en couple depuis 5 ans avec André, Chantal avait de plus en plus de mal à supporter la sévérité de son compagnon. Tout devait toujours être tel qu’il le voulait. elle avait bien pensé le quitter, mais à 40 ans et avec une jeune fille de 16 ans dont le père ne donnait jamais signe de vie, c’était vraiment une décision difficile à prendre. Et puis, malgré leurs chamailleries quasi quotidiennes, Christelle, sa fille, et Romain le fils d’ André, semblait inséparable.
ce soir encore tout allait de travers. Le diner trimestriel avec ses parents et beaux parents lui pesait chaque fois d’avantage. Pas qu’elle détestât l’un ou l’autre des deux couples, bien au contraire; mais André exigeait un menu chaque fois complètement différent et Chantal commençait à être à court d’idées. Déjà ce matin, le boucher qui était fermé pour cause de maladie et l’épicier en rupture de stock de légume frais, l’avaient mise en retard. Et pour continuer la bouteille de vin qu’elle avait mise à chambrer s’était renversée et brisée sur le carrelage de la cuisine. Oui, décidément tout allait de travers et son humeur pendant le repas d’en était ressentie. C’est à peine si elle avait touché aux plats qu’elle avait mis tant de soin à concocter. Chantal n’avait non plus pris part à aucune des discutions des invités de son compagnon, elle avait même giflé Romain pour avoir laissé tombé un couvert.
Enfin le supplice touchait à sa fin. du moins le pensait elle. L’omelette norvégienne était presqu’engloutie , la torture de ce diner touchait à sa fin.
Une table roulante lui permit de débarrasser la table en une fois, et, comme elle avait pris soin d’allumer le percolateur avant de servir le dessert, le café était prêt. De retour dans le living, Chantal constatât que ses parents et beaux parents s’étaient installer dans la partie salon. Chaque couple sur un canapé placé en angle droit. les ados assis sur un pouf assez étroit qui les obligeait à se serrer l’un contre l’autre. Par politesse, sans attendre le retour d’André qu’elle pensait être sorti un instant fumer sur le balcon, Chantal commençât par servir ses beaux-parents puis sa mère et enfin son père. A chaque tasse présentée, elle devait se pencher assez bas vu la forme des canapés. Romain ne buvait jamais de café, mais Christelle en demandât une pour elle.
Comme Chantal allait se redresser après avoir offert cette dernière tasse, elle se sentit empoignée fermement par la ceinture de sa jupe et tirée en arrière.
-Tu nous a fait passer une bien drôle de soirée!
-je ne comprends pas ce que tu veux dire?
En fait elle comprenait très bien ce que son compagnon lui reprochait. Il allait encore lui faire une scène comme à chaque fois qu’elle ne souriait pas assez à son gout. Déjà très désagréable de se faire tancer devant parents et beaux-parents, elle redoutait devoir supporter les critiques devant les ados. Chantal s’attendait au pire, mais le pire était bien au delà de ses craintes les plus folles.
André était un homme vigoureux. Les 68 kg de sa compagne ne pesaient pas beaucoup pour son bras musclé. Avant que la maîtresse de maison ait eu le temps de s’en rendre compte, elle se retrouva la tête et la moiti du buste pris sous le bras d’André.
-puisque tu n’as pas trouvé bon de nous faire grâce d’un sourire de toute la soirée…
-mais André!!!
-ne m’interromps pas! Nous n’avons pas eu le plaisir de voir un seul instant la ligne de tes lèvres, et bien ce sera une autre ligne qui égaillera nos invités.
Tout en parlant, André avait dégrafé la jupe de la jeune femme et laissé le vêtement tomber sur le sol. Chacun pu admirer une culotte de dentelle noire recouvrant chastement un derrière que l’on devinait large. Un porte jarretelles noir et des bas de la même couleur soulignaient la blancheur du haut des cuisses dénudés.
-André! les enfants!!!!!
— Et bien quoi les enfants? Romain est grand assez pour voir un cul et ta fille est encore deux ans son aine!
-Mais tu ne vas quand même pas…… pas ici……pas devant tout le monde?
-Détrompe-toi. Chacun, ici a du subir ta mauvaise humeur. Chacun aura donc le plaisir d’un spectacle plu réjouissant que ta tête de carême.
Au même moment, Chantal senti la main libre de son ami saisir l’élastique de sa culotte et d’une traction violente déchirer le dernier rempart de sa pudeur qui s’en alla rejoindre la jupe. Un silence "assourdissant" remplit le salon. Si les parents d’André et ceux de Chantal avaient déjà vu une paire de fesses nues, pour Romain c’était une première. Christelle avait posé une main protectrice sur l’épaule du garçon et celui-ci avait laissé sa tête s’appuyer contre le cou de la jeune fille.
Chantal n’avait qu’une idée: bien garder les cuisses serrées l’une contre l’autre. C’était déjà bien assez que tout puissent voir son derrière nu sans ajouter une vue encore plus intime à leurs regards qu’elle soupçonnait lubriques.
Une première claque sèche lui arracha un cri involontaire. Sa fesse gauche lui brûlait. Elle avait certainement les 5 doigts d’André marqué en rouge sur la peau. A peine eut elle le temps de penser qu’un deuxième claque aussi violente rougissait la fesse droite.
André avait retroussé le chemisier sur le dos de sa compagne et passé le pan du vêtement dans la bretelle du soutien-gorge, laissant ainsi plus de la moitié du dos nu. Les claques se succédèrent. L’homme, qu’une colère froide animait, claquait avec rigueur: une claque coté gauche, une claque coté droit. systématiquement, il allait du bas du dos jusqu’au bord des bas. Les premières claques sur les cuisses arrachant à la victime des hurlements qui firent élargir les sourires des spectateurs.
,-Regarde! dit Christelle à Romain, chaque fois que ton père claque la fesse gauche de maman , celle-ci s’écarte et on voit presque jusqu’au fond de sa raie
-oui j’ai vu et chaque fois que c’est sur ses cuisses qu’il frappe, elle écarte les jambes et je vois bien plus que son cul.
-Tu as raison, et tu n’es pas le seul à l’avoir remarqué si j’en juge la bosse qui déforme le pantalon de ton grand-père et du mien!
-Mamy aussi doit être intéresse, elle n’arrête pas de croiser et décroiser les jambes.
-si tu regardes bien, c’est la même chose pour ma grand-mère et, comme souvent, elle n’a pas de culotte sous sa jupe!
-je sais je l’avais vu également, mais le cul de ta maman est mieux!
-Et plus excitant d’après la bosse de ton propre pantalon!
Sans que personne n’y prête attention, Romain avait depuis le début de la correction laissé sa tête descendre sur la poitrine de la jeune fille dont la main avait quitté l’épaule du garçon pour se poser plus bas sur la hanche, juste à la limite de la ceinture.
-tu crois que papa voit que je suis dressé?
-je crois qu’il ne s’en occupe pas, mais essaye quand même de ne pas mouiller ton slip!
-et toi, ta culotte est toujours sèche?
-heu………..
Pendant ce temps, le dos, le cul et les cuisses de Chantal étaient passé de blanc nacré à un beau rouge brique.
André lâchât sa femme aussi brusquement qu’il l’avait saisie. Elle tombât sur les genoux face à son compagnon, sans plus se soucier de montrer son cul nu aux parents et aux ados.
— ne bouge pas, reste ainsi je n’en ai pas fini avec toi
