Quand je sortais de la chambre, Martina était déjà partie. Ma tante avait un drôle d’air.
"-Alors, tu as assuré paraît-il. Un bel étalon m’a dit Martina" dit-elle agacée.
"-Mais qu’est-ce qu’il se passe ma tante?
-Rien!
-Tu serais pas un peu jalouse?
-Jalouse! Moi?! C’est moi qui t’ai proposé de baiser Martina alors pourquoi serais-je jalouse?
-Je sais pas, peut-être parce que tu ne pensais pas que cela se passerait bien, peut-être parce que tu ne pensais pas que cela te ferait quelque chose de me voir avec une autre.
-Tu es mon neveu, on baise et c’est déjà énorme. Pourtant c’est vrai que de te voir enculer cette anglaise sous mon toit…
-Brigitte, notre relation ne doit pas aller au-delà du sexe et du plaisir. Si des sentiments amoureux apparaissent ce n’est pas bon. Tu m’as vu baiser une autre et ça t’a fait mal. Je pense qu’un homme manque à ta vie, un compagnon. Tu ne dois pas te contenter de moi. Tu as fini ton deuil depuis longtemps. Trouve toi un homme.
-Je ne veux pas d’homme dans ma vie! Sors s’il-te-plaît, je veux être seule ce soir."
Pendant 2 jours je n’eus aucune nouvelle de Brigitte. Comme elle ne répondait pas à mes messages, je décidais de me rendre chez elle à ’improviste.
J’entrais dans la grande maison sans sonner (j’avais mes habitudes) et me dirigeais vers le salon qui était désert. Pourtant, la chaîne jouait de la musique classique: étrange. Je m’approchais du canapé: il y avait 2 tasses sur la table basse et des vêtements d’homme et de femme au sol. Je commençais à comprendre. Je me dirigeais vers le couloir et en passant devant la chambre d’ami, j’entendis du bruit. La porte était légèrement entrouverte. Je regardais d’un oeil et là un spectacle inattendu s’offrit à moi.
Ma tante était couchée sur le dos, sur ce même lit où 2 jours plus tôt j’avais baisé Martina. Un homme que je ne connaissais pas la pénétrait en missionnaire. Les mains de ma tante s’agrippaient à ses fesses qui montaient et descendaient. Brigitte gloussait comme elle le fait avec moi. Je restais quelques minutes à regarder la scène, pris d’une étrange sensation mêlée à la fois d’excitation et de jalousie. Je compris ce qu’avait ressenti Brigitte en me voyant avec son amie.
Je décidais de quitter la maison et de rentrer à mon appartement. Sur la route j’envoyai un texto à ma tante:
"Je vois que les sites de rencontres sont efficaces."
Le soir, on sonna à ma porte. C’était Brigitte. Je la fis entrer.
"-J’ai eu ton message. Tu nous as vu alors…
-Oui.
-Ce n’est pas ce que tu crois Charles.
-Mais je ne crois rien. Je t’ai dit, c’est normal que tu fasses des rencontres, mais c’est vrai que ça fait bizarre qu’un autre que moi te baise. C’était bien? T’avais l’air d’aimer en tout cas…
-C’était pas mal… Mais ce n’est pas une rencontre sur un site. C’est Claude, le meilleur ami de ton oncle.
-Il avait l’air en effet d’être un bon ami.
-Laisse-moi t’expliquer! Claude vient me rendre visite de temps en temps. Il est marié. Il ne s’était jamais rien passé entre nous. J’ai voulu voir si je pouvais séduire un autre mec que mon neveu, voir si je pouvais toujours plaire et j’ai chauffé Claude alors que nous discutions au salon. Il ne s’attendait pas à ça et était très embêté d’avoir touché la femme de son meilleur ami sous son propre toit et d’avoir trompé sa femme qu’il aime par-dessus tout. Moi aussi j’étais troublée mais heureuse de mon coup. Je suis rassurée aussi, je peux encore séduire.
-Tu en doutais?
-Oui. Baiser avec son jeune neveu c’est une chose. Séduire un homme de son âge en est une autre. Pardon de m’être emportée l’autre jour. Je n’ai pas le droit d’être jalouse si tu veux sortir avec d’autres femmes."
Réconciliés, nous sommes tombés dans les bras l’un de l’autre. Pour la première fois, Brigitte passa la nuit chez moi. Inutile de dire que nous n’avons pas beaucoup dormi.
Les vacances d’été battaient leur plein. J’avais eu mon année et passais des vacances ensoleillées et chaudes à tous points de vue chez Brigitte. Nous baisions tous les jours, insatiables, jamais rassasiés.
Le jardin côté intérieur était tellement bien cloisonné et sans voisin, que nous pouvions nous adonner aux plaisirs charnels sans être repérés:
— dans la piscine, Brigitte assise sur l’échelle, jambes écartées et moi me tenant aux montant de l’échelle, la serrant en sandwich entre cette dernière et moi;
-sur la chaise longue nous faisions un joli 69;
-dans l’herbe, sur un drap de bain, je la prenais au milieu des fleurs qui embaumaient et lui giclais dessus.
Un après-midi, je quittais Brigitte pour me rendre chez mes parents pour y passer quelques jours. Je m’arrêtai cependant quelques heures chez Martina que j’avais prévenu par texto de ma visite. Je l’avais baisé 2 fois depuis notre première rencontre chez Brigitte. Ma tante n’en savait rien et s’était tant mieux, même si nous avions mis les choses au clair, je ne voulais pas risquer de la froisser de nouveau, on ne sait jamais.
Cette dernière m’accueillit en bikini noir, qui ne tarda pas à tomber sur la moquette de sa chambre à coucher. Avec Martina s’était différent d’avec Brigitte. On se connaissait mieux et on se lâchait plus que la première fois. Pendant qu’elle me suçait, un gode vibrant lui chatouillait le vagin. Cette anglaise était une vraie cochonne comme j’aime et comme tout mec aimerait niquer. De la bonne baise…
