Le Mâle pas encore dominant. Initiation entre cousin et cousines.
Après un temps de repos, le cerveau de Lucie reprend du service et se rappelle de mes propos :
Claude… Qu’as-tu voulu dire par, « Tu es aussi salope que ta mère » ?
Euh ! Ça veut pourtant bien dire ce que ça veut dire ! Demandez-lui plutôt…
Suite :
Tante Martine ne se laisse pas décontenancer et les met tout de suite au parfum :
Vous ne croyez pas, tout de même, les filles, que j’allais laisser Claude vous dépuceler sans avoir auparavant testé ses capacités sexuelles pour savoir s’il ferait l’affaire ? Et je ne regrette rien, car sous ses airs d’adolescent attardé, c’est un sacré bon coup !
Les trois femelles partent ensuite dans des discussions endiablées. Je ne les écoute plus, en profitant pour récupérer un peu. Je m’assoupis même, rêvant de bacchanales avec cette drôle de famille.
Mais je réalise au bout d’un moment que ce que je subis n’est pas un rêve. Je rouvre les yeux, horrifié, mais tellement fier, elles sont trois maintenant à s’occuper de moi.
Elles jouent à la chaise musicale et ma bite en est l’assise principale. Pendant une heure, elles s’escriment à tour de rôle pour tirer de mon corps un troisième tribut de mes burnes.
La journée a été épique, mais tante Martine a encore une idée derrière la tête. Mais pour cela, elle demande à Apolline de convier son petit copain Paul pour la suite :
Vous commencez à apprécier ce « Mâle », mais pour la suite, il vaut mieux avoir un poisson-pilote pour ouvrir la voie. Si vous voulez tout connaître des plaisirs que peut vous donner un homme, il faut passer au moins une fois par la case sodomie. Mais ce serait trop brutal avec Claude et sa queue si épaisse, il vaut mieux élargir auparavant le passage avec un calibre « normal ».
Quelques jours après, nous nous retrouvons donc pour l’ultime leçon. Apolline a dû user de beaucoup de persuasions pour décider Paul à participer à cette partie de jambes en l’air assez spéciale.
Il est un peu fâché, car il a bien compris qu’il est là uniquement que comme faire valoir, comme « préparateur », mais l’idée de baiser successivement les jumelles l’emporte sur son amour propre.
Nous nous occupons chacun d’une jumelle, Paul a ouvert le corsage de Lucie et tète déjà les nichons de ma cousine, elle le laisse faire un moment avant de descendre son short et son slip. Elle découvre le vit déjà bandé, elle se penche vers son bas-ventre pour le sucer et le branler lentement, Paul appuie doucement sur la nuque, il a envie qu’elle le suce. Lucie ne se refuse pas et avale la belle prune, se laissant glisser entre ses cuisses pour plus de confort.
Apolline ne veut pas être en reste et je subis le même sort. La seule différence est qu’elle a suffisamment de place pour mettre ses deux mains sur ma queue.
Tante Martine tient absolument à ce que Paul mette une capote et Lucie se charge de l’opération.
Stop les filles ! Je ne veux pas que vous les fassiez cracher. Il faut qu’ils gardent leurs forces pour la suite.
Paul se colle à Lucie et mime des mouvements de coït, elle le laisse faire, une main vient faire le tour pour chercher sa foufoune, la trouve d’autant plus facilement qu’elle écarte les cuisses.
Un doigt glisse entre les lèvres, trouve le clitoris.
Putain ! Elle est déjà trempée !
Lucie mouille sous les doigts de Paul, d’autant plus qu’elle sent dans son dos la queue dure.
Paul se baisse et cherche plus bas le sillon qui mène à la chatte, coulissant avant sur son petit trou sur lequel s’attarde un moment la verge. Il ne va quand même pas entrer directement par là ?
Je ne reste pas inactif avec Apolline qui me montre impudiquement son pubis soyeux aux poils taillés courts qui mettent en valeur son magnifique sexe baveux.
Voyant la porte entrouverte, j’enfonce mon majeur à la découverte de sa chatte pour évaluer la lubrification de sa chatte avant de la pénétrer d’un seul coup. Epiant sa sur, Apolline n’a qu’un léger moment de surprise et sursaute à peine.
Que fais-tu ? s’inquiète-t-elle en souriant tout en se régalant à masser mes couilles pendant que je la pilonne, alternant le rythme, tantôt lent, tantôt rapide. Son orgasme couronne de succès ma tactique.
Je n’ai pas joui et titille son petit trou, immisçant mon pouce au chaud dans son anus, préparant son petit conduit avec ma salive. Quelques mouvements suffisent à la faire jouir une seconde fois.
Paul n’est pas resté inactif. Après finalement avoir réussi à trouver le passage qui mène au vagin de Lucie dans lequel son gland s’est introduit doucement, il l’a baisée pour trouver son plaisir, mais se retient d’éjaculer.
Sa queue doit être d’une grosseur suffisante, car Lucie a l’air d’apprécier. Les chairs crissent, la verge coulisse aisément grâce à une mouille abondante qu’il récupère pour l’étaler entre les fesses de Lucie juste à l’entrée de son anus.
Apolline et moi, sous le contrôle de tante Martine, observons la bite de Paul qui se rapproche de l’anus de Lucie, complètement détendue. Après tout, elle sait quel est l’objectif final de cette journée !
Elle sent maintenant la queue se promener entre ses fesses, passant du sexe à l’endroit inviolé.
Elle se saisit de la verge avant l’instant fatidique. La barre dure vient se coller sur l’anneau fripé. Les deux mains de Paul se saisissent des hanches de Lucie.
Elle a un peu mal quand le gland passe, mais le reste de la queue entre sans coup férir.
J’aurais cru avoir plus mal, ça fait une drôle d’impression. Je ne pensais jamais que ce serait si bon ! C’est aussi bien que par-devant, sauf que je peux me branler en même temps.
Lucie se met à jouir quand elle sent le sperme de Paul envahir la capote puis les deux se laissent aller sur le lit pour reprendre des forces.
Nous faisons une petite pose avant de reprendre nos agapes sexuelles. Paul va s’occuper d’Apolline pendant que je vais prendre sa place avec Lucie.
Pendant que Paul prépare le terrain pour moi avec Apolline, je me charge de Lucie.
Mais c’est elle qui veut donner les directives, gentiment je lui obéis.
Elle me demande de m’allonger, les cuisses écartées en tenant ma queue en l’air. Elle ne peut résister à l’appel de sa chatte qui réclame mon gourdin et rampe lentement entre mes cuisses pour arrêter son visage à la hauteur de ma hampe, elle me lèche depuis les couilles jusqu’au gland avant de remonter ses coups de langue de plus en plus haut.
Lucie serre ses seins autour de mon pénis qu’elle fait glisser entre ses mamelles avant de frotter ses tétons dressés sur mon gland impatient de la pourfendre, me faisant languir.
Enfin, elle positionne sa chatte béante au-dessus de mon obélisque qu’elle saisit pour le frotter longuement sur sa fente entrouverte. Elle se laisse descendre très lentement pour savourer l’instant où elle va s’empaler.
Lucie donne un mouvement légèrement circulaire à son bassin pour que mon gland frotte toutes les parties innervées de l’entrée de sa grotte. Elle continue de descendre, la bouche grande ouverte.
Je peux lire dans ses yeux l’envie d’être défoncée par ma matraque. Elle cherche à s’asseoir sur mon ventre, faisant disparaître en elle à chaque aller-retour un peu plus profondément ma verge qui coulisse de mieux en mieux. Elle pousse un cri, un peu déçue quand elle réalise que son sexe est plein de ma colonne puissante dont elle n’a pas pu absorber la totalité. Elle essaie pourtant de se pénétrer encore plus loin.
Lucie râle de bonheur, je la repousse sur le côté pour reprendre l’initiative, mes coups de reins la font tressauter tellement mon rostre remonte dans sa gaine vaginale, l’étirant au-delà du possible.
Haaaaa ! Quelle chatte de petite salope que je vais remplir de mon foutre !…..
Oh ouuuiiiii ! Décharge au fond de ma grotte ! Remplis-moi la chatte !
Je ne bouge plus quand je sens ma queue se cabrer et devenir encore plus dure. Un premier jet percute son utérus, suivi de nombreux autres tout aussi puissants qui remplissent son vagin, déclenchant chez elle une formidable jouissance.
Je retombe inerte sur le lit, ma queue à peine ramollie glisse hors de la chatte accueillante d’où suinte le précieux nectar, mais Lucie met sa main pour récupérer les paquets de sperme et s’en enduire l’anus poussant même le vice à introduire ses doigts poisseux dedans.
D’un geste d’abord timide, j’entreprends de faire coulisser mon majeur dans le cul de ma cousine. Elle me cède volontiers la place, tendant passionnément sa croupe au-devant de mon doigt, m’encourageant d’une voix sourde.
Oh oui, Claude ! Va plus vite. Bien à fond…
Je rebande déjà devant tant de lubricité et pour la première fois de ma vie, tente le passage identique chez les hommes et les femmes.
Doucement, je pointe mon gland dévastateur sur l’anneau fripé avant qu’il ne se rétracte. Mon champignon de chair est plus imposant que mes doigts ou que celui de Paul. J’augmente la pression, il s’affine et lentement se fait absorber par l’anneau boursouflé qui cède enfin, laminant mon gland qui regonfle une fois la porte passée.
Lucie cherche de l’air, la bouche ouverte… Je suis surpris, car les premiers centimètres sont avalés sans difficulté. Je croyais qu’elle allait me repousser, mais elle cambre bien les reins et pousse son fessier au-devant de mon bélier. Les muscles de son sphincter abdiquent sous la poussée quand elle s’affale sur moi dans un cri inhumain.
Aaaaarrrrggggg ! Oh putain ! Oh putain !
Les trois autres nous regardent avec envie ou appréhension.
Qu’est-ce qu’elle prend ma petite sur ! Lance Apolline en se caressant, rêveuse, sa chatte trempée. Je ne sais pas si j’en serai capable…
Ça va Lucie ? Tu veux que j’arrête ?
Nooonnn Claude ! gémit Lucie au comble du bonheur… J’aime trop… Continue… Ramone-moi le cul. Putain que t’es gros, mais c’est trop bon…
Abasourdi par sa réponse, je m’empresse de satisfaire à sa demande, heureux qu’elle aime être enculée par mon engin.
Apolline s’approche de nous, empoigne mes couilles et les malaxe avec sa main droite avec une grande douceur pendant que sa jumelle, pour la première fois, arrive à faire disparaître la totalité de ma verge en elle, la sensation est extraordinaire. Je glisse mes doigts dans la chatte de Lucie pour lui donner encore plus de plaisir, mais sa grotte est beaucoup plus serrée, car la pression exercée dans son rectum a resserré son fourreau.
Je m’escrime à lui donner du plaisir, mais j’essaie de me préserver pour sa sur et repousse ses avances quand je libère le trou qui reste béant de longues minutes avec des contractions avant de se refermer.
La queue au garde-à-vous, je fais un geste à Apolline qui vient se positionner à côté de sa jumelle.
Son trou est encore dilaté du récent passage de Paul et je ne prends aucune précaution, l’enculant aussitôt. Lorsqu’elle sent le bourgeon de chair frôler son anus, j’appuie fortement mon champignon ovoïde pour le faire pénétrer à l’intérieur de ses intestins.
Copieusement lubrifié par le passage récent de la verge de Paul, l’anus accepte sans aucune résistance l’intromission de mon gland volumineux. Une fois que mon gland a franchi la corolle rendue glissante de l’anus, la totalité de ma grosse verge s’enfonce sans peine dans son rectum.
Paul en profite pour occuper la place encore chaude chez Lucie, rentrant sans aucun effort dans l’anus dilaté.
Nous travaillons de concert avec Paul, mais au moment d’éjaculer, je quitte les entrailles d’Apolline et zèbre son corps de mon foutre épais toujours aussi abondant…
Le reste des vacances n’a été que sexe, sexe, sexe… Je variais les plaisirs, avec l’une ou l’autre des jumelles, avec les deux ou comble du bonheur avec le renfort de ma tante. Mes trois femmes étaient à mes pieds, attendant mon bon vouloir comme les biches d’un troupeau attendant le bon plaisir du Mâle Dominant…
Une fois rentré à la maison, mes pensées ne tournaient plus que sur ce que j’avais vécu pendant presque un mois, me servant des petites culottes de ma sur pour retrouver le parfum d’une chatte. Et c’est comme ça que ma sur Léna m’a surpris.
Vous connaissez la suite…