Alors qu’avec les filles, nous avions pris la décision de sortir afin d’éliminer le stress de la semaine de boulot, nous nous sommes rendues dans un pub, dans un premier temps pour dîner, mais aussi pour danser.
Je m’étais habillé d’une façon légèrement provocante, mais sans plus. Un homme d’une cinquantaine d’années m’a rejoint sur la piste de danse, et la suite n’a été que purement sexuel, puisque nous avons échangé un plaisir charnel dans le bar. Même le serveur que j’avais un peu taquiné sur la probabilité de sa nudité sous le kilt a participé à cet échange.
Il est maintenant trois heures du matin, je me fais un brin de toilette dans les WC du pub, puis me rhabille. J’ai encore les jambes qui tremblent. Trois jouissances en si peu de temps, c’était impensable il y a encore quelques heures, lorsque je faisais des bilans comptables dans mon bureau.
Je rejoins Françoise, Sébastien, Gérard et le serveur, Romain, à l’arrière du pub. Nous montons dans une voiture luxueuse aux vitres teintées, puis nous partons en direction du domicile de ma collègue de travail.
Je me retrouve devant, avec mon quinquagénaire, au bout d’une bonne demi-heure, nous arrivons à destination. La maison est tout simplement magnifique, nous descendons de la voiture, puis nous sommes invités à rejoindre la terrasse extérieure juste au bord de la piscine.
Françoise s’éclipse quelques instants afin de prendre quelques bouteilles d’alcool. Elle revient assez rapidement. Puis, nous entamons une discussion. J’apprends alors que cette dernière est libertine depuis un certain temps. Gérard est quant à lui, le responsable du pub. Il est aussi un très grand ami de ma collègue de travail.
Sébastien et Romain, les plus jeunes de la bande, demande à Françoise s’ils ont la possibilité de faire un plongeon dans la piscine. Elle ne refuse pas, les deux garçons nagent un peu, puis essayent de m’arroser. Ce qu’ils réussissent à faire après plusieurs essais infructueux. Nous rions de bon cur à cette situation. Je suis à présent obligé d’enlever ma robe.
Je me retrouve donc en sous-vêtement. L’un des deux garçons me propose de venir avec eux, mais avec un string et un soutien-gorge blanc, j’hésite encore un peu, même si dans le bar, je n’étais plus trop une fille sage et sérieuse. C’était sans compter sur le côté audacieux de Gérard, puisque ce dernier m’a pris dans ses bras, puis m’a jeté dans l’eau.
A présent, je suis au milieu du bassin avec les deux garçons, nous discutons, puis très rapidement, nous nous arrosons, nous jouons au loup. Je suis la proie et eux les assaillants. J’essaye de m’échapper comme je peux, mais n’ayant pas une forme olympique, je me fais attraper en un rien de temps. Je me débats pour m’enfuir, plus pour la forme que pour la réalité.
Sébastien et Romain font parcourir leur main sur mon corps, tout y passe, mes fesses, mes seins, et ma vulve. Un arc électrique parcourt mon corps. Françoise demande aux garçons de ne pas faire ça dans la piscine, qu’à l’étage il y a une chambre d’ami s’ils veulent. Nous ne nous faisons pas prier. Nous nous séchons puis nous partons en direction de cette pièce. Elle est sublime, le lit n’est pas rectangulaire, il est rond. C’est plutôt orignal.
Sébastien se rapproche de moi, il reprend ses caresses puis me déshabille. Je suis complètement nue. Romain qui a fait tomber son caleçon se présente à moi, je le masturbe, tandis que son ami me lèche la poitrine avec passion. Mes tétons se dressent fièrement.
J’en ai des frissons. Françoise et Gérard font alors leur apparition dans la chambre. Cette dernière me rejoint, m’allonge sur le lit et me fait un cunnilingus extraordinaire. Elle me titille le clitoris, puis joue avec mon puits d’amour. Elle se relève, enlève ses vêtements et se positionne en soixante-neuf.
Je lui lèche à mon tour sa vulve, et quelque fois, je tente audacieusement de jouer avec son petit trou. Nous jouissons toutes les deux assez bruyamment. Nous nous redressons avec le sourire aux lèvres. Les trois hommes se masturbent en regardant le spectacle qui leur est offert.
Nous prenons alors la décision de leur offrir une fellation. Personnellement, je m’occupe de Sébastien et de Romain. Je change régulièrement de membre, joue avec leur gland, je les aspire même un peu, puis l’un des garçons m’allonge sur le dos. Il écarte mes jambes de façon outrageuse, puis m’offre un cunnilingus assez rapide.
Sébastien se positionne entre mes cuisses, et me pénètre. Il est assez doux dans un premier temps, puis devient de plus en plus bestial. Il me claque les fesses lorsqu’il les soulève, me claque un peu la vulve lorsque cette dernière est libérée de sa tige. Je sens qu’il veut me faire monter dans les stratosphères du plaisir.
De son côté Françoise profite de Gérard, elle est à califourchon au-dessus de lui, fait des mouvements variés et grogne de plaisir. Son amant ne manque pas une seconde de lécher sa poitrine lorsqu’elle arrive à hauteur de sa bouche. Ils sont très bien coordonnés.
Romain quant à lui, est face à ma bouche avec son sexe. Je le suce de temps en temps, puis il vient prendre la place de Sébastien. Il me positionne sur le côté, se met derrière moi, puis me pénètre. Je sens que sa verge est beaucoup plus épaisse.
Comme au pub tout à l’heure, j’ai l’impression qu’il va me perforer, il me donne des petites fessées accentuant l’excitation en moi. D’ailleurs, au bout de dix minutes, je ne tarde pas à jouir une première fois. Il fait une pause, laisse la place à mon autre compagnon du soir.
Ce dernier me positionne à plat ventre sur le matelas, soulève un peu mon bassin, puis me pénètre. Le bas de son ventre claque contre mes fesses. Cette position de soumission me rend encore plus expressive dans mon plaisir, car je grogne à chaque coup. Il soulève un peu mon torse, prend mes seins à pleine main, et continue de me besogner avec vigueur. Au bout de quinze minutes, je jouis une deuxième fois. J’en ai presque la tête qui tourne, comme si j’allais m’évanouir.
Françoise continue de prendre du plaisir avec Gérard, après un missionnaire, une cuillère et une levrette bien sympathique, ce dernier a déversé son foutre dans les entrailles de ma collègue de travail. Cette dernière semble un peu déçue de la situation et nous rejoint.
Me demande de lui nettoyer sa vulve, ce que je fais sans aucun souci puis s’allonge à côté de moi. Sébastien et Romain varient les plaisirs. Chacune notre tour, nous nous empalons sur nos compagnons du soir. Nous nous embrassons aussi quelques fois, afin d’augmenter le caractère érotique de la scène. Au bout de quelques instants, les deux garçons se regardent, se font un sourire, puis se rapprochent de moi. Je suis à califourchon au-dessus de Romain, Sébastien se positionne derrière moi, puis me pénètre.
Je suis à présent prise en sandwich par les deux garçons. Françoise a mis son abricot au niveau de ma bouche, je le lèche avec passion. Dans le même temps, je subis des assauts répétitifs dans mes entrailles. Ils s’en donnent à cur joie, et moi, je jouis pour la troisième fois.
Ma vulve éjecte une quantité de cyprine incroyable. Les hommes se retirent, se masturbent au niveau de ma poitrine, puis un peu jalouse par la situation Françoise saisit le membre de Romain. Elle le suce avec une puissance incroyable. Le visage de ce dernier devient de plus en plus rouge, puis dans un grognement d’ours déverse sa semence dans la bouche de ma collègue de travail.
Sébastien se positionne entre mes seins et éjacule à son tour son sperme. Tout le monde s’embrasse, se fait quelques petites caresses. Puis nous partons tous prendre une douche. Nous nous retrouvons à la terrasse de la maison, nous bavardons quelques instants, les garçons me remercient pour cet échange corporel et Françoise me félicite sur le côté coquin qui était bien caché en moi.
Gérard fait appelé un taxi, je rentre chez moi, je n’en reviens toujours pas de m’être libéré ainsi. J’ai pris un pied énorme. Est-ce que le libertinage est une solution à mes envies sexuelles, je ne le sais pas, mais toujours est-il que cela m’a bien plu. Après une longue nuit de sommeil, je me réveille aux alentours de quatorze-heure. Je reçois alors un message de Françoise.
Elle m’indique qu’elle souhaite me voir demain dans son bureau. Le week-end est passé à une vitesse incroyable. Nous sommes lundi, et je suis à présent avec ma collègue. Elle me propose une promotion, je devrais l’accompagner lors de ses déplacements internationaux afin de vendre les produits de notre entreprise. Je ne trouve aucune remarque à faire à cette proposition. Mais, je me doute bien qu’il y ait anguille sous roche comme on dit.