable de voir le corps de celle quon aime se promener tranquillement dans la maison. Elle aime me voir nu: elle sait très vite si jai envie delle ou pas: elle regarde ma queue.

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