Je me lève difficilement sur mes talons et me retourne pour voir mon visage dont le menton est taché d’une liqueur blanchâtre. Je ne tarde pas à récolter cette goutte avec mon doigt avant de le suçoter en regardant le miroir. J’enlève aussitôt mon haut et mon shorty en me tortillant.
— Laïka.
Je me retourne et vois Mike allongé sur le lit, adossé à un coussin, sa bite débandée en oblique sur son bas ventre. Je ravale ma salive qui garde encore le gout salé de son sperme sans réussir à détourner mon regard de son engin.
— Va voir dans cette armoire, dit-il en me désignant une grande armoire entrouverte à sa droite.
Je m’y dirige en passant mes mains sur mes hanches. Je sens le regard de Mike sur mon cul à chacun de mes pas dont le bruit des talons raisonne dans la pièce. En ouvrant grand la porte coulissante de l’armoire, une trentaine de robes accrochées à des cintres se présente à mes yeux. Je passe mes doigts le long de cette rangée de tissus colorés. J’essaye de contrôler ma respiration qui s’emballe quand mon regard est attiré par une robe blanche assez courte.
— Il y a des sandales qui iraient parfaitement avec celle-là, lance Mike en se tournant vers moi, sa queue retombant sur le drap.
Il me fait signe de la tête de voir plus bas. Bien évidemment, je m’accroupis et mon cul bien ouvert doit lui donner une vue des plus obscènes. Je l’entends grogner le salaud !
— Tu as raison, dis-je d’une voix sourde en me mettant d’abord sur mes genoux, puis en posant mes fesses sur le carrelage.
Dès que je finis d’enlever mes talons, je mets les sandales spartiates que j’ai déballées du petit carton rose. Ces dernières ont des talons plus petits mais restent incroyablement sexy. Je prends la robe entre mes mains et la regarde avec émerveillement.
— Je n’ai jamais porté de robe
— J’imagine, me murmure-t-il à l’oreille.
Je tourne mon visage vers Mike, étonné de ne pas l’avoir entendu sortir du lit, hypnotisé que j’étais par cette robe éclatante. J’ai à peine le temps de dire un mot qu’il pose un doigt sur mes lèvres que je referme aussitôt. Sa main descend de mon menton à mon cou qu’il caresse avec une douceur que je ne lui connaissais pas. Sa queue en demi-molle me chatouille les fesses. Je soupire quand son autre main passe de ma nuque à mon dos, puis à ma chute de rein. Ses gestes sont lents, précis et intensifiés par son regard qui me domine, m’écrase. Je n’arrive pas à croire que je suis totalement offert à lui, à ses bras qui entourent mon corps qui se tord au contact de sa virilité.
Les mains de Mike glissent sur mes avant-bras avant de prendre la robe. Il me souffle de lever les bras. J’obéis automatiquement. Il passe la robe par-dessus ma tête et la délie sur mon corps qu’elle moule parfaitement. Ses bretelles descendent sur mes épaules pour s’arrêter au niveau de ma poitrine, là où la robe est ouverte à son centre pour laisser voir un décolleté. Malheureusement pour moi, je n’en avais pas, de poitrine. Par contre, je sentais mes fesses atrocement serrées par la robe, je me mets de profil et faillis m’étrangler à la vue de mon cul dans le miroir.
— T’es bonne à souhait, lance Mike en me donnant une claque.
Je sursaute en le regardant, et mes battements de cur s’accélèrent à la vue de son érection. Je pose ma main sur mon cou et je suis comme frappé par une nouvelle sensation ; je suis heureux de lui faire autant d’effet d’arriver à faire bander un mec.
— Marche.
Je m’exécute et déambule le long de la chambre, je jette des regards au miroir qui montre une jeune fille qui se trémousse dans une robe minuscule, et qui fait ressortir grossièrement son cul. Mes longues jambes sont magnifiques Mike est en train de filmer. Je veux l’en empêcher mais à la place je me mets face à lui et lui lance un regard implorant, comme une gamine.
— Putain ! fait-il en jetant son portable sur le lit et en venant vers moi.
— Attends !
Il me soulève avec une facilité déconcertante. Je serre mes jambes autour de sa taille pendant qu’il me plaque contre le mur qui fait face au miroir.
Il m’embrasse fougueusement, sa langue harcèle la mienne pendant qu’il prend mes mains et les positionne sur ma tête.
— Mike doucement doucement mhhhhmm, gémis-je pendant qu’il me dévore le cou.
Il me mord l’épaule et, tout en maintenant mes poignets d’une seule main, il fait passer l’autre sous ma cuisse et soulève ma robe, mettant mon cul à l’air. Je sens sa bite vibrer sous mes petites couilles. Je regarde par-dessus son épaule et je me vois, les jambes serrant le bassin de cet homme au dos musclé qui se contracte à chaque fois qu’il joue avec mon corps, mes chevilles serrées par des sandales à talons.
— Mike Mike
Soudain il me repose, me pousse sur le lit. Je m’étire comme une tigresse, sachant ce que j’avais à faire en tant que femelle en chaleur, je me cambre en lui tendant ma croupe. Je le vois présenter sa bite devant mon trou à travers le miroir je le vois me la mettre pendant qu’il maintient mes fesses rebondies de son autre main et je ne l’en empêche pas.
— Bordel t’es un sacré coup !! crie-t-il en me tirant par la gorge et en donnant des coups de bassin de plus en plus forts.
— Ah ! ah aah ! ah ! putain aahhh !!
Il me lime sans relâche. Je me mets à contempler ses bras musclés dessinés par les veines, ses abdominaux et son torse puissant. Putain mais depuis quand le corps d’un homme me chauffe autant ?!! Il claque son bassin contre mes fesses. Je sens sa queue me détruire, remplir mon conduit. Je sens sa chair aller et venir en moi, frottant mon intimité en y laissant des picotements.
— Miiiiiike !!! Ta grosse bite me déchire !!! Merde !!! ahhhmmmm !!!
Quand je me regarde dans la glace je me mords la lèvre un instant. Je suis à quatre pattes, la robe remontée et froissée par les mains de Mike qui me ramone comme une chienne. Mes paupières me lâchent, mes jambes tremblent à chaque à-coup qui entrecoupe mes cris essoufflés. Mes cuisses vibrent et je sens une étrange sensation, comme une explosion qui me fait couiner en inondant mon trou. J’ai l’impression de savoir ce qui se passe ! Je lève mes yeux aux sourcils plissés vers Mike et ce dernier s’enfonce en moi sans relâche, et crie en me claquant violemment la fesse :
— Putain tu jouis du cul !!
— Ahhhh c’est pas possible. Aaaah ahhh Mike nooon.. ahhh !!
— Tu mouilles !!!
Je sens son sperme me ravager les entrailles. Je serre le drap entre mes doigts en minaudant, secoué par des tremblements, les larmes aux yeux.
— Ahhhhh !!! Noonn !!! Mhhhmmm Mike Mike Mike !!!
A peine Mike s’est-il retiré de mon cul qu’on entend un bruit, comme le cliquetis de clefs, venir du salon. Mike plaque sa main sur ma bouche et me fait signe de me taire.
On n’est plus seuls dans la maison !
