16h32.
Un doigt pousse le bouton de la sonnette, qui retentit. Au bout de ce doigt, certainement ma cousine Anna.
Quel timing, juste à l’heure.
A peine essuyée de ma douche, je file dans ma chambre, j’enfile à la hâte un short, le premier de la pile dans l’armoire, sans même prendre le temps de mettre une culotte.
Un short d’un vieux jean coupé, effiloché, qui me colle à ma peau encore humide. Très ajusté, il laisse un peu dépasser la rondeur de mes fesses d’un côté et de l’autre côté, la couture me rentre dans ma moule. Cela n’est peut-être pas la meilleure tenue pour recevoir la cousine (bien que cela ne me déplaise pas), mais je n’ai pas le temps de faire mille essayages, je dois aller ouvrir. J’attrape au passage le haut de mon maillot de bain laissé sur le dos d’une chaise et cours aller ouvrir.
Anna !, salut ma cousine, quel plaisir de te voir.
Anna est une belle (et vraie) blonde aux yeux gris/vert. Elle porte une courte robe d’été blanche, style patineuse. Son bustier en V, laisse apparaître un superbe décolleté. Sa poitrine est ainsi supportée par deux fines bretelles nouées derrière le cou. Une belle poitrine ronde et généreuse. Du haut de ses 1m70 environ et certainement 60 kg, j’estime qu’elle doit bien faire du 90C. Sa robe l’aidant, ses seins sont rapprochés, relevés et bombés. Ils sont d’une belle teinte claire et d’un aspect velouté au regard, laissant envisager une agréable douceur de sa peau.
La finesse du tissu me laisse deviner des mamelons plutôt clairs et fins, de la taille d’une pièce de 2euro. Des auréoles surmontées de petits tétons fermes tout ronds.
Je la laisse entrer dans la maison, ce qui me permet de l’admirer de derrière. Elle a une longue chevelure blonde tressée qui descend jusqu’à la courbure de ses reins. Sa robe ne reprend qu’au niveau du bas de ses reins, d’une belle cambrure, ce qui laisse à découvert son dos, d’une peau lisse, qui semble tout aussi douce que sa poitrine. La robe est ainsi délicatement posée sur le départ de belles fesses fermes et bombées (cela doit être de famille). Ses jambes sont rapidement découvertes, le tissu de sa robe n’arrivant même pas à demi cuisses, voire à un tiers de ses cuisses.
Le soleil est maintenant dans son dos, je ne peux que remarquer par transparence son magnifique Thigh Gaps, cet espace entre les cuisses qui ne doit pas laisser indifférents les garçons quand elle porte un pantalon moulant.
Tout en avançant sur des chaussures à haut talon, donnant encore plus de charme à ses jambes fluettes, son déhanché imprime un mouvement de balancement à sa robe me permettant d’entrevoir, de temps à autre, la courbure de ses petites fesses. Une cousine d’une belle morphologie en 8, en gros et sans détour : une vraie bombe.
Je ne l’ai pas vu depuis bien 2 ans et demi, elle est devenue une vraie jeune femme au pouvoir érotique authentique.
Je l’invite à s’asseoir à côté de moi sur l’un des transats de la piscine, après avoir récupéré quelques rafraîchissements dans la cuisine.
On échange quelques banalités d’usages, puis, à la vue de son corps, qui à mon avis est un aspirateur à garçons, je lui demande de me raconter l’histoire de ses conquêtes. Si elle a un mec en ce moment ?
A ma grande surprise, rien. Sa vie sexuelle ressemble plus à l’électrocardiogramme plat d’un mort. Je m’interroge sur la question et finit par comprendre que deux facteurs principaux sont en causes : elle est plutôt réservé et que sa plastique intimide les garçons. Ils n’osent pas l’accoster. Ce qui la rend plutôt triste et elle peine à trouver quelqu’un.
Il va falloir prendre le taureau par les cornes ma petite Anna, je vais te montrer comment cela fonctionne !
Première leçon, l’approche et le baiser :
Bien que sous leurs aspects gros roublard et vantard, le garçon est plutôt un animal qui a peur d’une belle fille. Tu dois l’encourager et souvent même faire le premier pas.
Je me colle alors à elle pour passer mon bras droit derrière sa nuque.
Je lui lance en faisant un clin d’oeil : Ne pas hésiter le contact rapproché avec le garçon pour l’empêcher de fuir.
Je remarque que ses jambes sont parfaitement lisses et méticuleusement épilées. J’imagine que son pubis l’est aussi. Néanmoins, je lui demande quand même de me le montrer pour la conseiller.
Un peu gênée, elle soulève quand même sa robe pour faire apparaître un petit string blanc avec de la petite dentelle ajourée sur le contour. L’étoffe qui recouvre son pubis est faite d’une pièce de tissu parfaitement transparent. On voit ses grandes lèvres recouvrir l’intégralité des petites lèvres, ne laissant finalement apparaître qu’une jolie et mignonne petite fente.
Sont épilation est très soigné :
Je vois, tu as une très fine et courte bande de poils, parfaite et très érotique.
Tout en lui disant ses mots, le bout de mes doigts de la main gauche frôle l’intérieur de sa cuisse gauche pour remonter vers son pubis.
Arrête, Rachelle, tu me chatouilles
Ma main stop, mais reste en position pendant que j’approche ma bouche dans le coin de son cou pour lui attraper le lobe de l’oreille avec mes lèvres.
Mais enfin que fais-tu ? Arrête s’il te plaît.
Je lui explique qu’elle doit se détendre, je veux juste lui montrer ce qu’il faut faire et aussi comment réagir si un homme lui fait cela.
Bien que gênée, elle accepte alors de se laisser faire.
Je lui suçote le lobe de l’oreille, une légère chair de poule apparaît sur ces bras.
Je lui glisse tout doucement à l’oreille : tu vois maintenant il faut rapprocher nos bouches pour s’embrasser.
Non, attends rétorque-t-elle, je crois avoir compris, inutile de le faire en pratique.
Je fais fi de son interjection et commence à lui faire des bisous sur le coin de ses lèvres.
Elle se tient raide et tend à vouloir s’éloigner de moi. Je la retiens avec mon bras droit resté autour de son cou et ramène gentiment son visage, bouche face à face. Je finis par lui attraper les lèvres avec les miennes. Ma main gauche remonte sur son sein droit et passe facilement sous le tissu. Rapidement, elle me la maintient pour l’enlever.
Écoute Anna, c’est pour toi que je fais cela. Bien embrasser un mec c’est important. Allez, on essaie !
Elle finit par répondre à mes baisers et ouvre la bouche pour se laisser attraper les lèvres. Ma langue pénètre à la recherche de la sienne et bien que je sente toujours une réticence de sa part, j’arrive au contact et nos langues se laissent s’entremêler.
Enfin, elle commence à se détend et laisse aller par ce baisser. Sa main qui retenait la mienne retombe ce qui me permet de libérer sa bretelle droite pour la laisser glisser le long de son épaule. Ne portant pas de soutien-gorge, son sein se retrouve rapidement dégagé et libre de mes caresses. Je sens son téton gonfler par le pincement que j’applique entre mon index et majeur. Pour ma part, je commence à être excitée et fais onduler mon bassin pour que le tissu de mon short, qui pénètre déjà ma fente, frotte sur mon abricot. Ma main continue son chemin sur son second sein pour lui administre le même plaisir. Tout en continuant à nous embrasser, avec une réelle passion érotique, je retourne lui effleurer l’intérieure des cuisses pour remonter sur sa culotte.
Attends, attends, tu vas trop loin là. Déjà, je suis hétéro, et en plus tu es ma cousine je te rappelle
Oui et moi je te rappelle que je fais cela pour t’aider, tu ne vas quand même pas rester seule toute ta vie. Quel gâchis
Sur ces mots, je remets ma langue dans sa bouche tout en tenant sa tête de ma main droite. Ma main gauche remonte sur ses cuisses, passe sous sa culotte et va lui caresser les lèvres d’un sexe qui me semble quand même s’humidifier. Anna tente de me tenir la main, la pousser, mais rien n’y fait, j’arrive à lui malaxer la vulve, quand j’entends un petit gémissement sortir de sa bouche suivit d’un frémissement de son corps.
Elle tente toujours de me repousser, mais avec bien moins d’insistance, ses jambes se relâchent et s’entre-ouvrent. Ainsi, collé à elle, instinctivement, Anna écarte encore plus ses jambes, mes doigts pénètrent son intimité, je passe sur son clitoris fortement mouillé.
Je ne m’étais pas trompée, malgré sa réticence, la moiteur de sa moule que j’ai perçue tout à l’heure a trahi l’envie de son corps pour le plaisir sexuel.
Elle commence à s’abandonner à moi. J’en profite pour diriger sa main libre sur ma chatte et lui montrer comment me masturber à son tour.
Elle comprend maintenant ce que j’attends d’elle et y arrive plutôt bien. Je baisse mon short et plaque sa main sur mon sexe, appuie sur son majeur pour le faire rentrer dans mon trou. A mon tour je pousse quelques gémissements, ce qui l’encourage et même, elle semble y prendre goût.
Je porte alors mes doigts englués de sa mouille à sa bouche pour lui faire goûter. Au départ, elle ne veut pas. Je reprends donc à l’embrasser et en profite pour y glisser mes doigts. Nos langues et mes doigts se mélangent et elle finit par se laisser faire. Je prends un réel plaisir à mélanger ainsi nos salives et sa mouille qui a très bon goût.
Je fais ainsi quelques aller-retour entre sa chatte et nos deux bouches tout en commençant à la doigter, encouragé par ses petits gémissements à chaque passage.
Tu sembles apprécier ma petite Anna
Troublée, ne sachant plus quoi penser entre son plaisir opposé à sa morale liée à son éducation, d’une douce voix suave :
nan, arrête, ce n’est pas bien ce que l’on fait, il faut arrêter
mais contradictoire et couverte de gémissements : mais putain c’est bon, baise-moi.
Sa main s’active sur moi, elle enfonce son index et majeur dans mon trou pendant que son pouce joue avec mon clitoris. Je pose mon pied sur le transat pour écarter au maximum mes cuisses et prendre le plus de plaisir possible, ce qui ne manque pas de me faire de plus en plus gémir.
C’est bien Anna, fais-moi jouir je vais faire de toi une vraie petite salope.
Anna, dans son tourbillon de plaisirs, n’y fait pas fait attention, mais l’homme d’entretien de la piscine (ne connaissant pas son nom, je vais l’appeler : Mr Piscine) est toujours là.
D’un oeil, je le vois sortir du local technique où il nettoyait les filtres. Une belle gaule dans son pantalon, il devait nous observer depuis le début.
Alors que ma cousine prend son pied mes doigts dans sa chatte et ma langue dans sa bouche, je lui demande de se positionner sur et face à moi, genoux sur le coussin du transat, à quatre pattes.
J’enlève sa culotte puis ma main gauche lui attrape la chatte et je replace mon majeur dans son trou alors que je fais discrètement signe de la main droite à M. Piscine de venir à nous.
Mon index et majeur s’activent, je rentre et sort de son sexe, puis remonte les doigts jusqu’à son anus pour retourner dans sa chatte. J’humidifie bien le terrain avec pour idée de passer un de mes doigts dans son fion.
Face à moi elle me suce les seins, je mouille terriblement et ai les tétons au bord de l’explosion.
Je vois M. Piscine qui est maintenant juste derrière Anna, en dehors de son champ visuel. Il sort son sexe et commence à se masturber devant ce spectacle.
De ma main droite, je remonte sa robe et découvre tout son cul que je commence à caresser. L’entrée de sa rondelle étant maintenant bien lubrifiée, je fais glisser la première phalange de mon index dans ce petit trou. De mon autre main, je sors mes doigts de sa chatte, attrape la bite toute proche de M. Piscine et la dirige pour qu’il pénètre Anna.
Tu fais quoi là Rachelle avec ton doigt dans mon trou du cul ! Enlève-le tout de suite !
A peine terminée sa phrase, Mr.Piscine l’enfile d’un seul coup, la pénétrant au plus profond de son vagin. Surprise, elle pousse un énorme gémissement et expulse mon doigt de son cul par la même occasion.
Punaise, il se passe quoi là !
Arrête de râler Anna, tu as maintenant un beau mâle qui t’enfile. Tu vois qu’en te donnant un peu de peine tu peux te faire baiser. En plus, tu aimes cela, tu mouilles comme une salope.
M. Piscine commence une série de vive vas et viens dans sa chatte, il bande comme un fou, son sexe est gorgé de sang, énorme. Il enfonce tout sa queue dans Anna qui pousse de grands gémissements à chaque coup. J’attrape la tête de ma cousine puis glisse en arrière pour la coller sur ma moule. Plus question qu’elle se défile.
va-y lèche moi bien la chatte que je prenne aussi mon pied pendant que tu te fais culbuter.
A chaque coup de bite, la bouche d’Anna s’écrase sur mon clito, puis elle l’aspire et me lèche la fente, elle me doigte en même temps à plusieurs doigts avec de rapides va-et-vient comme une belle salope sait le faire.
Ma jouissance monte à son paroxysme et j’explose de plaisir inondant la face d’Anna de ma cyprine. Je la maintiens par les cheveux et la force à laper tout ce liquide qui s’échappe encore de ma moule. Anna est en complète soumission, s’exécute et geint à chaque fois que l’homme pousse son gland au plus profond dans son vagin, ses couilles tapent sur son clito.
Je sens le corps d’Anna trembler d’une souffrance jouissive. Dans cet état second, j’en profite pour lui enfoncer un, puis deux doigts, à fond dans le cul. Elle hurle, je sens à travers la fine paroi qui sépare son vagin et rectum le gland de M. piscine que j’écrase pour lui donner un max de sensation. Anna suffoque et crie de plaisirs, l’homme la cramponne par les hanche, s’enfonce au maximum, puis explose de plaisir à son tour. Une dose abondante de sperme gicle dans son con.
Vas-y Anna, retourne-toi et lave-lui la bite maintenant dans ta bouche.
Elle se retourne, lèche sa bite et ramasse méticuleusement tout le reste de sperme mélangé à sa mouille. J’ai maintenant une vue directe sur le sexe d’Anna, du sperme coule de son trou que je m’empresse de lécher. Chaque coup de langue sur son clito. lui provoque encore des secousses fatales de plaisir.
Sa bite, lavé par la langue d’Anna, nous terminons par nous lécher mutuellement en position 69.
Bravo les filles, deux belles salopes, on remet cela quand vous voulez
Je lui lance,
la prochaine fois vient avec un copain pour que tu puisses aussi me défoncer
Fatiguées et tuées par le plaisir, nous réajustons tant bien que mal nos vêtements. Nous nous regardons avec un air complice et approbateur. Anna n’ose plus rien dire, je pense que nous reparlerons de tout cela plus tard, car il est temps de se remettre de toutes ces émotions. Vu l’heure, mes parents ne vont pas tarder à rentrer.
Pendant que M.Piscine ramasse ses affaires pour partir, nous nous mettons d’accord entre cousines pour garder cela secret et accordons nos violons sur ce que nous avons fait cet après-midi dans le cas où mes parents le demandent.
Transformer ma cousine en petite salope ne s’arrête pas là, et d’autres péripéties me sont arrivées. J’aime le sexe et les nouvelles expériences.
Cet été, j’ai été servi. Cela vous intéresse de savoir ?
A voir, je dois y réfléchir si je peux vous raconter tout cela, j’ai été exposée à des situations très très hard, lubriques, salaces et même excessives parfois.
