La marchande de journaux me fait payer, quand elle saperçoit que la jeune femme qui sort, juste la cliente avant moi a oublié sa carte bleu. Elle veut se précipiter pour rendre ce moyen de paiement. Jai entr’aperçu la fille, elle me semble parfaite, jolie, bref, je passerai bien une ou deux heures avec elle. Je me propose de lui rendre sa carte. Me voila dans la rue avec ma revue et courant presque après une fille que je ne connais pas. Je suis gêné par des passants, malgré tout jarrive à sa hauteur. Surprise elle me regarde: quel yeux, quel cheveux blonds et quel visage: une vrai madone du quattrocento. Elle est encore plus surprise quand elle me voit tendre sa carte.
Lémotion, ou un autre sentiment, fait quelle me donne un baiser sur la joue, pas un de ces baisers furtifs comme le font beaucoup de filles, un vrai de vrai. Elle commence à parler avec un fort accent étranger qui sexplique, elle est Danoise. Je ne sais que faire avec elle, pourtant jaimerai passer au moins un moment à bavarder. Je suis verni, pour me remercier, elle minvite à boire un café. Je pense aller au petit bar à coté: pas question, elle habite elle aussi à coté, juste sur le bar. En passant devant elle passe la commande, nous montons chez elle.
Petit logement, belle décoration, jolie meuble, lensemble est coquettement arrangé: cest le logement dune femme rangée. Jai juste le temps de regarder le lieux quand le café est là.
— Je fais souvent ça avec le cafetier: cest mon propriétaire.
— Vous en avez de la chance.
— Je sais, jen profite.
— Que faites vous ici?
— Jétudie la psychologie à la fac. Jai souvent besoin de bavarder pour étudier alors je vous trouve et jen profite.
— Si moi je profitais de vous?
— Ce doit être agréable avec vous.
Elle mautorise à profiter dune pauvre fille perdue dun pays nordique. De toutes façons javais envie delle dès le départ. Tant mieux. Au moins je saurais ce quest lamour scandinave. Comment arriver à la convaincre de se donner à moi et comment font elles ces filles nordiques.
Elles font ce quelle fait, elle se déchausse, envoie balader ses chaussure dans un coin: ses pieds me semble bien mignons. Elle me fait asseoir maintenant, me donne le café que je bois rapidement, comme elle. Elle se relève pour venir poser un pied sur mon genoux. Jai sous les yeux son mollet et sa cheville fine. Linvite est précise, je mets une main sur sa jambe. Je caresse la cheville et monte vers son mollet. Sa peau est douce, très douce. Elle me regarde dans le yeux pendant que ma main monte plus haut, à létage où elle cache son trésor. Elle me laisse faire comme si cétait normal quun garçon quelle ne connaissait pas une heure avant la pelote. Ma main est entre ses cuisses. Je sens cette douceur de finesse dune peau tendre. Jarrive dans lentrejambe: elle est presque nue, je ne trouve pas de string ou culotte, rien qui me gêne pour la caresser. Je trouve surtout ce que jattendais: une chatte brûlante, mouillée à point. Je suis mal placé pour caresser le clitoris, je me rabat sur le vagin. Son ventre se tend vers moi, jy mets un doigt que je fais aller et venir. Elle réagit en gémissant, jai dautres doigts pour elle: mon index dans son ventre ne suffit pas, je pose mon majeur sur lanus. Il semble que ça lui plaît assez. Cette fois son gémissent est une plainte. Elle jouit bien vite.
Son pied quitte mon genoux, elle le pose sur ma bite. Je bande pas mal depuis tout à lheure. Je la laisse faire un moment, le temps pour moi de me lever, de la mettre nue. Cest rapidement fait: elle ne porte que sa robe. Elle sattache à me déshabiller, elle doit en avoir lhabitude. Il faut dire quenlever une chemise, un jean et un slip est rapidement fait. Ses yeux sont fixés sur ma bite. Ce nest pas quelle soit grosse, elle est un peu imposante avec son gland bien marqué sous le prépuce. Elle sait vite me prendre dans sa main. Je me demande ce quelle va faire. Au fond je men fous un peu, je sais quelle va me faire juter. Pour le moment elle caresse la colonne sans me branler à proprement parler. Une main est sur mes couilles: elle ma pris le principal. Quelle en fasse bon usage. Elle lâche tout pour se coller à moi, jai ma bite entre nos deux ventres: elle remue contre moi: je bande encore plus.
— Fais moi du bien.
— Quel bien?
— Suce moi.
— Et moi?
— Je te le rendrais ensuite.
Elle sassied de nouveau, écarte les jambes: je vois toute sa chatte. Ce qui métonne est la blondeur presque rousse de sa toison. Ma bouche est sur la chatte, je sens son odeur particulièrement envoûtante. Je ne connais son goût que plus tard, quand ma langue lèche entre ses lèvres pour monter vers son clitoris. Je ne sais si cest vrai, il me semble quelle a une odeur de miel. Sa cyprine est légèrement sucrée. Jaspire son bouton, je lèche toute sa fente pour aller vers le rectum. Je ne cherche même pas à y entrer, je réserve cette tâche à ma bite.
Elle est totalement détendue, offerte complètement, sans complexe, elle prend son plaisir. Ses orgasmes sont irréguliers mais forts. Il me semble que je jouis comme elle.
— Baise moi.
Il ne faut pas me le dire deux fois. Elle ouvre le clic clac pour que nous soyons à laise. Couchée maintenant elle est encore plus désirable avec sa chatte bien ouverte. Je me mets à ses cotés pour lembrasser et sucer ses pointes de seins. Elle prend ma main pour la poser sur son sexe, jentre deux doigts dans son vagin juste pour lui faire plaisir. Mon plaisir pour le moment est de la lui mettre: je me mets entre ses cuisses: elle passe ses pieds sur mes cuisses: je voudrai quelle me guide dans son dédale de cramouille. Elle doit le comprendre, elle me prend à pleine main pose ma queue juste à lentrée de la chatte. Je nai quà forcer un peu pour lempaler. Je me trouve bien dans son sexe, je crois que cest la première fois que je suis si à laise dans un con. Il souvre exactement comme je le voulais et comme elle le voulait certainement. Je sens ses chairs sécarter lentement au gré de ma pénétration.
Nos lèvres sont soudées, nos sexes imbriqués. Nos mouvement sont coordonnés et notre plaisir aussi puisque nous jouissons ensemble. Je reste dans son ventre: elle ne me demande pas de le quitter. Je reste là en sentant ses spasmes et après jouissance, elle fait de léger mouvement des muscles de son bas ventre pour me faire encore bander. Je sens que je bande déjà presque de suite après avoir jouit. Cest une sorcière. Cest elle qui reprend les mouvements: je suis bien obligé de suivre. Elle jouit je ne sais combien de fois.
Elle me fait sortir de son ventre:
— Encule moi.
Cest bref et précis. Ma bite descend au niveau inférieur. Jaurai préféré en levrette. Je me contenterai comme ça. Je ne cherche pas lentrée, ma pine doit en connaître le chemin puisquelle se trouve sur lanus comme par une magie. Jentre prudemment dans ce cul que je ne connais pas du tout. Mon gland pénètre sans difficulté: elle ne fait que gémir. Jentre toute la longueur de ma queue, elle jouit quand je suis au fond. Je subis avec plaisir les spasmes autour de son sphincter, comme jaime lentendre se plaindre comme si elle souffrait. Jaccélère la cadence pour jouir à mon tour. Je sens mon jet jaillir dans ses profondeur. Je reste encore un moment dans ce cul accueillant.
— Si nous arrêtions un moment?
— Pourquoi pas.
Nous avons arrêté un moment comme elle le voulait, nous avons repris ensuite jusquau lendemain matin, puis les jours suivants puis encore maintenant que nous avons deux petits, une fille belle comme sa mère et un garçon qui me ressemble.