Je mappelle Frédéric et je suis marié à Céline, depuis plus de 19 ans. Mon épouse est adorable, jen suis amoureux comme aux premiers jours, et je pense que cest réciproque. Elle ma donné deux charmants enfants. Bien sûr, avec lâge et deux maternités sa silhouette nest plus la même que dans sa jeunesse. Cela lui a donné un charme encore plus sensuel. Je ne me lasse pas dadmirer ses rondeurs quand elle se déshabille, quand elle prend une douche. Ses seins et ses fesses rondes subliment sa féminité. Si vous rajoutez à cela son sourire canaille, vous comprendrez quelle mexcite toujours autant.
Je ne suis dailleurs pas le seul à éprouver cette attirance. Je nen veux pour preuve que les regards des hommes dans la rue ou dans des réunions entre amis, qui lorgnent sur ses fesses et son décolleté généreux. Je dois bien reconnaître, que jadorais ces regards et que cela « mémoustillait » même un peu. Cétait assez curieux mais extrêmement agréable dêtre excité ainsi par ces regards envieux sur ma femme. Dans ma tête, jimaginais à quoi ces hommes pensaient et plusieurs fois cela déclencha une érection Jeu la confirmation de cette découverte sexuelle un peu plus tard.
Un ami mavait montré sa maîtresse, et expliqué comment il lavait rencontrée, sur un site de rencontres coquines, jy fis un tour et je découvris que cette pratique sexuelle sappelait le candaulisme. Un rapide tour sur internet, men donna une parfaite définition :
« Le candaulisme est une pratique sexuelle dans laquelle une personne ressent de l’excitation en exposant ou partageant son conjoint à une ou plusieurs personnes.
Par extension, on parle aussi de candaulisme lorsque des rapports sexuels ont lieu entre une ou plusieurs personnes de différents ou même sexes, devant le regard consentant et demandeur du partenaire exclusif de celle-ci.» Jappris aussi que cette pratique était partagée par de très nombreux hommes et couples. Les annonces passées sur le site me confirmèrent tout cela. Nombreux étaient les hommes qui cherchaient un partenaire de jeu sexuel. Ils y détaillaient leurs envies, proposaient des photos softs ou franchement hards.
Au bout de quelque temps, ny tenant plus, je décidais de passer moi aussi une annonce. Je me contentai de quelque chose de très banal : « couple pour discussion et plus… », Afin de voir ce qui allait se passer. Céline aimant poser pour moi, javais un stock important de photos. Rien que des photos sensuelles en lingerie ou petite tenue. Son sourire enjôleur et canaille en disait suffisamment.
Les réponses ne se firent pas attendre.
Dans la journée, de très nombreux adhérents me proposaient leurs services. Il y avait un peu de tout mais une chose était certaine, mon épouse ne laissait pas indifférent et nombreux étaient ceux, preuves à lappui, qui avouaient ce masturber en regardant Céline. Ces photos de sexes en érection devant les photos de ma femme me confirmèrent par lexcitation quelles me procuraient que mon orientation sexuelle était bien le candaulisme.
Mais comment concrétiser. Il fallait trouver le partenaire qui plairait à Céline et à moi et surtout il fallait convaincre Céline daccepter.
Je commençais doucement à lui en parler… lui racontant mon excitation quand je voyais des hommes mater ses fesses ou son décolleté… je lui avouais même une fois mêtre masturbé en imaginant la regarder en train de faire lamour avec un autre homme. Elle fut un peu surprise mais pas choquée, mavouant même à demi-mots que cela devait être excitant aussi pour la femme. Rassuré, je me décidais à lui montrer le site et à être plus précis dans mes envies. Elle fut surprise, étonnée, et il faut bien le dire, flattée par tous ces commentaires élogieux et tous ces sexes en érection devant ses photos.
Cela ne me suffisait cependant pas et javais vraiment envie de vivre cette expérience en réel. Céline étant très timide, je ne pouvais compter sur elle pour se trouver un amant et le ramener à la maison. Je devais donc prendre les choses en mains.
Après de nombreuses recherches sur les sites spécialisés, après beaucoup de déception et de désillusions, je trouvais enfin, semble-t-il, loiseau rare.
Je lui proposais alors une rencontre afin de voir et découvrir quel amant jallais offrir à Céline.
Il sappelait Alexandre, avait 52 ans et me semblait présenter toutes les « garanties », en termes de gentillesse, de savoir vivre et déducation pour lui offrir mon épouse.
Jannonçais donc à Céline que javais trouvé lamant idéal.
Sans dire oui, elle accepta cependant de le rencontrer avec moi dans un café. Elle était très intimidée et stressée. Alexandre se montra très agréable, séducteur, gentil… et je sentis que peu à peu mon épouse se détendait et quen elle, cheminait lidée de finir un jour dans son lit. Nous nous séparâmes en se promettant de se revoir très bientôt.
En chemin, je demandais à Céline ce quelle pensait dAlexandre et si elle était prête à franchir le pas. Elle massura quelle le trouvait charmant et enfin, à force dinsister, elle lâcha :
Ce sera ton cadeau danniversaire !
Les jours passèrent, partagés entre excitation, attente, déception. Céline avait fait lacquisition dune tenue pour loccasion. Je ne souhaitais pas la voir, ce qui renforçait encore mon excitation.
Enfin, trois semaines après notre première rencontre, Alexandre nous convia au restaurant.
Céline passa un long moment dans la salle de bains à se pomponner et à shabiller. Quand enfin, elle sortit, ce fut un choc. En tailleur, jupe chemisier, les jambes gainées de nylon, ses hauts talons la faisant cambrer et offrir ainsi sa généreuse poitrine, elle faisait très bourgeoise bcbg.
Arrivé au restaurant, je vis aussi à son regard, quAlexandre était lui aussi sous le charme.
Le repas fut un délice aussi bien par sa qualité, que par cette sorte dexcitation interne qui bouillait en chacun de nous. Nous parlâmes de choses et dautres, sans rien évoquer de la suite de la soirée.
A la fin du repas, Alexandre nous proposa de finir la soirée dans un dancing très chic. Nous continuâmes de parler de la pluie et du beau temps en savourant une coupe de champagne. Enfin, Alexandre me demanda sil pouvait inviter Céline à danser.
Je les regardais, mais le type de musiques proposées nincitait pas à une « drague » en règle.
Enfin les stroboscopes et les flashs séteignirent pour faire place à une petite lumière douce. Ils étaient restés sur la piste et enchaînais donc aussitôt la série de slows. A chaque nouveau morceau, il me semblait quils collaient un peu plus, mais la faible lumière et la présence des danseurs mempêchaient de bien voir. Elle avait les bras autour de son cou et lui, la plaquait fermement contre lui collant ses seins contre sa poitrine et plaquant son ventre contre le sien. Il lui murmurait des mots à loreille et quand ils se rapprochèrent de moi il lembrassa sur la bouche. Ma frustration fut grande car au même moment un couple passa entre nous et je ne pus bien voir.
Je le dis à Alexandre en riant….. Et celui-ci, attirant Céline contre lui, lembrassa goulûment debout devant moi. Cela dura 30 bonnes secondes et aux mouvements de leurs mâchoires je voyais bien que leurs langues se fouillaient profondément la bouche.
Jétais hyper-excité et avais une érection monstrueuse, à tel point que je dus faire un tour aux toilettes pour me rafraîchir.
A mon retour, assis sur la banquette, il continuait de lembrasser avec fougue, lui caressant les seins et le ventre par-dessus sa jupe. Connaissant ma Céline, jimaginais fort bien que ses tétons devaient être durs et dressés et sa culotte abondamment mouillée.
La bouteille finie, il proposa de terminer la soirée chez lui car il habitait à deux pas. Dans la rue, il la tenait par la taille et sarrêta plusieurs fois pour lembrasser.
Arrivés chez lui, Céline disparut immédiatement dans la salle de bains. Au bout dun moment il la rejoignit et restèrent un bon moment partis. Je sirotais mon café en commençant à me demander sil ne la baisait pas dans la salle de bains, hors de ma vue.
Ils revinrent enfin en se serrant par la taille, il lembrassa à nouveau debout au milieu du salon, lui disant quil allait lui faire lamour toute la nuit. Il lui caressait les seins, glissant ses mains dans léchancrure de son chemisier et commença à la déshabiller.
Il fit dabord glisser sa jupe, dévoilant un superbe tanga mauve, qui mettait en valeur ses superbes fesses, et des bas dimup, soulignant ses magnifiques cuisses fuselées. Je me régalais à les regarder ainsi.
Il lui caressait le bas-ventre, dabord sur la culotte puis, directement sur sa chatte. Me montrant sa main toute humide, il me dit :
Regarde comme elle a envie de baiser.
Cela la fit rire et elle se colla encore plus contre lui et commença à lui caresser le sexe. Quand il lui retira son chemisier, je crus que ses seins allaient jaillir du soutien-gorge tellement ils étaient gonflés. Après un bon moment à sembrasser et se caresser mutuellement de façon de plus en plus appuyés, il lentraîna vers la chambre.
Un peu étourdi, jattendis la suite des évènements.
Au bout dun moment, ny tenant plus, je me dirigeais doucement vers la chambre. Ils étaient debout près du lit, lui nu, Céline en sous-vêtements, mais les seins sortis du soutien-gorge. Ils sembrassaient et se caressaient toujours. Elle avait pris son sexe à pleine main, le masturbant doucement, ne sarrêtant que pour lui caresser les couilles. Lui de son côté avait fait glisser le tanga et son index titillait son clitoris, la faisant gémir et se tortiller.
Il finit par enlever soutien-gorge et culotte. Elle se mit à genoux devant lui pour prendre sa bite dans la bouche. Elle était de dos et je ne voyais pas grand-chose, ce quelle du imaginer car elle fit un quart de tour afin de bien me montrer. Elle mettait en uvre toute sa technique, avalent goulûment la queue de son amant, lui palpant et malaxant les couilles. Parfois elle jetait un coup dil vers la porte pour voir si jétais bien là, ce qui semblait décupler son ardeur. Alexandre lui maintenait, parfois la tête, lobligeant ainsi à engloutir la queue le plus loin possible, mais dautre fois il la repoussait car sans doute au bord de léjaculation.
Il sest décidé de lallonger sur le lit. Ses pointes de seins étaient dressées. Elle releva des jambes les pris dans ses mains afin de bien offrir sa chatte. Cette position où Céline soffrait totalement décupla ma masturbation. Il écarta un peu plus ses grandes lèvres et y enfouit son visage. Je voyais nettement sa langue exciter son clito et rentrer le plus loin possible dans son vagin. Sa chatte était toute luisante dégoulinante de cyprine et de salive
Il se redressa et approcha sa queue. Elle était très raide, le gland bien décalotté. Il la pénétra en douceur, Céline se cambra en gémissant offrant ses tétons quil mordilla et suça avec avidité. Il la ramona un bon moment, sortant et rentrant sa bite et provoquant des gémissements de plus en plus forts. Soudain, elle enserra ses cuisses autour de lui ses muscles se contractèrent, en plein orgasme elle hurla,… je joui !!!!!!
Alexandre était un sacré baiseur et la queue toujours raide, il roula à côté delle en lui ordonnant :
Vient denfiler.
Céline ne se fit pas prier et, prenant la bite bien dure à pleine main, elle senfonça dessus en gémissant et commença à monter et descendre. Dans cette position, elle était face à moi. Je voyais ses gros seins se balancer au rythme de la baise. Il essayait de lui mordiller les seins et quand il attrapait un téton, il le mordillait et le suçait, ce qui la faisait encore plus gémir. Bouche ouverte, langue sur les lèvres, elle me regardait fixement, lair de dire :
Regarde comme je me fais bien baiser.
Je coule de partout.
Ça te plaît chérir, de voir ta petite femme se faire baiser ?
Parfois, il donnait un bon coup de reins, ce qui la faisait sauter en lair. Elle se renfilait en grognant et continuait son manège.
Soudain, elle se mit à gémir
Ça vient, ça vient, je vais encore jouir.
Lui :
Vas-y lâche toi, prends ton pied.
Tu aimes te faire baiser ?
Elle
Oh oui tu me baises bien, jaime ta bite…
… le reste se termina dans un cri et des soubresauts dun orgasme dune violence inouïe
Elle bascula sur le côté en se tortillant.
Queue toujours dressée, il lattrapa,
Met toi à genoux que je te baise plus profond et que je te fasse une surprise.
Elle sexécuta immédiatement offrant à notre vue son superbe cul. Il lui écarta encore plus les fesses afin de bien dévoiler son intimité. Il la léchait depuis le clitoris, jusquà son anus, le titillant, le léchant avec avidité puis recommençait. Céline, du coin de lil me regardait en gémissant
Il la fit tourner un peu pour que je voie bien et, me faisant un clin dil, il cracha sur sa rondelle et avec son majeur, il fit doucement pénétrer la salive dans son trou du cul. Elle devait aimer, car elle écartait de plus en plus les cuisses.
Se tournant vers moi, il me dit
Elle a lair daimer, je vais lui faire le cul.
Il commença à rapprocher sa bite, mais, à ma grande surprise il lui mit dans le vagin
Je vais te faire jouir pour que ton cul se dilate bien et je tenculerai.
Je ne sais pas si cest lidée de se faire sodomiser ou les nouveaux coups de boutoirs quelle prenait, elle jouit presque immédiatement…..
Il se retira et entrepris directement de lui mettre deux doigts. Cest dingue comme ça semblait facile !!!
Il commentait :
Pour une pucelle du cul, tu te dilate bien ma salope.
Dit-nous que tu veux te faire enculer.
Oui je veux me faire enculer !!
Plus fort et devant ton mari
Oui je veux me faire enculer devant mon mari !!!!!
Il cracha dans son trou, la travailla avec ses doigts et enfin présenta sa bite et enfonça doucement. Elle laccompagnait en se tortillant et en écartant ses fesses. Enfin le gland passa, elle poussa un hurlement et la bite disparut en elle.
Expérimenté, il allait doucement et sortait de temps en temps pour la lubrifier en crachant et me montrer son trou béant.
A la force de la baiser, il devait être au bout car il se retira brusquement, la retourna glissa sa bite entre ses seins et en quelques secondes, il linonda de foutre. Elle en avait plein les seins et jusquau visage.
Métant masturbé déjà deux fois, je retournai dans la chambre quAlexandre nous avait prêté.
Un peu plus tard, alors que je mendormais, jentendis Céline et Alexandre prendre une douche ensemble. Ils devaient encore se tripoter car jécoutais ma femme glousser le plus silencieusement possible. Enfin, entièrement nue, elle me rejoignit au lit. Je ne pus mempêcher de la toucher. Elle était toute fraiche, mais sa chatte était encore humide et surtout, son cul était encore drôlement dilaté. Je la complimentais pour sa performance et elle, gentiment, soulevant le drap, elle prit ma queue bien gonflée dans sa bouche et se mit à me pomper doucement. Encore très excité, je ne tins pas longtemps et je déchargeais presque immédiatement. Elle ne se retira pas et avala goulûment tout le sperme qui sortait.
Epuisé, je navais quune idée : dormir. Aussi, je lui dis
Chérie va le rejoindre, va encore te faire baiser.
La nuit dans une sorte de sommeil conscient jentendis Céline jouir plusieurs fois, avant de sombrer dans un sommeil profond.
FIN