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Vacances infernales – Chapitre 2

Vacances infernales - Chapitre 2



Avertissement: histoire contenant des scènes hards, violentes et humiliantes. Puribond, passe ton chemin et ne lis pas : tu es prévenu (une fois de plus).

Mon père avait décidé de se lancer dans un grand ménage de la caravane et de la tente afin de ne pas penser à la folie qui était en train de se passer en ce moment. En lespace dune soirée, tout avait basculé et il narrivait pas à imaginer avoir assisté au viol collectif de sa propre femme. Pour moi, cétait pareil, javais assisté aussi impuissant à ce qui sétait passé. Le viol de cette femme qui nétait autre que ma mère, Céline. Mais que pouvions nous faire. Ils étaient trop nombreux et armés. Mais le pire, cest que maintenant, elle était avec eux car pour nous éviter de fâcheux ennuis, elle avait décidé de se sacrifier pour nous en soffrant aux plaisirs de ces salopards pour quelques heures voir quelques jours. Ils lavaient emmenée avec eux pour bien sûr, passer du bon temps. Nous savions quils la ramèneraient, mais dans quel état et quand? et surtout quallaient ils lui faire subir?

Cela allait faire vingt minutes quils étaient partis avec leur précieux butin et mon père était calme.

-Jai peur pour maman, que vont ils lui faire?

-La même chose quils lui ont fait hier: abuser delle pendant des heures et des heures.

-Nous devrions contacter la police malgré les menaces?

-Non, je ne risquerais pas la vie de ta mère et je ne veux pas que cette histoire sébruite. Elle aussi et tu le sais. Si la famille apprend cela, ce sera la pire des humiliations. Nous devons nous résigner et la remercier pour son sacrifice.

-Tu as raison papa, son courage est exemplaire. Jai peur pour son corps.

-Cela va être long, mon fils, très long mais nous devons nous occuper et ne pas penser aux outrages quils vont lui faire subir. Je ne sais pas si son corps sera capable dassumer tant de perversité mais ces bâtards feront en sorte de la ménager car pour rien au monde ils ne voudraient se priver du plaisir que va leur procurer le corps de ta mère.

Facile à dire car, jétais tiraillé par linquiétude et la curiosité. Oui, car au lieu de mépouvanter, ce qui sest passé hier soir, mavait excité et donné une image autre de ma mère. Jaurais aimé assister à ce quils allaient lui faire. Pris dans mes pensées, je poursuivis mon nettoyage au coté de mon père.

  Pendant ce temps, les véhicules continuaient leur chemin. Ma mère était dans lun deux. Elle était nue hormis son alliance et assise entre deux hommes au cas ou elle aurait lidée de séchapper même si sauter dun véhicule en marche ne lui avait pas effleuré lesprit. Ils avaient posé chacun, une de ses cuisses moelleuses sur leur genoux tout en lui caressant ses énormes seins. Elle était de toute façon résignée à son sort. Elle sétait donnée à ces hommes pour sauver son fils et son mari. Cétait réussi et aussi incroyable que ça puisse le paraître, son sort ne la préoccupait plus et de toute façon, elle savait ce quils allaient faire delle. Elle savait que pour ses ravisseurs, elle ne servirait que dobjet sexuel. Elle sentit un doigt sinsinuer dans sa fente et ne put sempêcher de pousser un gémissement tandis que lun des deux hommes lui roulait une pelle bien baveuse. Lautre lui suçait les seins en les malaxant. Le corps de Céline commença à éprouver du plaisir malgré son esprit humilié. Céline commença à se tortiller entre les deux salopards.

-Tinquiète, on arrive bientôt, salope! On va tous te faire passer un séjour inoubliable.

-oui, dis lautre, car en plus, tu seras la seule femelle du camp. Tu vas en prendre plein le cul.

On lui sortit une bière et elle commença à boire. Un peu de bière tomba sur sa poitrine que sempressa de lécher un des gars. Puis ils arrivèrent au fameux camp. Il yavait une quinzaine de tentes dont la plupart étaient montées nimporte comment et des camionnettes. Il yavait des barbecues, des pacs de bières et autres alcools partout. Des chiens énormes se promenaient à la recherche de bouffe. Ma mère fut extirpée du véhicule et portée jusquau centre du camp.

-Eh, on avait dit, une dizaine de fille, dit lun des gars du camp.

-On en a quune mais regardez donc cette salope.

Ils lexhibèrent et prirent ses seins gigantesques pour les montrer aux gens du camp.

-Regardez ça, regardez cette paire de loches! Jamais vous avez du en voir daussi gros et surtout naturel.

Ils observèrent les seins de ma mère avec la bave aux lèvres. Il prit ensuite sa tête et leur montra sa bouche.

-Cette bouche, ces lèvres , je vous garantie quelle peut sucer des dizaines de bites et leur donner plein de plaisir.

Il montra sa chatte puis la fit tourner pour exhiber son anus.

-Ce trou du cul peut en accueillir des bites, croyez moi! Un trou du cul de bourgeoise, ça ne vous tente pas?

-Tu las trouvé où cette pute? Nous on veut des femmes normales pas des prostituées que tu as du payer pas cher pour nous la vendre plus.

-Elle campait avec son fils et son mari et on la violée hier.

-Violée? mais ils vont prévenir les flics. On veut pas demmerde ici.

-Non, car les bourgeoises préféreraient mille fois se faire baiser que daller porter plainte et risquer que ça se sache dans leur famille prude ou chez les voisins. Au pire , on a des vidéos qui, comme par mégarde, se retrouveraient sur le net si ils osaient dénoncer.

-Bande de salauds, vous avez tout prévu. On vous la prend mais vous restez la baiser avec nous alors.

Lhomme du camp sortit une liasse de billet et conclut laffaire avec celui qui semblait être le chef du convoi. Ainsi, ma pauvre mère fut louée à ces ignobles porcs.

-Emmenez là, préparez lui un bon repas et faites la boire . il faut quel soit en forme pour ce soir.

-Saucisse et sauce blanche à foison ce soir pour Madame.

Ils rirent tout en emmenant Céline qui ne se débattait même pas bien quétant écurée de son sort. On lui fit un bon barbecue car ils voulaient que cette femme, qui allait devenir leur vide couille, soit en pleine forme. Puis on la fit boire encore et encore afin de la desinhiber totalement.

Mais déjà, les hommes commençaient à être chaud suite aux apéros et ma mère devenaient de plus ne plus leur principal intérêt. Elle était pompette et se laissait peloter sans rien dire. Puis un gars lallongea sur lherbe et la baisa comme un lapin devant le regard amusé et lubriques de ses compères. Mais déjà, il donnait envie aux autres qui commencèrent à la prendre à la chaîne. Ils sallongeaient sur elle, lui écartait les cuisses et la pénétrèrent. Ma mère se mit à gémir et ses cris excitèrent les hommes qui sattroupaient autour delles, chacun voulant se vider les couilles.

-Les gars, vous excitez pas trop et profitez un peu, on la que pour cette nuit!

Le gars aux yeux bleus qui lavait loué dit alors:

-Bah, je vous la laisse pour un jour et une nuit de plus à condition que lon reste et quon baise, quon bouffe et quon boive à lil.

-Ca marche! cette salope aux gros seins vaut bien ça et mes gars semblent bien apprécier son corps. Regarde, on dirait des lapins en rut.

-Je vais appeler son mari et son fils histoire de leur dire que leur femme etentre de bonnes mains.

-Oui, ils méritent de savoir ce quon lui fait et surtout que le mari à de la chance davoir une femme comme ça.

Le portable sonna et je répondis:

-Cest qui, le fils ou le père?

-Le fils

-Voilà, on te ramène ta mère dans deux jours car elle plaît à ceux à qui je lai loué.

-Louée ?

-Oui, et on me fait savoir que tu as de la chance davoir une mère comme ça!

Jentendis des rires.

-Écoute ça!

Jentendis alors des cris de femmes ou plutôt, dincroyables gémissements de plaisirs. Mon père me demanda de mettre en mode haut parleur. Il entendit les cris de sa femme, se faisant baiser à la chaîne.

-Voilà, tu vois, elle passe un bon moment avec nous et on compte bien profiter delle et surtout de ses orifices. A dans deux jours.

Il raccrocha. Nous fumes soulagés et horrifiés. Soulagés car ma mère nous reviendrait mais horrifiés de constater que cette femme, mère épouse , étaient en train de se comporter comme une chienne en chaleur avec ces hommes.

De son coté ma mère subissait tous les outrages. Les bites se succédaient à sa bouche, et ses seins étaient malmenés tant ils excitaient ces gars. Puis, voyant quelle nen pouvait plus de sucer des gars à la chaîne, on la retourna, lubrifia son anus à laide de salive et toujours à la chaîne, elle fut sodomisée par la quasi totalité du camp. Au petit matin, tout le monde, gorgé dalcool et ayant les couilles vides, décidèrent de la laisser tranquilles. Mais dans quel état. Ses orifices étaient rouges, des marques de frottement entre ses seins ainsi que des traces de succions au niveau des tétons. Sans compter sa mâchoire qui lui faisait mal. On la porta dans une tente afin quelle puisse se reposer car bien évidemment ils allaient recommençer le soir même.

Deux jours plus tard, une voiture arriva et quatre hommes en sortirent. Ma mère fut extirpée de la voiture, méconnaissable, échevelée, suintant lalcool et les yeux hagards. Ils la posèrent sur le gazon, devant nous et se placèrent autour delle. Puis ils sortirent leur sexe et se masturbèrent. Le sperme gicla sur elle, ruisselant, collant sur tout son corps. Puis ils partirent.

Nous nous précipitâmes sur Céline pour voir si elle allait bien. Elle cuvait encore, et à part des marques sur ses seins, des cernes dut à la fatigue, et ses cheveux devenus hirsutes, elle semblait aller bien. Nous la lavèrent et la couchèrent histoire quelle reprenne des forces. Le lendemain nous décidons de retourner sur Paris et de faire comme si rien navait eu lieu. Ma mère ne sembla pas trop affectée par ce qui sétait passé. Elle avait eu du courage de se donner à ses hommes et surtout de supporter deux jours de calvaire. Nous eûmes un dîner de famille avec mes deux autres frères et ma sur ainsi que leur conjoint respectifs. Tout sembla revenir dans lordre et mes parents reprirent leurs activités professionnelles.

    Ce ne fut que deux semaines après que jeu intégré mon appart, que jappris par mon père, quils avaient reçus la visite des salauds et qui lavait carrément baisé dans le domicile conjugal en souvenir des bonnes vacances. Cétait le début pour elle, dun épouvantable calvaire qui allait se terminer dans les cités les plus dégradées de Paris.

    Mefistoh…[email protected]

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