Les clés du paradis:
De retour à la maison j’ouvre la boîte aux lettres pour y relever le courrier. Un geste simple vite accompli dans la fatigue de cette fin de journée. Je dépose sur la table de la cuisine les enveloppes maudites, factures et papiers inutiles. Je remarque alors une enveloppe blanche sans adresse ni indications. Elle contient une clé. Une simple clé de métal argenté et un petit mot accroché :
— Les clés du paradis
Mystère. Je rigole et pense à des enfants qui ont du faire une blague. Je dépose le contenu dans le vide poche et oublie cette promesse pendant quelques temps.
sept jours plus tard. Nouvelle enveloppe vierge. Une adresse non loin de chez moi inscrite au dos. Un petit mot avec une écriture que je devine être une femme es glissée à l’intérieur. Cette fois ci pas de blagues : deux lettres, il ne s’agit pas d’une erreur. Le mot est parfaitement rédigé et très clair:
— Mon cher monsieur, je vous attends chez moi, ce samedi 21h. Vous disposez déjà de la clé de mon appartement. Vous disposerez bientôt de mon corps comme il vous plaira.
Votre chienne.
Mon sexe gonfle. Qui peut bien m’écrire ? Heureusement que ma femme n’a pas trouvé la lettre !
Je passe en revue des prétendantes éventuelles, des exs, des plans q.
Rien. Personne capable d’une telle audace et d’autant d’assurance. Dans ma tête ça tourne. J’imagine du sexe hard et bien violent. Qui est cette « chienne » qui m’envoie des clés, une adresse ?
Un piège ? Non personne ne me veut de mal. Alors qui ?
Vendredi soir.
Je pénètre dans un immeuble cossu, situé dans une rue agréable et déjà endormie.
5ème étage. Porte à droite. Je tremble en enfonçant les clés dans la serrure. J’ai monté les marches cinq par cinq et maintenant me voilà, le cur qui bat prêt à exploser. Je prends mon courage à deux mains et ouvre la porte. Il est 21h pile. L’appartement est plongé dans le noir, des bougies sur les meubles pour me guider. Le salon est obscur, je cherche du regard et le temps me semble infini.
Soudain le l’aperçois : une petite brune est à genou dans un coin de la pièce. Les yeux bandés, nue, portant des bas et des talons noirs. Elle est jolie, la trentaine, des beaux seins offerts par un corps bien dessiné. Une parfaite inconnue. Une chaise est placée en face de ses lèvres humides à hauteur du visage. Elle m’a entendu, me devine sans bouger. Elle se contrôle même si je découvre un petit tremblement au coin de ses lèvres. Sa poitrine m’excite beaucoup maintenant. J’aimerais lui pincer les tétons. Je la regarde en prenant tout mon temps. Ses mains posées sur les genoux elle n’attend que ça.
Pas de paroles. Je me place devant elle et l’excitation est palpable. Je sors mon sexe dur comme de la pierre. Au son de ma braguette elle ouvre bien la bouche pour me faire comprendre qu’elle la veut. Je prends toute sa tête, la tirant par les cheveux. Je lui enfonce mon sexe bien au fond de sa bouche. Lui montrant ma puissance. Je lui baise lentement la bouche. Elle aime ça. J’aperçois un large sourire sur ce visage aux yeux bandés. A chaque fois que je ressors ma queue elle me sourit, tire la langue et s’empale à nouveau. Cette chienne est expérimentée. Elle glisse sur ma queue chaude me gobant toute la verge. Quel délice ! De temps en temps elle s’arrête, me laissant pénétrer sa bouche. Ses mains toujours en bas ont glissé sur ses cuisses. Je la sens qui se donne du plaisir pendant que je la biffle. Je la devine aussi quand son corps se cambre. La salope a joui abondamment. Inondant le sol de son jus d’amour.
Sans me retenir j’explose à mon tour. Haaaaaaaaaaa !! Trop bon !! Une éjaculation violente qui gicle partout sur son visage, éclabousse son bandeau, ses cheveux et rentre dans sa bouche bien ouverte. Elle se lèche le coin des lèvres et avale lentement. Elle ouvre ensuite la bouche pour me montrer que tout à été avalé. Puis avec application ma chienne me nettoie la queue avec sa langue. Il ne reste plus une goutte de sperme. Je frotte mon sexe sur ce visage inconnu. Elle ne bouge toujours pas ; reste passive les mains sur les genoux.
Je me relève. C’est comme se réveiller après avoir dormi des jours. La pièce est toujours plongée dans la pénombre et l’odeur de sexe flotte dans le salon éclairé de bougies. Mon sexe pend entre mes cuisses, vidé et lavé. Ma belle inconnue remue sur ses fesses. A genou depuis un certain temps elle montre des signes de fatigue. J’aime ça.
Je la veux maintenant. Pas par la bouche. Je veux rentrer en elle et la saccager complètement. Elle mérite une queue bien dure. C’est ce qu’elle aura. Je la relève en lui pinçant les seins avec maîtrise. Je la pousse sur la table située juste à côté. En quelques secondes sa culotte noire est arrachée. Je prends mon sexe à pleine main et lui enfonce dans le con. Le gland bute, force le passage d’une chatte étroite et mouillée. Puis le sexe pénètre. Fort et déterminé. La jolie brune ne peut plus rester silencieuse. Elle gémie, la bouche ouverte la tête en arrière elle à perdu tout contrôle.
Tant bien que mal elle s’accroche au rebord de la table. Je donne des coups. Je vais loin et je prends mon temps. Je cogne fort dans cette salope qui crie et me remercie. "oui, oui, merci, c’est bon, haaaaaa, je joui, haaaaaa". Je sens ma queue entouré de chaleur. Le jus coule de son con sur la table de bois. Je m’enfonce encore, je lui tiens les jambes bien haut. Ces talons sont magnifiques. Je jouis sur elle. Crachant mon sperme sur son ventre blanc. Avec souplesse la soumise pivote alors et aspire mon gland. Un délice pour les yeux et le corps. Je l’entends respirer fort. Je la regarde bien, essaye d’incruster cette image dans ma mémoire pour toujours.
Je pourrai lui parler, lui enlever le bandeau qu’elle porte maculé de foutre. Je pourrai la prendre à nouveau, la caresser, lui pincer les seins. Je pourrai lui poser milles questions, essayé de comprendre pourquoi moi ? Comment ? Mais rien. Je préfère ne pas offrir encore et moins bien. Ne pas gâcher ce qui vient d’arriver. Un moment de soumission intense et sans explications. Alors je lui caresse doucement le visage et lui donne mon pouce à sucer. Me rapprochant de ce visage humide je lui murmure à l’oreille :
Samedi prochain 21h.
Je la laisse nue, les cuisses écartées sur la table du salon.
Je quitte l’appartement et m’engouffre dans l’escalier. Mon sexe gonfle à nouveau. Je pense à samedi prochain…