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Boulot métro baise – Chapitre 1

Boulot métro baise - Chapitre 1



18h. Je sors du travail, je n’en peux plus de cette journée. La nuit est presque tombée lorsque je m’engouffre dans la bouche du métro. Je grimace à l’idée d’avoir encore 1h de trajet avant de retrouver mon lit douillet.

Sur le quai, c’est la cohue, comme tous les soirs. J’essaye tant bien que mal de me frayer un chemin dans cette masse humaine et étant petite, ce n’est pas simple de ne pas se faire écraser. Heureusement, j’ai mes talons. J’ai horriblement mal aux pieds d’ailleurs, mais avec ma petite jupe, c’était le combo parfait.

Le métro arrive enfin, et je suis emportée par le mouvement de foule. Je me retrouve, dans le fond, écrasée et avec un espace vital proche de 0. Je m’accroche aux poignées qui pendent et attends le départ. Cela va être long.

Le temps passe, doucement. Tout d’un coup, il me semble sentir une présence insistante derrière moi et je sens des mains qui commencent à me peloter les fesses ! Ma première pensée est de me rebiffer, mais le souvenir d’un vieux fantasme refait surface : me faire toucher dans un lieu public. Quelle meilleure occasion que celle-ci ?

Je me laisse donc faire et commence même à apprécier ce traitement. Je pense que Monsieur l’a bien compris, car ses mains descendent progressivement jusqu’à mes cuisses nues et les effleurent. Cela me fait comme une décharge électrique et l’excitation monte d’un coup ! Ma mouille commence à être très présente, et mon string, bien humide.

Ses mains remontent maintenant sous ma jupe, une sur mes fesses nues et l’autre sur ma chatte. Il commence à me masser l’entrejambe avec habileté, doucement et avec précision. Puis, il écarte doucement le tissu et se concentre sur mon clitoris déjà bien gonflé.

Je sens le rouge me monter aux joues et vérifie tout de même que personne ne peut voir notre petit manège. Mais nous sommes au fond dans un coin, tout va bien. Je me décontracte alors pour profiter pleinement, et sens d’un coup ses doigts qui glissent dans ma chatte trempée. Agréablement surprise, je lâche un petit soupir de satisfaction.

Hum, c’est si bon de sentir ses doigts aller et venir par petit coup et de sentir en même temps mon clitoris si bien choyé. J’ai envie de plus. J’ai envie d’être plus remplie que par ses doigts. J’ai envie de sentir sa bite me limer.

Des pensées perverses me traversent l’esprit, je ne me reconnais plus ! Moi qui ai toujours été très réglo, avec un sexe classique, je me découvrais des envies de petite salope.

La température monte, je sens l’orgasme monter, je n’en peux plus. Je tente tant bien que mal de dissimuler le plaisir qui m’envahit sur mon visage et me mords les lèvres.

Mais je n’ai pas le temps de profiter de l’instant, car c’est mon arrêt ! Ho non ! Il a dû sentir ma panique, car il s’est tout de suite retiré pour me laisser me faire emporter par la foule qui descendait.

Une fois sur le quai, et hors du monde, je me retourne pour tenter d’apercevoir le visage de mon bienfaiteur. Mais c’est trop tard, le métro est parti depuis longtemps. Déçue, je me dirige alors vers les escaliers pour sortir. Je sens mon entrejambe trempé frissonner avec l’air du soir.

Je marche lentement, repensant à mon aventure et en essayant d’imaginer le physique de l’inconnu du métro. Je passe près d’une ruelle quand tout d’un coup, une personne m’agrippe et m’entraîne avec lui.

Hé, vous faites quoi là ? Vous pouvez me lâcher ???

Je me débats et enfin il me lâche. C’est un grand brun aux yeux bleus qui me toise et me dit :

Alors ma belle, tu pensais pouvoir t’en tirer comme ça ? me dit-il avec un sourire narquois. Tu pensais pouvoir te faire toucher dans un métro sans donner la pareille ?

Je réalise à peine : c’est l’homme du métro !! J’en reste bouche bée.

La bouche grande ouverte, hein ? C’est parfait, c’est exactement comme ça que je te veux.

Je n’ai pas le temps de réagir qu’il me fait mettre à genoux par terre, et il sort son sexe, déjà bien bandé.

Allez, suce-moi ça, ma belle.

Je prends son chibre en bouche avec plaisir. J’adore sucer, et encore plus dans cette situation-là qui m’excite comme jamais ! Je m’applique, lui lèche de haut en bas, puis me concentre sur son gland, appuyant ma langue aux endroits sensibles. Je pense que cela lui fait de l’effet, car il prend ma tête dans ses mains pour me donner le rythme.

Hum, ha oui comme ça, hum, t’es une bonne salope, toi, tu tailles des pipes à des inconnus, on va s’entendre.

J’accélère les va-et-vient avec ma bouche tout en jouant avec ma langue, mais il me stoppe net.

Hum, c’est trop bon, mais je ne veux pas jouir tout de suite. On va encore s’amuser un peu toi et moi.

Il sort son sexe de ma bouche et me relève. Il me fait mettre sur le ventre sur une benne non loin. Ma jupe étant assez courte, la vue sur mon postérieur doit être sympathique.

Hum, c’est une bonne position pour prendre une petite traînée dans ton genre.

Sans cérémonie, il baisse mon string et relève ma jupe. Il m’insère un doigt, puis deux et commence à me masturber. Je ne me suis jamais sentie aussi salope et commence à pousser de petits gémissements de plaisir.

Alors t’aimes ça on dirait, vu comme tu mouilles, petite salope ! Tiens, on va voir l’effet que te fait ma bite maintenant.

Sa bite me remplit d’un coup. C’était si bon ! J’étais pleine et j’adorai cela. Il me baisa rudement sur cette benne et était proche de me faire jouir. Il m’asséna deux ou trois fessées qui m’excitaient encore plus.

Alors salope, tu l’aimes, ma bite, hein, tu l’aimes, dis-le-moi !

Ho oui, j’adore ça, dis-je, en haletant.

Il me releva un peu pour pouvoir m’empoigner la tête et me mettre des doigts dans la bouche, pendant que son autre main s’occupait de mon clito.

Je n’en pouvais plus, je l’ai senti monter et dans un cri, je jouis.

Mais c’est qu’elle jouit en plus ! Elle se fait démonter dans la rue et elle jouit ! Salope, va !

Et il me baisa encore un peu plus fort, me tripotant les seins à travers mon tee-shirt.

Tiens, prends ça, prends tout mon foutre, sale chienne !

Il se déversa en moi, en m’agrippant les fesses.

Ha, putain, t’es bonne. Va pas falloir qu’on se perde de vue, je sens qu’on va s’amuser tous les deux !

Il venait à peine de se retirer quand soudain, un jeune qui venait apparemment d’assister à la scène nous interpella :

Hé frère ; c’est une bonasse que t’as là, j’peux tester ?

Mais avec plaisir, c’est de la salope de première classe !

La suite, au prochain chapitre…

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