À l?occasion des vacances de pâques, Jacques retourne chez ses parents. Sans être vraiment alarmiste, sa mère lui a téléphoné que son père, en préretraite à présent, n?est pas au mieux. Il a donc décidé de passer ces fêtes en famille. Il a prévenu à ses amies, Aline et sa fille Clémence, de sa venue.
En effet, sa mère n?avait pas tort, depuis son infarctus, son père ne bouge plus beaucoup. Il n?est pas en crise, mais on ne reconnaît plus le bon vivant d?autrefois. Jacques donne un coup de fil à Aline, les invite au restaurant le lendemain à midi.
Les deux femmes attendent impatiemment leur ami, et avant même qu?il ait eu le temps de sonner, Clémence a ouvert la porte et s?est jetée dans ses bras.
– Enfin, te voilà lâcheur !
Il entre et Aline l?embrasse sur les joues, glissant un peu sur les lèvres. Le temps que la jeune fille aille chercher son blouson, Jacques en profite pour donner un vrai baiser en caressant les fesses de sa maîtresse. Mais ils ne peuvent poursuivre, Clémence arrive.
Le restaurant choisi est l?un des meilleurs de la ville. Les femmes sont heureuses de sortir, surtout avec un si bel homme. La conversation roule sur toutes sortes de sujets. À un moment, Aline s?absente et Clémence dit à Jacques :
– Il faut que je te voie, c?est au sujet de ma copine Chloé, elle a un problème. N?en parle pas à maman.
Probablement une histoire de filles, pense-t-il.
Jacques ramène ses amies chez elles, mais au moment de les quitter, Clémence dit à sa mère :
– Je peux aller faire un tour avec Jacques, nous rentrerons pour goûter.
Se doutant que c?est pour lui parler de sujets intimes, Jacques s?arrête devant un café ancien fréquenté par des retraités qui jouent au carte ou discutent. Il connaît une table dans un coin sombre toujours inoccupée.
Je voudrais te parler de ma copine Chloé. Elle est perturbée, c?est une histoire de garçon. Avec Pascal, ils sortent ensemble depuis quelques temps, ils s?aiment bien et le mois dernier…
– Chloé, tu viens chez moi cet après midi, nous réviserons le bac blanc de math.
La jeune fille sait très bien qu’ils ouvriront leurs livres, mais ce sera un alibi au cas où ses parents viendraient dans la chambre, plutôt qu?une occasion de travailler. Ils flirteront comme à l?ordinaire, elle aime bien les caresses, tant qu?elle ne vont pas au pas décisif, ils sont tous deux puceaux.
Arrivés chez Pascal, il sort les clés pour ouvrir la porte.
– Tes parents ne sont pas là ?
– Non, ils sont partis pour la journée.
Chloé comprend que son copain lui a tendu un piège, elle n?aurait pas accepté de venir car elle craint d?aller trop loin, elle ne veut prendre aucun risque.
À peine dans la chambre, le garçon l?enlace et l?embrasse. Il glisse les mains sous le pull-over et tente de dégrafer le soutien gorge. Chloé recule et lui dit :
– Pourquoi tu ne m?a pas prévenu que l?on serait seuls. Je veux bien rester, mais je te préviens, seulement des caresses, je ne veux pas baiser.
– Mais non, nous serons sages, mais au moins je pourrai te voir toute nue, je ne t?ai vue que par morceaux.
Chloé est sceptique sur ses intentions et reste sur ses gardes, mais d?un autre coté, elle aime bien Pascal et veut lui faire plaisir. Et puis les caresses ne lui déplaisent pas, bien au contraire.
– Laisse moi te déshabiller, lui demande-t-il.
Il remonte le pull, fait passer la tête, mais laisse les bras prisonniers. Il dégrafe le soutien gorge qui tombe. Il a ainsi sa copine torse nu, les bras levés et peut taquiner les seins. Jusqu?à maintenant, il l?a toujours fait rapidement, en cachette, sans jamais les voir vraiment. Chloé est un peu gênée par la position, assez inconfortable, mais flattée par le grand intérêt qu?il témoigne à sa poitrine. Les premiers baissers sur les mamelons, les premières agaceries sur les bouts la font vibrer, elle rabaisse les bras sans quitter le pull et emprisonne la tête de Pascal.
– Continue, c?est bon.
Fort de cet accord il continue sa besogne. Sa bouche occupée, ses mains déboutonnent le jean et le laisse glisser. Chloé se dégage afin de quitter ses vêtements qui la gênent. Elle est en culotte, se sentant impudique, elle choisit la fuite en avant et quitte la chemise du garçon. Enchanté de cette initiative, il la laisse faire, appréciant quand elle baisse son pantalon en caressant au passage son membre en érection. Ils se retrouvent avec seulement leurs sexes cachés. Estimant que c?était suffisant, pour l?instant, la jeune fille entraîne son partenaire et le fait asseoir puis allonger sur le canapé. C?est alors un baiser prolongé, sur la bouche, puis sur les seins. Il va doucement et elle apprécie, appuyant ses mains sur sa tête.
– Tête moi, caresse-les bien.
Il descend petit à petit, lèche le nombril et arrive à hauteur du dernier rempart. Avec les dents, il en saisit le bord et le tire vers le bas. Instinctivement, elle soulève les fesses et même aide de la main ne voulant pas déchirer son vêtement. Pour la première fois il a en pleine lumière ce nid douillet qu?il ne connaît que du bout des doigts.
– Que tu es belle, c?est la première fois que je vois bien ton con. Je vais te caresser ton minou.
Elle garde les cuisses serrées. Avec le tranchant de la main, il passe le long des lèvres, allant de haut en bas, et, au bout de quelques instants, elle desserre les jambes pour mieux profiter du frottement. Il pose alors la bouche, mais ne sait comment opérer. Il se rappelle les lectures et les films et commence à lécher cette fente.
– Oh oui, c?est bon, plus haut.
Elle gémit doucement et remonte les genoux en les écartant. Il découvre enfin le bouton, tout petit par rapport à ceux vus à Canal +. Mais ce grain de riz lui suffit, il essaie de le faire sortir de son cocon. Cette tentative n?est pas sans effet sur Chloé qui gémit doucement, sa fente commençant à suinter.
– Ah, que j?aime ça, continue, mange-moi.
Pour Pascal, c?est la victoire, il est arrivé à la faire mouiller. Il remonte le long du corps l?embrasse sur la bouche lui apportant son suc à domicile. Sa queue a trouvé sa place face à la grotte et n?y tenant plus, brutalement il force de tout son poids et pénètre pour la première fois, dans ce site neuf.
– Aïe ! Salaud, tu m?as baisée, tu m?avais promis
Chloé qui était aux anges, attendant d?autres caresses qui l?amènerait à l?orgasme et voilà qu?elle subi un choc, une brûlure, une vive douleur : il l?a violée
– Oh que c?est bon, tu es merveilleuse, je sens ton con bien serré.
Il la baise à toute vitesse, jamais il n?a été aussi bien, ce n?est pas comme de se branler. Bientôt il explose, fier d?être enfin un homme.
Il se retire, elle se relève furieuse, un peu de sang entre les cuisses.
– Tu es comme tous les hommes, tu ne penses qu?à ton plaisir. Tu dis que tu m?aimes et tu n?as pas songé un seul instant à moi, à me faire jouir. Tu me dégoûtes.
– Excuse-moi, je n?ai pas pu résister, tu étais trop belle, c?était trop bon. Tu verras ce sera meilleur la prochaine fois. Nous ferons…
– Il n?y aura pas de prochaine fois.
Elle se rhabille rapidement et claque la porte…
– Voilà où elle en est, lui dit Clémence Elle est désespérée, car elle l?aimait, et l?aime même encore, mais ce viol l?a dégoûtée de lui et de tous les hommes en général. Toi qui as de l?expérience, qu?en penses-tu ?
– En as-tu parlé à ta mère ?
– C?est pas des sujets dont on parle, je ne m?occupe pas de ses amants, car je sais qu?elle a des aventures, je ne veux pas la mêler à ma vie intime, même pour un cas pareil.
– Tu as tort, car elle doit être de bon conseil puisque tu me dis qu?elle se maintient au courant, achève-t-il en souriant. Ce que tu me racontes là, c?est une histoire banale. Beaucoup de filles débutent mal leur vie amoureuse, mais ce n?est pas pour cela que tout est perdu. Pour bien faire, il faudrait que chaque jeune trouve un partenaire expérimenté qui l’initie vraiment.
– Et toi, Jacques, tu as eu cette chance, lui lance Clémence
– Oui, une amie m?a enseigné tout, et même si je ne la revois pas, je lui garde une grande reconnaissance, une grande amitié. Il aurait fallu que ton copain trouve une femme expérimentée, une amie de sa mère par exemple, qui l?aurait éduqué. Ainsi il aurait su comment s?y prendre avec Chloé
– Oui, mais maintenant c?est trop tard. Que peux-t-on faire pour elle ?
– Il faut, soit qu?elle essaie de renouer avec lui et lui expliquer ce qu?elle attend de son amour, soit qu?elle trouve un homme, ou une femme au besoin, qui lui explique les gestes de l?amour et c?est elle qui le formera ensuite.
– Dis Jacques, tu ne pourrais pas t?en occuper…
– Jamais de la vie. D?abord je ne la connais pas. Ensuite je n?ai pas le temps, je n?ai que quelques jours et je ne vais pas les passer à tripoter une gamine.
– Mais tu pourrais simplement lui donner quelques conseils.
– Tu peux le faire toi-même, lui réplique-t-il
– Mais je ne suis pas un homme et je n?ai aucune expérience sexuelle, j?attends l?homme de ma vie avant d?accepter de faire l?amour.
– Que pourrais-je lui dire, tu sais, c?est par la pratique que l?on apprend et je ne veux pas m?engager dans ce jeu là.
- ?coute, je lui ai promis que je t?en parlerai. Depuis des années, je lui ai raconté comment tu m?avais sauvé, et pour tout t?avouer je lui ai fixé un rendez-vous avec toi.
- ?a c?est le comble ! Tu te crois tout permis avec moi. Je ne suis pas comme ta mère qui te passe tout.
- ?coute, elle nous attend ce soir, ses parents ne sont pas là, et je passe la nuit chez elle. Viens au moins lui expliquer ton refus.
– Bon d?accord, dit-il résigné, mais tu te tairas et tu me laisseras parler, tu n?interviendras pas, promis ?
– D?accord, tu es formidable. Et elle l?embrasse sur les deux joues.
Le soir, comme convenu, Clémence a dit la vérité à sa mère : elle va chez Chloé passer la nuit, car celle-ci a peur toute seule. Mais elle a oublié d?ajouter que Jacques les rejoindrait. Aline aurait de suite pressenti une histoire de femmes où son amant jouerait le rôle principal. Elle aurait refusé, non par jalousie, mais par crainte pour sa fille.
À peine descendu de voiture, Jacques a été rejoint par Clémence qui surveillait par la fenêtre de l?appartement de son amie.
– Vite, elle doit nous attendre, elle te dira qu?elle ne voulait pas que tu viennes, mais c?est pas vrai
Elle le guide jusqu?à la porte qui s?ouvre sans qu?ils aient à s?annoncer. Une fille de l?âge de Clémence est là, les cheveux blonds, silhouette plutôt sportive, nordique, grande, assez musclée, mais pourvue quand même de tous les attributs féminins. Elle a un visage assez triste. Il l?embrasse avant même qu?elle n?ait dit un mot. Elle les amène au salon et dit d?entrée :
– Excusez-moi, c?est Clémence qui a eu l?idée stupide de cette rencontre. Je n?en voyais pas l?utilité, ? quand le lait est renversé, inutile de se lamenter ? comme dit le proverbe. Enfin, c?est gentil de vous être déplacé.
– D?abord, tu me tutoies, je suis plus vieux que toi, c?est d?accord, mais pas trop. Sans ça, pas de conversation possible. Clémence m?a tout raconté. Ce qui t?es arrivé est un accident, involontaire, car Pascal n?a pas su se contrôler. C?est comme une personne qui conduit une voiture sans permis pour la première fois, elle roule trop vite, elle n?a pas le bon réflexe et c?est l?accident, mais ce n?est pas pour cela que quand elle aura appris, elle ne conduira pas bien. Eh bien c?est pareil pour lui.
– Oui mais avec ce qu?il m?a fait il m?a dégoûté à jamais des hommes.
– Et maintenant, tu préfères les femmes, tu es devenue lesbienne, ou alors tu vas rester vieille fille ?
– Non, elle n?est pas lesbienne, intervient Clémence, bien que …
– Tu m?as promis de te taire, lui rappelle Jacques.
– Si je comprends bien, vous avez eu de petites expériences toutes les deux. Cela ne vous a pas déplu, vous avez pris toutes deux des initiatives, vous avez pensé au plaisir de l?autre. Eh bien maintenant c?est pareil avec Pascal. Tu n?es plus vierge, n?importe comment cela te serait arrivé un jour. Comme j?ai dit à Clémence, il te faut trouver une personne expérimentée, homme ou femme, qui t?enseignera ce que c?est que la sexualité. Et après cela, tu reprendras goût à la vie.
– Oui, mais qui ? Je ne me vois pas m?adresser à un homme et lui dire ? apprenez-moi l?amour ? il me prendra pour une allumeuse ou une pute.
– Jacques tu pourrais…
– Fous le camp ! Je t?avais prévenue, tonne-t-il à l?adresse de Clémence. Puisque tu dois passer la nuit ici, va dans la chambre et ferme la porte, nous avons à parler.
Vexée, sans dire une mot, elle part et claque la porte. Chloé est intimidée de se retrouver toute seule avec ce bel inconnu. Il est vrai qu?il est sympathique, gentil, et beau garçon en plus.
– Je sais que c?est difficile. Mais d?après ce que j?ai compris, tu as une petite expérience des caresses avec Pascal, et aussi avec Clémence. Avec elle, je suis sur que tu n?hésitais pas à tenter des gestes, des baisers assez osés. Vous vous embrassiez de partout, la bouche, les seins, mais aussi le sexe. C?est pareil pour un garçon. Si tu prends certaines initiatives, il se laissera faire et ainsi tu pourras le calmer, le faire patienter.
– C?est bien joli, mais ça ne s?apprend pas dans les livres ni en discutant, il faut de la pratique.
Jacques sent qu?il est arrivé à un point dangereux. Mais la discussion l?a terriblement excité et il se dit qu?après tout, elle n?est pas vierge et surtout elle semble consentante. Autant l?initier lui-même, ils seront tous deux satisfaits.
– Tu sais quand même embrasser, lui dit-il.
– Je crois, mais je ne l?ai fait qu?avec Pascal qui était novice lui aussi. Tu ne voudrais pas me montrer, ça ne t?engage à rien.
C?est elle qui a fait le premier pas, se dit-il, je vais voir jusqu?où je vais. Il se tourne, elle vient d?elle même se réfugier dans ses bras et lui tend ses lèvres. Elle n?est vraiment pas experte, les dents s?entrechoquent.
– Doucement, laisse-moi te montrer.
Et il entreprend de donner une leçon. Elle est attentive et après quelques minutes, prend la direction des opérations. Sa langue explore sa bouche. Elle le serre dans les bras, son corps se colle au sien, oublie ses craintes de l?homme.
– Voilà, maintenant tu sais embrasser
– Jacques, continue à me montrer, je voudrais savoir comment faire plaisir à un homme, l?exciter, et aussi le faire jouir sans qu?il me baise. Ainsi, je pourrais freiner Pascal.
– Je vais te montrer ce que peut faire une femme, mais l?amour ne se fait pas seul. Je vais flirter avec toi, mais tu me dis quand tu veux que je m?arrête.
– Oui, fais comme si j?étais ta maîtresse.
– Je vais te déshabiller lentement, te caresser au fur et à mesure, mais toi tu dois faire de même pour moi.
Et il caresse les seins déjà gonflés, déboutonne le chemisier embrasse les épaules fait tomber le vêtement s?arrête.
– À toi de continuer
Elle déboutonne la chemise et passe les mains sur le torse velu, derrière les épaules, masse le cou. Prise par cette occupation, elle se rend compte qu?il dégrafe le soutien gorge, masse les seins libérés. Ses bras entourent son torse, elle glisse et arrive devant la ceinture. Légère hésitation,
– Finis de me déshabiller, entièrement
Alors elle la déboucle, déboutonne, ouvre la fermeture éclair. Le jean a du mal à tomber, bloqué par la verge érigée au maximum dans le slip. La taille de l?engin l?impressionne, elle se demande si elle pourra en accepter l?intromission. Il la redresse et à son tour la dépouille de son jean, ainsi que des baskets. Au passage il frotte sa joue râpeuse contre le ventre puis les cuisses. Ce contact la fait frissonner, d?autant qu?il la prend dans les bras et l?allonge sur la moquette. Il se place à coté d?elle, ses mains frôlent les seins et vont sur la fourche toucher la culotte qui s?humidifie.
-Toi aussi, il te faut caresser le sexe de l?homme, comme tu le fais avec une femme.
— Elle pose la main sur la queue, la palpant à travers le slip. Il fait glisser la culotte, elle se soulève pour faciliter le travail ; elle de son coté abaisse le slip. La vue de l?engin lui font oublier de quitter le vêtement. Il prend sa main et lui impose de finir le travail. Elle touche à nouveau le sexe.
– Ce qu?il est gros !
– Prends-le en main, serre-le, pas trop fort. Dégage le gland, branle-moi maintenant.
Elle obéit, maladroitement puis prend de l?assurance. Elle sent la main de Jacques qui se pose sur la toison, caresse lentement les lèvres, déniche le bouton et le fait rouler entre les doigts. Les sensations sont si fortes que les mouvements manuels deviennent désordonnés.
– Doucement. Attend, nous allons nous placer de manière à ce que tu vois bien ce que tu fais.
Il se place tête bêche, et continue les caresses avec les doigts. Elle a devant elle cet énorme engin. Elle la saisit, ne parvenant pas à l?entourer entièrement de la main. Elle suit les conseils et branle régulièrement, elle n?en a plus peur. Jugeant qu?elle est prête à poursuivre,
– Maintenant tu l?embrasses, tu aimes bien quand on te le fait
Jacques, de son coté renifle le suc, il a une odeur agréable et il le goûte avec délice, va le chercher au plus profond, remonte au bouton, un doigt, puis deux entrent difficilement dans cette grotte fraîchement ouverte.
– Ah, c?est bon, ta langue, continue, soupire Chloé.
Elle est aux anges, c?est meilleur qu?avec Pascal, et puis elle a la situation bien en main, elle tient le poignard qui pourrait la transpercer. D?ailleurs, ce ne serait peut-être pas si terrible que ça..
– Quelle est belle ta queue, mais qu?elle est grosse !
Le morceau est trop tentant, elle l?embrasse du bout des lèvres. Mais dans un baiser, c?est la langue qui fait le travail : elle lèche, suce puis absorbe le gland. Pas besoin de lui apprendre, elle a compris.
– Suce moi, prends-la dans ta bouche, doucement. Tu peux ainsi donner beaucoup de plaisir. Tu retireras son sexe au dernier moment, ou bien tu accepteras de le garder en bouche, puis tu recracheras ou mieux avaleras son sperme, les hommes adorent cela, et ainsi tu les calmeras.
Hochant la tête, elle indique qu?elle a compris. Jacques sent qu?elle s?échauffe de plus en plus, il ralentit pour ne pas déclencher trop vite l?explosion. Croyant qu?il n?est pas satisfait de ses services, elle enfonce la queue, jusqu?au fond de sa gorge. Elle le branle à la fois avec la bouche et la main. Lui aussi sent monter le plaisir. Il se dégage
– Arrête je vais jouir.
– Viens sur moi lui répond-elle
Il lui obéit, pivote, elle écarte les jambes et sa queue se trouve au milieu du nid douillet. Pourtant il ne pousse pas l?avantage et se contente de la frotter dans la fente. Elle prend la chose en main et se taquine le bouton avec ce grattoir improvisé. Puis elle s?arrête, place l?engin bien en face et lui dit
– Viens, maintenant, prends-moi
– Attend, lui réponds-il, on ne fait pas l?amour sans précautions.
Prenant un préservatif, il lui tend et dit
– Mets le en place toi-même. Les hommes aiment ça.
Elle opère maladroitement, il la guide, puis reprend la place au dessus d?elle.
– Maintenant, baise-moi, lui dit-elle.
Il bascule sur le dos l?entraînant. Elle se trouve au-dessus de lui et comprend que c?est à elle de choisir l?instant. Mettant bien le pal en place, elle se laisse descendre doucement. Le passage est un peu douloureux, mais après quelques instants, elle se trouve chevillée solidement.
– Ah, ça y est, je me suis baisée toute seule.
Il lui caresses les seins, la tète,
- ?a y est, tu vois, à toi de jouer, vas-y à ton rythme.
Elle se soulève un peu, redescend et bientôt c?est un balancement lent et régulier. C?est long, car l?endroit est un peu serré et sensible, mais bientôt le mal s?efface, le vagin s?humidifie et le plaisir revient. Elle accélère et s?aperçoit que c?est mieux. Bientôt elle est frappée de la petite mort, gémit et pleure.
– Que je suis bien, tu es merveilleux. J?ai baisé et joui !
Jacques se retient, la laissant profiter de cet instant divin. Il reste en elle, bien ferme, elle comprend qu?il n?a pas eu de plaisir, elle repart dans une promenade calme qui devient rapidement une chevauchée fantastique et sent avec joie qu?il apprécie. Bientôt il est à bout et éjacule, le fait de le voir heureux provoque un deuxième orgasme à Chloé.
– Je pars encore, c?est merveilleux, je suis une femme
Jacques entrevoit une silhouette silencieuse dans l?angle du couloir qui disparaît rapidement.
Ils se sont relevés, lui s?habille lentement. Il l’embrasse tendrement, fraternellement :
– Tu vois que les hommes ne sont pas tous des brutes, que c?est merveilleux de faire l?amour, ce n?est pas difficile. À toi de donner des cours à Pascal, si tu veux toujours de lui.
– Oh oui ! Merci, grâce à toi, nous allons nous aimer merveilleusement.
Aline a regretté que Jacques n?ait pas profité de l?absence de Clémence pour venir la rejoindre. Quand le carillon de la porte d?entrée retentit, elle va voir par l?oeilleton qui est-ce.
La vue de son amant la rend folle de joie. Elle ouvre, referme vite et lui saute au cou.
– Je me demandais pourquoi tu ne venais pas puisque j?étais seule.
– Je ne savais pas si Clémence était partie, ou même si tu n?étais pas en galante compagnie, tu ne m?avais rien dit.
– Je n?ai pas pu, elle t?accaparais sans arrêt.
Elle le prend par la taille, et le conduit vers la chambre. Ils ont le temps, c?est un long baiser et des caresses par dessus les vêtements. Ils se dépouillent l?un l?autre, baisant au passage chaque partie découverte. Et ils s?allongent se regardant tendrement.
– Je croyais que tu ne viendrais plus, que tu en avais assez de moi.
– Jamais je ne pourrais t?oublier, ma première et merveilleuse femme.
Jacques n?est pas pressé, il entreprend de mettre sa compagne en condition par des caresses sur les seins lourds mais encore fermes ; sa langue les fait bouger, ses dents saisissent les bourgeons et secouent les mamelons.
– Que j?aime tes seins, ils remplissent mes mains, c?est un régal
– Non, ils sont moches, à coté des petits citrons des jeunes
– Je préfère ceux dans lesquels on peut se reposer, se noyer.
Elle prend la queue et se masturbe, elle l?humidifie à sa source, se taquine le bouton, mettant l?engin en place, l?attire dans son piège.
– Viens baise-moi, remplis-moi
Et il commence la danse amoureuse. Elle dure longtemps, comme deux vieux amants se connaissant bien. Ils ont des périodes fougueuses suivies de ralentissement. La queue trempe dans un bain annonciateur de l?orgasme. Alors Jacques se déchaîne et ils jouissent en même temps.
– Ah, c?est toujours aussi bon avec toi. Tu connais si bien les femmes, tu sais leur donner du plaisir.
– J?ai eu un bon professeur.
Ils retombent sur le coté, enlacés. Ils ne bougent pas, gardent le silence. Jacques après l?épisode du début de soirée est un peu fatigué. Mais Aline, de son coté reste bien silencieuse. Elle a sûrement un problème important, et qui doit le concerner.
– Jacques, il faut que je te dise quelque chose. Tu es celui qui m?est le plus cher, l?homme qui nous a sauvé, ma fille et moi. Mais tu es jeune, tu vas vivre ta vie. Clémence aussi va me quitter bientôt. J?ai une relation avec Pierre. C?était un ami de mon mari, et quand tu m?as eu réveillée, il a été le premier avec qui j?ai fait l?amour. Il était marié, nous étions discrets et personne ne s?est jamais douté de rien. Mais sa femme est morte l?an dernier, il m?a demandé de refaire sa vie avec moi. Qu?en penses-tu ?
– Aline, tu es merveilleuse.Tu m?as tout appris, je te dois tout et tu me demandes mon avis !. Mais tu dois vivre et si tu as trouvé celui qui te convient, réunissez-vous, aimez-vous. Tu ne peux pas savoir comme je suis content de te voir heureuse.
– Tu es vraiment le plus merveilleux des hommes, lui dit-elle en l?embrassant tendrement.
À son réveil, Aline se retrouve seule dans le lit. Elle comprend qu?il ne veut pas d?adieux intimes, aucun des deux ne saurait quels mots, quelle attitude adopter.
Le coup de fil de Clémence ne le surprend pas.
– Jacques, Chloé veut te dire un mot, je te la passe
– Jacques merci. C?était tellement bien. Quand se revoit-on ?
– Je pars aujourd?hui. Et puis maintenant tu n?as plus besoin de moi. Et surtout je n?aime pas me donner en spectacle, que les copines regardent et copient les devoirs de leur amie.
Il entendit un rire formidable, les deux filles échangent quelques mots. C?est Clémence qui reprend l?appareil
– Tu m?as vu, pourtant je n?ai pas fait de bruit.
– Un bon professeur surveille toujours la classe pendant qu?il est au tableau.
– Je l?ai avoué à Chloé dans le lit, et elle m?a fait réviser tes leçons. Nous t?espérions ce soir, tant pis, nous nous débrouillerons seules.
Jacques sourit intérieurement, imaginant les jeux des filles.
Jacques est reparti rassuré sur la santé de son père. Il ne veut pas revoir les trois femmes pour le moment, Aline avec qui il ne sait plus trop quelle attitude prendre, Chloé, car maintenant elle peut vivre sa vie amoureuse, et Clémence, qu?il voulait tenir éloigné de tout cela, et à qui pourtant il a, malgré lui, donné ce spectacle érotique.