Ana, ayant laissé Véronique, pour rejoindre son bureau, mais une idée lui vint. Elle avança jusqu’au hall d’entrée, où se trouvait Fauve, puisqu’elle s’occupe de l’accueil de la clientèle et du standard, par chance, il n’y avait personne. Elle vint à sa droite, se positionnant au plus près d’elle, pour se pencher et lui soufflait au creux de son oreille.
J’ai adoré !! J’en suis encore toute trempée !!! Ça te dirait de me faire du bien ?? À la fermeture ??
Fauve, sans même lui demander son avis, commença par lui glisser une main sous la liquette souillée, pour remonter le long du legging et venir vérifier si cela se confirmait ? Sans la quitter des yeux, un sourire aux lèvres.
Hum !! Je n’y manquerai pas !! OK, ma p’tite chatte, 17heures !!! Alors, ce legging, tu l’avais oublié où ??? Chez Véronique !!! Je me trompe ???
Ana, bouche B, troublée, ne pouvant lui répondre, par le fait de la caresse, un doigter vulvaire, efficace, au travers du léger tissu rose, la pénétrant d’un demi-majeur, et à la fois par cette question embarrassante.
Je… Je l’avais laissé dans mon vestiaire !!! Il me gênait !!! Allez !! À tout à l’heure !!! 17 heures !! Aux archives !! On sera plus tranquille !!!
OK, j’y serais !!!
Avec beaucoup de mal, Ana se retira de cette main masturbatrice, tout en aguichant une dernière fois, d’un regard envieux et soutenu, un clin d’il, sourire, avant de se diriger dans le couloir, pour enfin, prendre sa place à son bureau. Elles étaient à deux à travailler dans le même service, chacune dans un coin de la pièce, se faisant face, afin de laisser un accès de passage. Un point important, les bureaux étaient ouverts à l’avant, banals à l’ordinaire, mais, judicieux pour le voyeur qui se cache au fond de nous.
Fauve « Je te défoncerai tes deux orifices, ma cochonne, tu en auras mal au cul » se dit-elle. Tout en humant son majeur droit, parfumé de la cyprine qui tapissait l’entrejambe rose, à s’enivrer. Tout en étant ruisselante au plus profond d’elle-même.
Pour ne pas attirer trop l’attention de sa collègue, Ana se fit la plus discrète possible. Malgré de fortes brûlures clitoridiennes, l’obligeant à se mouvoir, ne trouvant pas une position qui la soulagerait.
Pouh !! Quelle matinée !! À courir d’un côté, d’un autre !! Et il est 11heures et demie !!! Personne m’a cherché ??
Cherchant à se justifier auprès de sa collègue, qui elle, avait le nez sur son écran, occupée à taper son rapport.
C’était une jeune femme, la quarantaine, brune, cheveux mi-courts, ondulants, aux yeux noisette, à l’allure sportive qui la rendait très masculine, une poitrine ferme en 90C, que l’on ne peut ignorer du regard. Pour sa tenue, elle se plaisait qu’en jean, ou pantalon moulant, lui faisant ressortir en détail, son entrejambe et sa raie fessière, débardeur de coton, aux différentes couleurs pastel, sans soutard, laissant se dessiner ses grandes auréoles brunes de ses mamelons. Divorcée, elle vit seule, pouvant ainsi, profiter de tous les moments de la vie. Quand elle le désirait. Une exhibitionniste en puissance et voyeuse, au plus profond d’elle-même. Elle répond au prénom de Christel.
Christel, relevant la tête.
Non !! Heu !! Si !! Sabine !!
Ana, écarlate.
Il y a longuement ??
Christel
Euh !! Une demi-heure, peut-être !!
Ana, lui souriant.
— Merci !!
Christel
-Elle était avec Véronique !!! Je l’ai pas vue sortir !! Essaye !!
Ana, se leva, prenant son bloc note, et se dirigea à la porte de son bureau, où elle toqua. Attendant une réponse, avant de rentrer.
Sabine
Oui !!
Ana, alors que son cur battait la chamade, ouvrit la porte et entra.
Sabine et Véronique étaient assises à la table, où s’effectuaient les entretiens, les entrevues, les réunions. Alors qu’Ana restait debout, Véronique et Sabine étaient cote à côté, pratiquement collée l’une à l’autre. Chose bizarre, sur la grande table rien ne traînait, si ce n’est, entre les deux femmes, un tissu blanc, minuscule, chiffonné, que le regard d’Ana ne lâchait plus.
Véronique, sourire aux lèvres. Elle se décala de Sabine.
Approche, ma belle !! Alors !! Tu te fais attendre !! As-tu réussi à programmer une réunion pour ce soir ??
Ana, obéissante, vint se placer entre Véronique et Sabine, restant debout. Alors que les deux femmes la déshabillèrent du regard.
-Oui… J’en viens… 17heures… Aux archives… Après la fermeture du guichet…
Véronique, déjà une main sous la liquette d’Ana. Tout en tenant le tissu blanc, qui n’était autre que la petite culotte, lycra, d’Ana, qu’elle huma à pleine narine, avant de le présenter à Sabine.
C’est parfait, ma douce !!! Tu en es toute trempée !!! Nous étions, justement en train de parler de ton avenir !!!
Elle lui soufflant quelques mots à l’oreille.
Retire ce legging, qui t’es de trop !! Il serait bien que tu mettes en pratique ce que tu sais faire… Que Sabine ait une idée de tes capacités…
Par quoi veux-tu qu’elle commence, notre petite chatte ?? S’adressant à Sabine.
Sabine, restant dans sa réserve, car pour elle, jusqu’à ce matin, tout ceci n’était que fantasme. Qui lui aurait dit qu’un jour, ce qui était encore tabou, quelques heures auparavant, devienne une pure réalité !!
La voyant absente, Véronique et Ana échangèrent un regard complice. C’est Ana qui s’activa, en se débarrassant de ce legging, avant de s’allonger en travers de la table, s’accoudant et repliant ses jambes, pour les écarter, offrant en totalité sa divinité, dans tous ses états. Regardant Sabine, puis Véronique. Sabine était, à la fois, gênée et excitée de voir, celle qui est sa secrétaire, lui offrir son intimité.
Mais très vite, Sabine passa à la pratique, restant assise, elle vint se placer entre les cuisses ouvertes d’Ana, pour se pencher jusqu’à ce fruit qui suintait de glaire toute fraîche, qu’elle s’appliqua à lui lécher, sucer, laper, lui titillant celui qui se fait hyper actif au plus profond de son entre- jambe, j’ai nommé : Mr clitoris !!
Ana, tête basculée en arrière, se fait haletante, yeux mi-clos, totalement offerte à ses deux futures maîtresses du plaisir lesbien.
Sabine, s’activa, en lui glissant deux de ses doigts, majeur et index, entre les parois de cette vulve détrempée, mais surtout béante, allant jusqu’à la garde de son utérus, devenu un véritable volcan en éruption. Jusqu’à la faire jouir, se cambra vers l’avant, allant à l’encontre du visage de Sabine, dans un mélange clitoridien et vaginal, se traduisant par un soupir retenu de jouissance, pour ne pas crier et attirer l’attention de celle qui se trouve dans la pièce voisine, Christel.
Tout ça, à la satisfaction de Sabine, qui elle, attendait avec impatience, la suite des événements, se retirant légèrement de sa conquête, pour se redresser, s’adressant à Véronique.
Quel régal !! J’ai une folle envie…
Sans attendre la réponse de Véronique, qui jusqu’à présent, se faisait passive, Ana se releva, ayant tout juste repris ses esprits, face à celle qui venait de la soulager, toujours assise, les jambes ouvertes, haletante, se mordant les lèvres.
Vous permettez… À mon tour… J’ai soif de vous boire… Levez-vous… Que je vous débarrasse de tout ça !! Dit Ana.
Aussitôt, Sabine se leva, pour que les mains d’Ana lui dégrafent ce pantalon blanc, qu’elle accompagna jusqu’aux chevilles, restant à ses pieds, elle retira le vêtement qui l’entravait, la laissant en caraco où pointaient de petits mamelons, d’une poitrine presque inexistante et d’une minuscule culotte, ou slip en lycra blanc, pieds nus.
Au même instant, la porte toqua.
Si Véronique était plutôt excitée de la suite des événements, Ana, elle se glissa sous la table, tenant le pantalon de Sabine, le déposant à ses côtés. Sabine, elle, écarlate de honte, cherchant à dissimuler sa tenue du moment, sous le bureau, en se plaquant au plus prés du rebord de meuble, avant de dire un timide « Oui !! ».
La porte s’entre-ouvrit, Christel restant dans l’encoignure de porte, sans entrer, glissa :
Je m’en vais… Vous avez réunion à 14heures, préparation du conseil d’administration, avec Mme la présidente…
Sabine évitant de trop bouger, tourna la tête vers Christel, avec un léger sourire. Alors qu’Ana profita de la situation pour se glisser entre ses cuisses, qu’elle écartela, venant jusqu’à son ventre, pour jouer avec l’entrejambe à demi-avalée, par la béanteur de sa vulve, ruisselante de glaire, toute fraîche et abondante, dégageant un parfum de miel, que put constater Ana, en ayant placé son nez au niveau de la dilatation qui s’y dessinait, afin de faire coulisser son visage à même le tissus blanc. Donnant un mouvement de va-et-vient, pour une subtile caresse.
Sabine avait beaucoup de mal à contenir sa respiration. N’ayant pas encore répondu à Christel, la trouvant bizarre.
Euh… Oui… Merci… Christel…
Volontairement, Véronique jouait de ses mains, avec le vêtement qui traînait sur le bureau, afin que le regard de Christel, qui était encore là, ne pouvait pas ne pas voir. Mais où était-elle donc passée, Ana ??? Se dit dans un même temps, Christel. Non, pas sous la table, quand même ???
Eh bien oui, Christel !!! Ta collègue est sous la table. Tu ne la vois pas !!!
Excitée à son tour, Christel referma la porte, sans avoir pu vérifier ses déductions qu’elle venait de se faire. Laissant Sabine se faire dévorer par la petite Ana, très entreprenante, qui en avait écarté l’entrejambe du vêtement, sans prendre le temps de lui retirer, pour venir jouer de sa langue experte associée à deux doigts des plus vicieux, se frayant, sans difficulté, un chemin au plus profond de cette vulve affamée de plaisirs. Sabine ne retenant pas son plaisir, se cambra à son tour d’un bref râle, yeux mi-clos, tout en éjaculant comme une fontaine, sa tiédeur sur le visage d’Ana.
Véronique, elle, de voir ses deux cochonnes se faire du bien, voulait que l’on s’occupe d’elle.
Ana n’eut pas besoin de se le faire demander, elle laissa Sabine, qui reprenait ses esprits, haletante. Pour se rapprocher de Véronique, qui déjà, avait dégrafé son jean, restant assise, faisant glisser le vêtement aux chevilles, les entravant. C’est Ana qui prit la suite, en lui retirant une de ses jambes, afin de permettre une totale ouverture et un accès à ce qui bouillonnait de désir, sous son slip lycra blanc, ne pouvant plus éponger sa salive glaireuse qu’elle vomissait du plus profond de son volcan en éruption, s’échappant le long de ses cuisses, que lui lapait d’une langue assoiffée, Ana, gourmande de cette liqueur de la vie. Puis, étirant l’entrejambe souillé, elle dévoila une délicieuse vulve, reluisante de glaire, qu’elle lécha sans discontinue, tout en lui administrant le même traitement que Sabine, un doigter, majeur index, et plus, il manquait que le pouce pour lui pratiquer un fisting. Par le fait de la position, il n’en fallait pas beaucoup, malgré ça, elle la fit jouir d’une voix roque et sans retenue.
Au même moment, un gros coup de tonnerre se produisit. Véronique fit un bon, en pleine angoisse, le cur qui battait la chamade… Vous savez, lorsque vous êtes en plein rêve, et vous revenez à la réalité !!! Eh bien, pour elle, c’est exactement ce qui venait de se produire, à partir de là, je vais vous laisser en sa compagnie.
Trempée, de la tête aux pieds, j’ouvris les yeux, c’est un éclaire qui illumina la chambre, me permettant d’avoir un repaire, la respiration haletante, la moiteur sur mon corps, ruisselait, j’avais beaucoup de mal à reprendre mes esprits, suite à mon rêve, encore bien présent, au plus profond de ma petite culotte, qui ne pouvait éponger toute ma glaire que je ne cessais de déverser du plus profond de mon utérus.
Ma petite poitrine, elle, dont les mamelons roses, pointaient de désirs, me faisaient mal, ils étaient dans l’attente d’une caresse, d’un massage, vous rajoutez à ça, une crise d’angoisse, et tout va bien, enfin, presque !!!
Nous sommes en plein été, début août, à quelques jours de mes vacances, dans trois jours, exactement !! Un deuxième coup de tonnerre claqua si prêt que je me suis précipitée dans la salle à manger, pour fermer la baie vitrée, car malgré le balcon, je ne voulais pas passer mon temps à nettoyer l’eau qui aurait pu entrer…
Dans un même temps, mon regard ne put s’empêcher de mater les fenêtres voisines. Quelques hombres se dessinaient dans un des appartements, celui qui est au même niveau que le mien, juste en face.
Là y vit un jeune couple, 35/ 40 ans, elle, une petite blonde, cheveux mi-courts, superbe fille, bien foutue, une petite, mais ferme poitrine, du 85, aux petits mamelons, sans enfants, la parfaite épouse, soumise, à un militaire, tout en muscle, crane rasé, avec trois cheveux devant, qui laisse penser qu’il est brun, un super étalon, car, il est vrai que j’ai eu l’occasion de les surprendre, ajouter une exhibition, lors d’une de leur chevaucher, l’offrant aux regards indiscrets de leurs voisins, et en première ligne… Pour ma pomme…
Ils sont là, alors qu’elle se promène nue, certainement venue pour faire la même chose que moi, fermer ses fenêtres, elle est rejointe par son étalon, nu, lui aussi, alors qu’elle regardait vers ma direction, il se plaça derrière elle, glissant ses mains sur ses seins, qu’il palpa longuement, de sorte qu’elle bascula sa tête en arrière, s’abandonnant à la caresse.
Hmm !!! Je ne peux pas ne pas assister à ce spectacle qui m’est offert !!!
Sans trop me montrer, mais toute fois, m’offrir à eux, je me place dans un recoin du balcon, où ils peuvent me voir, tout en évitant la vue sur les autres voisins, debout, ma jambe gauche sur le rebord d’une chaise, en plastique verte, de jardin, pour avoir une ouverture de cuisses suffisante, et sans retirer ma culotte, juste l’entrejambe, où j’y glisse ma main gauche, pour une clitorisation.
En face, ça bouge !!
Après lui avoir, longuement, massé ses mamelons, qui en pointaient de désir, sa main gauche, glissa jusqu’à l’entrecuisse, la doigtant, la faisant râler, tout ceci, sans me perdre du regard.
Pleinement voyeuse/ exhibitionniste, je leur donne la possibilité de jouer une belle complicité, qui me fait bouillir un peu plus.
Pour avoir totalement une vue sur chacun, le couple vient s’installer sur le balcon, elle, s’accoude à la rambarde, lui toujours derrière elle, par sa position, je peux deviner qu’il entame une levrette. Effectivement, afin de se faire enfiler au plus profond, et par sa souplesse, elle se met à l’équerre, en plaçant son pied droit sur la rambarde, restant debout.
Il oscille inlassablement, la faisant gémir, haleter, crier, jusqu’à l’orgasme, sans me quitter des yeux, alors que je me masturbe, sans me cacher, jusqu’à mon râle de jouissance. Après avoir partagé un long moment, le temps de reprendre notre souffle, l’étalon vient prendre sa place, me regardant, pendant que sa pouliche, agenouillée, le suce, pour le faire jouir, dans un grognement.
Le couple me regarde, une envie d’aller plus loin. Mais, suis-je prête à plus ??
Lui me fait signe, afin de nous rencontrer, alors qu’elle m’envoie des baisers du bout des doigts.
Je réponds par un geste, plus tard, puis, à mon tour, leur envoie des baisers de ma main. Il tend son pouce, pour un OK.
Chacun rentre chez soi, pour ma part, je n’ai pas le choix que de passer sous la douche. Le corps moite, l’entrecuisse détrempé, à ne plus rien supporter. En passant devant la cuisine, je donne un coup d’il à l’horloge, qui indique : six heures et demie.
Même pas le temps de me recoucher, il pleut à nouveau. Je prends du temps sous ma douche, sur de longs massages, tout en pensant, à mon rêve lesbien, et à ce que je viens de vivre. Quelle expérience !!
Si je dois vivre quelque chose avec mes voisins, dois-je le partager avec mon couple ??
J’ai aussi envie de mettre en pratique mes envies lesbiennes.
Tant de choses qui se profilent… Hum !! Je ne vous cache pas, comme vous l’a expliqué Jean-Marie, dans la présentation qui me concerne, mon couple est inexistant, donc, je vais en profiter… Et puis peut-être même, une perspective de divorce ne me déplairait pas.
Je sors de la douche, m’enroule dans mon drap de bain, rose bonbon, qui me couvre à peine le haut de mes cuisses, puis, je me prépare mon petit déjeuner, café, banane, non, je sais ce que vous pensez !! Heu !! Je ne vous cache pas que l’idée m’est venue !! Mais, le manque de temps ne me laisse cette possibilité !! Je me rattraperai plus tard !!
Je m’installe dans le salon, mais, déjà la chaleur de dehors, m’attira jusqu’au balcon. Fait du hasard, ou pas, la blonde, dans un peignoir blanc, en fit tout autant. Nous nous sommes regardées, un peu loin pour faire discussion, nous partageons des regards et sourires. Elle doit travailler, car, elle ne s’attarde pas plus que moi, sur le café, ni même, le reste de son petit déjeuner.
Allez, Véro !!! On se dépêche !! Je vais être en retard !!!