Résumé du chapitre précédent : Nous avons couché ensemble pour la deuxième fois et pris une douche ensemble, nous nous préparons à descendre dîner quand je lui dis de ne pas porter de sous-vêtements sous sa robe…
L’ascenseur s’est à peine refermé que je me jette sur Amandine pour l’embrasser puis je sors un sein de sa robe et je le prends en bouche, je la tète en douceur tout en malaxant bien son sein. Mon autre main caresse ses cuisses et passe sur son sexe. Elle profite, mais garde les yeux ouverts et fixés sur l’indicateur d’étages. Voyant que nous sommes presque arrivés, elle me fait arrêter mes papouilles et se rhabille rapidement. La porte s’ouvre et un couple de personnes âgées se trouve face à nous, devant notre air gêné… Nous sortons et nous nous sourions.
Nous arrivons dans la salle de restaurant, Amandine précise que nous avons réservé pour deux et l’on nous conduit à notre table. Il y a un peu de monde, c’est d’autant plus excitant. Nous discutons quand la serveuse, prénommée Cécile (le nom est marqué sur un badge) vient nous voir. C’est une jolie petite châtaine de 26 ans, cheveux assez longs et bouclés, aux yeux noisettes, très fine (34 ou 36), une charmante petite poitrine (85b je dirais), un très joli visage, pas trop maquillé, et un sourire magnifique. Elle est vêtue d’une petite jupe bleue et d’un petit débardeur marin, rayé blanc et bleu, elle porte de belles chaussures à talons pour se grandir un peu (elle doit mesurer dans les 1m65). Elle m’a tapé dans l’il tout de suite et à voir le regard d’Amandine, je comprends qu’elle aussi est sous le charme. Nous commandons et essayons d’être engageants avec la jolie Cécile.
En attendant l’arrivée des plats, nous discutons de tout et de rien, je lui explique notamment que si elle a le temps, elle devrait visiter l’île de Ré. Soudain, je lui dis : « Montre-moi tes seins s’il te plaît ».
Quoi ?!?? répond-elle, surprise.
Montre-moi tes seins, je répète, discrètement, montre-les-moi s’il te plaît.
Elle ne dit rien, mais son air surpris se transforme en regard coquin, elle écarte les pans de sa robe et commence à me dévoiler sa poitrine. Elle essaye de se cacher du mieux que possible et sort son sein gauche pendant quelques secondes, puis le range tranquillement. Je me régale du spectacle. Elle se décale et me montre le deuxième. Je lui souris et la remercie. La serveuse nous amène les plats et elle arbore un sourire différent de tout à l’heure, je pense qu’elle a grillé notre petit jeu. On ne va pas s’arrêter là pour autant. Je demande à Amandine de relever un peu sa robe et d’écarter un peu ses jambes. Cette fois, elle n’est même pas surprise et elle s’exécute tout de suite. Je fais mine de faire tomber ma serviette et je me penche sous la table pour assister à la vue. Je me penche et regarde attentivement entre ses jolies jambes, elle en profite pour passer son doigt sur son sexe en douceur.
Quand je me relève, elle me fait signe d’approcher, elle me fait alors sentir son doigt et me dit de le goûter. Bien évidemment, je ne peux qu’accepter. Nous mangeons notre plat principal en discutant.
Cécile la serveuse revient vers nous, à peine arrivée dans un sourire entendu, elle nous lance : « Je ne vous demande si ça se passe bien, de ce que j’ai pu voir, vous avez l’air de vous régaler » En finissant sa phrase, elle fait tomber un tout petit peu d’eau sur la robe d’Amandine, elle s’excuse à haute voix, puis fait semblant d’essuyer la robe, alors qu’elle en profite pour tripoter rapidement la belle blonde qui m’accompagne. Elle repart nous chercher les desserts. En l’attendant, Amadine me demande de m’avancer avec ma chaise le plus près possible de la table. Elle a retiré sa chaussure, tend sa jambe et passe son pied sur mon paquet et le caresse. Elle me dit : « ça t’a excité hein ?! »
Plutôt oui, elle te plaît autant qu’à moi, non ?
Carrément.
Tu veux qu’on lui propose de nous rejoindre à la fin de son service.
Moi je veux bien, mais est-ce qu’elle sera d’accord elle ?
Alors ça, y a qu’un moyen de le savoir !
Cécile revient avec nos desserts, et j’en profite pour lui demander l’addition. Je ne lui dis rien à ce moment-là, j’attends qu’elle nous apporte l’addition et là, tout en lui tendant l’argent (avec un bon pourboire), je lui dis cash : « Tu serais partante pour un dernier verre dans notre chambre dès que tu auras fini ici, Chambre 309.»
Y a plus grand monde, donc j’aurais fini dans une heure à peu près… La 309, c’est noté ! A tout à l’heure… Et merci pour le pourboire au fait.
Nous nous levons et nous retournons dans la chambre. Une fois arrivés, je prends Amandine dans mes bras, puis je l’embrasse dans le cou et sur la bouche. Je soulève un peu sa robe, mes mains sont sur ses fesses. Je la regarde dans les yeux et je lui propose un nouveau massage, en attendant que Cécile se joigne à nous. Je finis de lui enlever sa robe et je l’entraîne vers le lit, elle se couche sur le ventre et à nouveau, j’ai sous les yeux ce superbe dos, ce cul magnifique et ces jolies jambes. Je retire mon T-shirt et je commence par masser ses petits pieds en douceur. Je m’aperçois qu’elle est sensible aussi sur cette partie de son corps. Je remonte mes mains sur ses chevilles, puis sur ses cuisses. Je lui prodigue à peu près le même massage que tout à l’heure sauf que cette fois, au lieu de m’en prendre à ses fesses, je décide de la retourner.
Je suis toujours à cheval sur elle, je l’embrasse sensuellement, sa bouche et sa langue sont toujours brûlantes, et l’odeur de sa peau continue de me rendre fou. J’effleure ces tétons avec mes mains. Je l’embrasse dans le cou. Je prends ses seins un peu plus fort dans mes mains, puis avec ma langue, je parcours sa peau depuis son cou jusqu’à son droit. Sa poitrine est vraiment superbe, ces images vont rester gravées en moi pendant très longtemps. Je mange littéralement ses beaux seins, je suce et lèche ses pointes en même temps que je les malaxe… ma main gauche descend progressivement vers son sexe. Ma langue se prépare à un nouveau voyage, je me décale vers le bas tout en léchant et embrassant tout son corps, jusqu’à arriver devant sa chatte. J’inflige à cette dernière le même supplice qu’à ses seins, j’effleure, je caresse, je lèche, je suce, je dévore…
Je lui prodigue le meilleur cunni dont je suis capable, elle passe ses mains dans mes cheveux et se tortille, elle apprécie visiblement mes efforts. J’enfonce deux doigts tout en continuant de la travailler avec ma bouche et ma langue. Mes doigts vont et viennent dans son antre. J’alterne la vitesse et la puissance de mes allées et venues. J’aime comme elle bouge, mais quand elle essaye d’imprimer le rythme, je lui montre que c’est moi qui décide. Elle est soumise à ma volonté et à mes mouvements, et j’adore ça. Mais j’aime encore plus la lécher alors je finis par céder, par arrêter de jouer et par y aller vraiment fort. Je me régale de son sexe trempé et chaud, j’accélère encore mes va-et-vient, plus forts, plus vites, plus profonds. Ma langue tourne et s’active, j’alterne petites succions et coups de langue sur son clitoris dur et dressé. Son corps se soulève, elle gémit, pousse quelques petits cris, elle tremble et jouit puissamment. C’est un délice.
Elle retombe alors, essoufflée, je comprends que j’ai terminé mon travail. Je me redresse et viens lui faire un smack.
Alors qu’elle pose la main sur la bosse de mon pantalon, je l’arrête : « Non, non, pas cette fois, je veux être au max pour m’occuper de vous deux, Cécile ne devrait pas tarder. Remets-toi tranquillement, parce que je pense qu’on n’a pas fini de s’amuser ». Elle me sourit, se lève…
Je vais reprendre une douche du coup, me dit-elle.
En passant près de moi, elle me donne un tendre baiser. Pendant qu’elle est à la salle de bain, je vérifie qu’il me reste des préservatifs, c’est bon, j’en ai deux encore. Je m’assois paisiblement sur un fauteuil en attendant les deux princesses.
On frappe à la porte, je me lève et m’avance pour ouvrir. Cécile se tient là, toujours aussi craquante. Je lui fais un grand sourire et je l’invite à entrer dans la chambre. Elle sort une bouteille de champagne qu’elle avait cachée derrière elle et me dit : « J’ai piqué ça dans la réserve, j’ai pensé que ça pourrait être sympa. Par contre, je suis désolée, mais je ne vais pas pouvoir rester qu’une heure environ. Je dois récupérer mon gamin chez ma mère et je ne peux pas y aller trop tard. »
T’inquiète, on t’attendait avec impatience, alors on va pas traîner… Je vais chercher trois verres, histoire qu’on trinque quand même. Amandine, prends une douche, mets-toi à l’aise…
Cécile décide alors de se mettre en sous-vêtements, on ne s’était pas trompé, elle est hyperbien foutue. Je lui dis qu’elle est superbe, pose les verres sur la table et lui prend la bouteille des mains. Je l’ouvre, commence à remplir un verre et Amandine, vêtue d’une simple serviette, arrive dans la pièce.
Pile au bon moment, s’exclame-t-elle, puis, voyant Cécile, tu es superbe.
Je lui souris et je lui tends son verre :
Je viens de lui dire la même chose, par contre, Cécile est un peu pressée donc…
On termine nos verres, le champagne est bon. Je passe alors derrière Amandine, je l’embrasse dans le cou en regardant Cécile dans les yeux. Je défais alors la serviette et Amandine se retrouve nue. Je passe ma main gauche sur son sein gauche et de ma main droite, je fais signe à Cécile de s’avancer vers nous. Elle arrive dans la seconde en dégrafant son soutif. Ses seins sont plus petits que ceux d’Amandine, mais ils ont l’air fermes, les aréoles sont larges et bien dessinées, les tétons dressés, il me tarde d’y goûter. Mais pour le moment elle s’approche d’Amandine, lui pose une main sur la joue et elles s’embrassent à pleine bouche, je me décale pour assister à cet échange. Leurs langues se mêlent, elles se serrent leurs poitrines se touchent.
Je m’approche à mon tour, posant mes mains sur leurs nuques, elles s’arrêtent alors, Amandine m’embrasse puis me fait tourner le visage vers Cécile qui m’embrasse à son tour, ses lèvres sont exquises et ce petit arrière goût de champagne est délicieux. Nous partons tous les 3 vers le lit, Amandine s’assoit, Cécile reste debout face à elle, je me poste derrière elle et je me baisse pour lui retirer sa culotte. Amandine s’avance et embrasse le ventre de la jeune Cécile, puis descend vers son sexe, parfaitement épilé, elle y dépose quelques baisers…
C’est le début d’un grand moment de sensualité et de sexualité… à lire dans le prochain chapitre
