Aussitôt, Florian se précipita pour enlever la jupe. Il défit les boutons et écarta les pans faisant péter la fermeture-éclair. Puis il baissa la culotte. Marie-Clotilde ouvrit d’elle-même les jambes. Elle semblait décidée à ne plus faire semblant. Florian précipita la tête vers cette généreuse invitation. Il fit juste un petit commentaire : "Z’avez vu les gars comment qu’elle s’épile la chatte ? Juste un ticket de métro. C’est du propre, du soigné, pas du travail d’amatrice. Toujours prète pour une bonne queue… ou une bonne langue" !
Et il se mit immédiatement à lui lécher la vulve. Dès les premiers coups de langue, elle poussa de petits cris et ondula du bassin. Elle plongea ses mains dans l’épaisse chevelure bouclée du mâle qui l’amenait au bonheur et lui caressa convulsivement le cuir chevelu.
Trop concentrée par ce cunnilingus ardent, les yeux fermés, elle ne fit pas attention à Gurvan et Vladimir qui étaient montés sur le lit et offraient leurs zobs à sucer. En lot de consolation, ils tentaient de triturer les nichons pour autant que les bras tendues de la femme le leur permissent.
Mon lit était trop petit pour tout le monde et je dus attendre sur le côté en me pignolant, tout en matant la scène qui n’était pas désagréable à regarder, tant s’en fallait !
La bouche de Florian, sa langue épaisse et curieuse, fouillaient tous les recoins du sexe dont j’apercevais parfois le détail quand Florian prenait un peu de recul pour écarter les lèvres de ses doigts et aspirer l’abricot gonflé à bloc.
Ça lui faisait de l’effet à la dame et elle commençait à gémir de plus en plus souvent, de plus en plus vite et de plus en plus fort…. trop fort. Je dus fermer la fenêtre pour qu’on ne l’entendît point de l’extérieur. Tant pis pour la chaleur qui ne ferait que monter.
Enfin, elle eut un premier orgasme, très bref mais très intense, durant lequel elle ne sut que répéter : "oh oui, oh oui, oh oui…". Elle gicla sur la gueule de mon pote qui en eut l’air ravi.
"Ouaouh. Z’avez vu comme elle mouille. Ça va bien glisser là-dedans" !
Et il se mit en position du missionnaire mais sans la pénétrer encore.
"Tu la veux ma queue là" ?
– hmmmmm
– Tu la veux ?
– Ouiiiii.
– J’veux t’entendre, demande-le !
– Je veux ta queue.
– Dis-le avec des mots à toi, tes mots de bourgeoise dévergondée… alors ?
– Vas-y, monte-moi, prends-moi, plante-moi bien fort.
– C’est vraiment ça que tu veux ?
– Saute-moi, saute-moi tout de suite.
– Y’en aura pour les copains.
– Oui !
– C’est sûr toutes nos queues ?
– Oui, j’vais prendre toutes vos bites, vos grosse bites poilues, vos grosses bites qui puent la bite !
– Eh ben… voilà… on y est…Aller, on y va.
Et d’un coup sec il la pénétra :
"Aïe… aïe… c’est trop gros, ça fait mal, vous me déchirez" !
– Tu vas t’y faire salope ! Elles s’y font toutes.
– Aïe… oulala, c’est énorme.
– Putain c’est vrai que t’es bien étroite. Putain, c’est la super éclate.
Et il se mit à aller de plus en plus fort. Elle se plaignit encore un peu, puis le plaisir fit place à la douleur et elle se laissa aller, la tête se promenant de droite et de gauche sur l’oreiller, défaisant progressivement le chignon. Dès qu’elle relâcha ses mains, mes deux autres comparses s’en emparèrent pour les diriger vers leurs bites. Il leur tardait d’être branlés.
C’est alors que je réalisais : "Eh Florian, t’as pas de capote" !
– M’en fous, suis clean. T’en as bien pour les autres.
– Ben non.
Non, je n’en avais pas pour les autres, ni pour moi, ni pour personne. Je n’avais jamais utilisé ces machins là mais je me gardais bien de le leur dire de crainte de leur avouer que j’étais puceau.
Les deux autres mecs me dirent qu’eux aussi étaient cleans.
Je m’enhardis à demander : "Et vous Madame"?
– Rien à craindre !
– Pilule ? – Demanda Florian – C’est mieux, faudrait quand même pas que je l’engrosse. Un petit bâtard nègre ça ferait désordre.
– Non, stérile !
Il y eut un silence gêné rompu simplement par les cris de la femme et les ahanements de Florian.
Je regardais comment il s’y prenait, avec curiosité et jalousie. Je n’avais jamais vu de cul que sur pornhub et là j’étais aux premières loges. Bien sûr j’avais déjà remarqué la taille de sa quéquette quand nous nous douchions ensemble aux vestiaires du club, mais je ne l’avais jamais vue en érection et, s’il n’y avait eu Gurvan qui devait se situer dans la moyenne comme moi, j’en aurais sûrement éprouvé une certaine gène. Vladimir avait aussi un mandrin très puissant mais qui ne pouvait rivaliser avec l’étalon noir qui pilonnait la fille.
Pendant que je me faisais ces réflexions, mon portable sonna. Je mis un peu de temps à le retrouver dans le bazar. C’était Simon qui demandait de mes nouvelles.
"Tu vas bien" ?
– Peux pas te parler là !
– Why ?
– Occupé !
– Fais quoi ?
– Partouze Madame X…. !
– Lol ! Mdr !
– Regarde !
Et je lui fis un snapchat.
"Je le crois pas !"
– Si !
– C’est qui les deux mecs qu’elle branle ?
– Te raconterai. Salut !
Et je retournai à mes occupations.
Florian, s’était redressé. Il s’était mis dans la position de l’étoile (je consultai le kamasutra avec avidité dans les heures qui suivirent) ce qui permit aux deux autres mecs de se faire sucer… j’en eus aussi ma part. C’était hyper bon même si je ne pouvais pas m’empêcher de penser que, lorsqu’elle reviendrait à la réalité, cela se finirait bien mal.
Pendant que je savourais ces plaisirs inconnus, Florian perdit le contrôle.
"Oh Putain, elle est trop bonne. J’vais juter. Cassez vous les mecs"!
Nous obtempérâmes le temps qu’il se remette en missionnaire, qu’il se stabilise sur ses bras et qu’il jouisse dans la chatte en se tendant de tout son corps en quelques spasmes vigoureux et espacés.
"AAAHH….. AAAAHHH…. C’est bon… je jouis, je jouis… ouais, putain, c’est bon…" et il retomba de toute sa masse sur le corps de la femme.
"Oh putain les mecs, elle m’a eu… j’vous jure, d’habitude j’tiens plus longtemps mais sa chatte est trop bonne… Oh le putain de pied" !
– Bon ben tu nous la laisses maintenant !
C’était Vladimir qui réclamait sa part.
"Viens salope, retourne toi… à genoux".
Il la mit en levrette. Une crème blanche sortait de la chatte.
"Dis-donc Florian, t’as l’air de l’avoir bien dosée la garce"
– T’inquiète ! Fous ton zob. T’a pas besoin de lubrifiant.
Ils éclatèrent de rire tout les deux pendant que Vladimir enfonçait son pieu dans le trou poisseux de foutre.
De l’autre côté, Gurvan se faisait sucer la bite et moi je restai là comme un rond de flan.
"Aller, approche-toi, elle va pas te mordre". Florian prenait l’initiative de diriger les opérations.
Je fis ce qu’il disait et, pendant que Vladimir la bousculait violemment, elle nous léchait le dard et les boules l’un après l’autre.
Les commentaires allaient bon train. On louait sa moule accueillante, ses seins doux et pleins qui remplissaient bien nos mains, sa bouche qui faisait ventouse sur nos sexe en érection.
Florian, tantôt assis tantôt debout, mais toujours jouant avec son prépuce ou se caressant les couilles pilotait nos gestes et accablait la pauvre victime d’injures.
Soudain il me demanda si j’avais du gel. Vladimir précisa aussitôt qu’il n’en avait nul besoin, que ça glissait tout seul et que d’ailleurs il allait bientôt jouir à son tour.
Non je n’avais pas de gel.
Mari-Clotilde en avait. Elle le revendiqua en donnant à Florian toutes les indications pour qu’il pût le trouver dans un tiroir secret de son dressing. Florian prit les clefs.
"Florian ! Tu descends pas à poil" !
– J’vais me géner !
– Mais si tu rencontres un des locataires.
– A cette heure là ils bougent plus les petits vieux. Et ils ont rien à me dire. J’suis l’amant de la patronne maintenant.
Et il disparut.
Il revint au moment précis où Vladimir se retirait pour éjaculer en l’air sur les fesses rougies de la propriétaire.
"Et les mecs, vous savez pas ce que j’ai trouvé avec le gel dans les affaires de Madame ? Une belle collection de godes. Elle s’amuse bien, la garce, quand son mari n’est pas là ! Il a une ptite bite hein ? Il te baise plus. Maintenant tu vas plus avoir besoin de tes jouets, on est là"!
Puis il ramassa le sperme qui dégoulinait sur le cul du bout de ses doigts et l’approcha du visage : "Bouffe ça salope. J’suis sûr que t’en n’as pas souvent de bonnes protéines comme ça"!
Elle lécha les doigts consciencieusement, presque avec délectation. Elle devait aimer le sirop de corps d’homme. Puis il prit le tube de gel et lui en appliqua sur le trou du cul.
"Et maintenant tu vas être gentille avec Jean. Tu vas lui demander de te casser la rondelle".
– Quoi ?
– Oui mon bonhomme, tu vas avoir le privilège d’être le premier à l’enculer la salope. Et toi pétasse, supplie-le.
– S’il vous plait Jean…
– Non mieux que ça. Tu vas dire : "Dites donc jeune homme…", comme quand tu l’engueules. Aller vas-y !
Et il accompagna cette dernière recommandation d’une magistrale claque sur le cul.
"Aller, vas-y"!
– Dites-moi jeune homme… vous voulez bien me sodomiser s’il vous plait ?
L’entendre me supplier comme cela me fit souvenir de toutes les fois où elle m’avait rembarré, toutes les fois où elle avait pris ses grands airs pour me rabaisser. Je sentis monter un sentiment de puissance et de vengeance et je m’entendis ordonner : "Mieux que ça salope"!
– Dites-moi, jeune homme, voulez-vous me sodomiser ?
– Plus vulgaire connasse. Arrête avec tes grands airs de bourgeoise !
– Voulez-vous bien m’enculer ?
– Tu veux que je te déboite le cul hein, c’est ça ?
– Oui, déboitez-moi le cul !
– Déboitez-moi le cul jeune homme !
– Déboitez-moi le cul jeune homme!
– Encore mieux que ça ! Invente, imagine !
– Encule-moi, encule-moi toute !
– C’est vraiment ce que tu veux ?
– Oh oui, mets la moi dans le cul.
– Dis que t’es qu’une sale pute qui attend qu’on la monte.
– Oh oui, prends-moi, je suis ta pute maintenant. Casse-moi le cul !
Pendant ce temps là, Florian avait pris le gel et m’avait lui même graissé la bite et je m’étais laissé faire cette branlette par un mâle mais il semble que personne n’y prit attention.
Alors j’appliquais mon gland contre l’il de bronze. Je bandais à mort. Je le répète, c’était la première fois. Je poussai d’un coup, violent. Mon vit entra d’une seule poussée jusqu’au fond arrachant un cri de douleur et un coup de rein à ma pauvre victime. Ce cri me fit peur et je me retirai aussitôt un peu perdu.
"Remets-là tout de suite. Elle fait sa douillette, mais elle a de plus gros calibres en caoutchouc dans son placard. J’te jure que c’est pas la première fois qu’elle prend un engin dans le cul ! D’ailleurs on dirait qu’elle est toute propre. Si ça se trouve t’es venue exprès pour te faire sauter ma garce" ?
Je remis ma bite dans le trou mais plus lentement. Elle gémit encore un peu. C’était l’extase. Ma première pénétration était une révélation. Je me sentais à l’étroit, j’avais vraiment l’impression de lui remplir la cavité. Je glissai de plus en plus vite, facilement. J’adorai la sensation que me procurait le balancement de mes couilles, surtout quand elles frappaient les chairs de la femme.
"Branle-toi le clito"!
Je sentis les doigts et les ongles quand elle se masturba.
"Attends, attends, on va la prendre en sandwich. Retire-toi, le temps que je me mette".
La proposition venait de Gurvan. Il s’allongea. Elle vint s’empaler sur le pieu. Je me remis derrière en enjambant les jambes du mec et les mollets de la femme collés contre elles. Mais je dus me mettre sur mes pieds et pas sur mes genoux pour la prendre en bouledogue en m’agrippant par devant aux nibards.
Je sentis l’autre bite derrière la paroi et le frottement de mes couilles épilées sur celles poilues de Gurvan. Et je me mis a bourrer comme une bête.
Vladimir assistait à la scène, bite molle, tandis que Florian textotait frénétiquement. Soudain il prit une photo de nous.
"Déconne pas Florian, j’veux pas me retrouver à poil sur les réseaux sociaux" !
– Nan, regarde, on voit pas les têtes.
– Si, quand même un peu.
– Tant qu’on voit pas les visages. Et puis c’est pas pour mettre sur des réseaux sociaux.
Mais, tout en parlant, je fatiguais. Pour continuer, nous dûmes à nouveau nous déplacer pour nous mettre au bord du lit, ce qui me permit de me mettre debout entre les jambes de Gurvan et , tout en pliant les miennes, de me placer de façon à en profiter au maximum.
C’était géant. Je jurais tout ce que je pouvais, je claquais le cul de ma logeuse en l’insultant. Mon manque d’expérience fit que je ne résistai pas longtemps à ce train là. Je me raidis pour juter. Florian s’en aperçut : "Attends, attends, retire-toi, tu vas lui foutre à la gueule" !
Mais il était trop tard. Déjà mon gland palpitait sous la pression des violents jets de sperme que je propulsai dans les entrailles de la femme.
"Pas de souci" dit Gurvan. "J’suis presque à point".
J’extrayai ma bite, rouge et gluante, très fier de moi.
Marie-Clotilde se releva. Elle savait ce qu’on attendait d’elle. Elle s’agenouilla pour recevoir la dernière giclée. "Ouvre la bouche" ! Quelques coups de poignet libérèrent Gurvan de sa tension mais il ne produisit que quelques gouttes d’une liqueur blanche et très épaisse et, comme il s’agitait beaucoup, il n’en tomba que très peu sur le corps, un peu sur les épaules et une larme sur une joue.
Sans qu’il eut rien à demander, elle aspira la verge pour récolter les restes du précieux liquide.
"Maintenant habillez-vous, on s’en va… toi aussi salope" !
– On va où ?
– Vous connaissez Jules. J’lui ai dit de venir. Il est sacrément bien monté. Mais il a pas sa bagnole. Son paternel lui a pris. Alors ils nous attend chez lui. Il ramène deux ou trois copains…. Non, pas la culotte et pas le soutif… ni le chemisier. Que le tailleur" !
Nous fumes près en quelques instants. La jupe ne tenait plus que par les boutons et on voyait la cuisse apparaître par la fermeture-éclair déchirée. La veste de tailleur se refermait sur les seins mais elle en montrait plus qu’elle n’en cachait.
"Où m’emmenez-vous" ? Demanda-t-elle ?
– T’inquiète chérie, j’vais te guider.
– Mais je ne peux pas sortir dans… dans cet état. -Reprit-elle, craintive-
– C’est juste. Recoiffe-toi. Après on prend ta bagnole. Le temps qu’on traverse la cour, personne verra que t’as les nibards à moitié à l’air.
– Mais qu’est-ce qu’on va faire ?
– Y’a d’autres bites qui t’attendent quelque part. Des mecs qui savent faire couiner des truies comme toi. Et le temps qu’on y aille, j’aurais rechargé mes couilles !
– Et ma séance photos ?
– Eh Gurvan, ta séance photo… tu crois qu’on peut pas la repousser un peu… y’a pas mieux à faire là ?
… si…. si… carrément….en route !
– Pour moi, ce sera en rut !
A suivre.