Mes copains avaient tout préparé pour notre nuit de noces.
La journée s’était passée sans accrocs. A 15 H 00, Sylvia et moi nous nous étions dits "Oui" devant le maire. Ensuite, il y avait eu les photos et le cocktail, puis le repas du soir et, enfin, nous avions dansé.
A une heure du matin, Marc, l’un des potes, prit le micro: "Mesdames et messieurs, nous allons maintenant vous enlever les mariés pour leur laisser passer une nuit heureuse et profiter d’une surprise que nous leur avons préparée. Vous pouvez bien sûr continuer à vous amuser et vous les retrouverez demain".
Mes sept potes, Marc, Olivier, Rachid, Christian, Benjamin, William, et Kévin nous firent monter dans un minibus. Christian est chauffeur dans une compagnie de transport et avait emprunté le véhicule à son patron. Nous tenions tous les neuf dedans.
Nous nous connaissions tous depuis longtemps, au moins depuis le lycée et pour les plus anciens depuis le primaire. Benjamin était le cousin de Sylvia et elle était sortie avec Kevin, Marc et Olivier. Elle avait même vécu plusieurs mois avec ce dernier et c’est d’ailleurs à la suite de cela que nous nous étions mis ensemble, il y avait plus d’un an et demi. A l’époque je vivais chez Natacha, une ancienne copine vraiment chiante. Un dimanche après midi, après le foot, Olivier m’avait dit : "Tu veux pas passer cinq minutes à la maison, on a un service à te demander".
J’avais accepté et envoyé un sms à Natacha pour lui dire que je rentrerai plus tard.
Arrivé chez Olivier et Sylvia, ils m’avaient fait asseoir au milieu d’eux.
"Voila, c’est un peu spécial" me dit Olivier
je t"coute.
On voudrait mette un peu de fun dans notre vie sexuelle.
Ouais ? En quoi ça me concerne ?
Est-ce que tu veux bien faire l’amour avec Sylvia devant moi?
Je les regardai tous les deux.
"Sérieux" ?
Oui.
Sylvia est très belle et c’était une bonne copine, sans plus. Olivier est mon meilleur pote.
"Pourquoi moi" ?
Parce que tu es mon meilleur pote et que tu es très bien monté.
L’ambiance des vestiaires mais aussi, il faut le dire, des séances de film porno en se masturbant côte à côte, nous avaient familiarisé avec nos anatomies respectives.
J’hésitai. Sylvia prit l’initiative. Elle enleva son T-shirt, libéra son énorme poitrine. Elle se dressa sur ses genoux et vint plaquer ses nichons sur mon visage. Aucun mec ne peut résister à ça. Je me mis à bander, puis à lui boulotter les tétons et finalement je la baisais à fond, sous la plus grande satisfaction du mateur qui finit par nous rejoindre alors que, couchée sur moi, Sylvia agitait son vagin sur mon membre prêt à décharger. Je vis Olivier grimper, puis je sentis, de l’autre côté de la paroi, sa verge rentrer dans le cul.
Il y eût plusieurs parties à trois, notamment après que Natacha m’eût viré de chez elle. J’avais passé une semaine chez olivier et Sylvia, dans le même lit, avant de retrouver un logement. Quelques semaines après, Sylvia était venue vivre chez moi ce qui n’avait en rien entamé nos bonnes relations ni nos parties à trois. Et aujourd’hui, nous étions en train de nous marier
Je me demandai ce que les copains m’avaient réservé pour ce soir de noces.
Depuis cinq jours, je vivais chez Marc. Les mecs m’avaient "kidnappé" pour, m’avaient-ils dit, que je sois privé de cul pendant une semaine avant la nuit de noces, sans quoi je n’aurais envie de rien ce soir là. De fait, je commençais à trouver le temps long et je me promettais bien de satisfaire Sylvia après ces quelques jours d’abstinence.
Le minibus s’arrêta moins de dix minutes après le départ devant une longère que les potes avaient loué.
Dans la pièce principale, ils avaient installé un matelas au sol et l’avaient entièrement entouré de rideaux. Ils firent entrer Sylvia au cris de "A poil, à poil…".
Je leur dis de se casser et de nous laisser seuls mais ils protestèrent en disant qu’ils allaient attendre derrière le rideau d’entendre les premier cris d’orgasme pour nous laisser. Ce faisant ils se précipitèrent sur moi pour me déshabiller.
Quand je fus nu, ils me laissèrent entrer dans le "lit" avec l’ordre de leur passer tous les vêtements de ma femme pour être sûrs que nous serions bien complètement à poil tous les deux. Ce que je fis à l’exception du porte-jarretelle et du voile que je lui laissai sur la tête. Mais, je n’étais pas très à l’aise de savoir mes meilleures potes derrière le rideau. Heureusement, Sylvia se mit à genoux et m’avala le dard. Je ne fus pas long à triquer et à profiter de cette pipe magistrale. Derrière le rideau, les mecs réclamaient des cris, du bruit, des témoignages audibles de plaisir. Je finis par sortir la bite à l’air et dégoulinant de salive pour leur montrer que j’étais à l’uvre. Ils applaudirent et je me remis au boulot mais comme ils faisaient beaucoup de barouf, je leur dis de sortir. Ils obéirent. Libérés de cette présence je me mis à baiser comme un fou et Sylvia, qui aime la bite mais à un point que je n’imaginais même pas à ce moment là, se comportait comme une jument en chaleur. Je crus pourtant entendre du bruit. Je m’arrêtai. "Putain les gars vous êtes revenus ? Vous êtes lourds" Il n’y eut pas de réponse. Je m’allongeai sur le dos et dis : "Viens que je t’encule… non dans l’autre sens pour que je puisse te caresser les seins". Ainsi Sylvia me tourna le dos, s’enfila sur ma queue, et tendit ses bras en arrière, me permettant de la tenir par les hanches ou de lui masser les nibards. Je gueulais comme une bête : "Tu la sens ma queue, tu l’aimes hein, je suis sûr qu’elle t’a manquée pendant cinq jours… je suis sûr que tu t’es caressée la chatte en attendant hein…". Elle ne répondit que par des cris d’orgasme. C’est à ce moment que les rideaux s’écroulèrent des quatre côtés avec sept mecs, la bite au vent bien dressée, autour qui nous regardaient baiser.
"J’étais dans le feu de l’action. Je leur dis qu’ils c’étaient des gros porcs, des pervers, des obsédés, mais j’étais trop à fond pour m’arrêter. De plus, Olivier levait le pouce en l’air comme il le faisait souvent dans nos parties à trois quand il était content. Je demandai à Sylvia, tout bas à son oreille : "Tu n’es pas gênée?", même si je savais que trois d’entre eux l’avaient déjà vue nue et sans doute plus que vue: "Non ça m’excite". Les mecs nous encourageaient et je continuai sans plus me préoccuper d’eux. Soudain, je vis s’approcher Benjamin, son cousin, le pantalon sur les chevilles, la queue bien en l’air et bien en main, la chemise ouverte. "Putain Benji… c’est ta cousine".
Je l’ai sautée avant toi figure-toi.
Là pour le coup, je m’arrêtai et demandai : "C’est vrai?" Pour toute réponse Sylvia continua de s’agiter comme une folle sur le nud en m’ordonnant de continuer. Pendant ce temps là, Benjamin avait fini de se dessaper et il s’était glissé entre mes jambes. Je compris que ses genoux se pliaient, ses bras se tendirent de part et d’autre de nos deux corps superposés et je sentis sa queue sur mes couilles, cherchant le trou de la chatte pour s’y précipiter vigoureusement quand il l’eut enfin trouvé. Mais Sylvia fatiguait et elle s’allongea de tout son corps sur le mien tandis que Benji tendait les bras à mort. Mais, à cause du poids de ma femme reposant entièrement sur moi, j’avais quand même perdu ma liberté de mouvement et je ne pouvais plus trop m’agiter dans le cul. Du reste, ce n’était pas la peine, les coups de bite de Benji, qui la pilonnait sans relâche, faisaient pression sur ma tige et m’excitaient tout autant. J’en profitai pour reprendre mes esprits et je me demandai combien finalement parmi eux l’avaient déjà baisée.
Autour de nous, les queues s’agitaient de plus belle; Rachid avait déjà plongé son dard dans la bouche de la jeune mariée alors que Benjamin ne ralentissait pas, tout en proférant une tonne de saloperies : "Putain, qu’elle est bonne ta chatte, c’est la meilleure. T’aime toujours autant la bonne queue ma garce. Avec le gros calibre de ton cocu tu va te chauffer la raie souvent. Ah putain ! T’es vraiment trop bonne" et tout à l’avenant…. Mais il perdit ainsi le contrôle de lui même; je le sentis se tendre davantage de toutes les parties de son corps et se renverser le visage en gueulant : "Ouiiiiii, la vache, je viens déjà … haaaaaa" et je perçus les spasmes de son éjaculation derrière la paroi. Il se retira pantelant. : "Oh bordel, c’était trop bon. Tu m’as fait vite jouir. Allez les mecs, elle est à vous pendant que je recharge mes batteries. J’en ai pour vingt minutes".
Je trouvai un peu cavalière la façon dont il offrait ma femme aux queues alentour. Je repris les choses en main et la fit mettre à quatre pattes. Pour en avoir le cur net, je dis : "Allez. La place à celui qui ne l’a pas encore sautée". William répondit : "Je crois qu’on va aller chercher du monde dans la rue alors !" Olivier me confirma que tous l’avaient déjà grimpée et que les plans à trois ou à plus encore étaient une idée de Benjamin bien avant qu’elle n’habite en couple avec lui. William avait parlé et il vint lui planter le chibroque dans le cul en ne l’ayant même pas enduit de gel. J’avais déjà suffisamment ouvert le trou et elle mouillait du cul presqu’aussi bien que de la chatte.
Devant on se donnait le tour pour se faire sucer. Puis Olivier voulut une double dans la moule. Il se mit sur le dos et elle s’empala sur lui. Tour à tour chacun de nous vint s’insérer dans le vagin dilaté par la présence de deux queues. Puis ils me demandèrent de la prendre en missionnaire un court moment pour voir comment j’y allais. Ils continuaient d’agiter leurs manches. Elle dut se mettre debout pour encore enfiler tous ces zobs dont celui de Benjamin qui était déjà revenu.
Ils me firent allonger et elle s’empala sur mon pieu, les mecs venant se faire sucer ou branler à la mode espagnole mais je n’en pouvais plus, aussi la soulevai-je et je me plantai devant elle en lui éjaculant sur les seins. Christian vint présenter sa tige, courte mais très épaisse et recueillit autant de sperme qu’il put sur son gros gland pour le plonger dans la bouche.
La queue pendante, les couilles vides, je m’écartai pour contempler la scène. Marc avait pris ma place entre les jambes mais, plutôt que de plonger sa queue à l’intérieur de ma femme dégoulinante de cyprine et de sueur, il y avait mis la bouche et se régalait de son plat de moule. Christian, cramponné à la tête plongeait son vit au plus profond de la gorge et je vis ses fesses se contracter alors qu’il laissait échapper un râle. Le sperme jaillit dans la bouche et s’écoula entre les lèvres en ruisselant sur le menton. Olivier prit la place. Mais Benjamin demanda à Sylvia de se pencher pour la reprendre dans le cul alors que Marc agitait toujours sa langue au plus profond du con. Penchée en avant, une bite dans la rondelle, une langue dans la chatte et une verge dure dans la bouche, je me demandais où elle prenait autant de résistance. C’est Rachid qui maintenant extrayait son chibre pour juter en faciale, de lourds jets crémeux qui maculèrent le voile nuptial. Tout en bouffant la chatte, Marc se branlait. Il n’eut qu’à demander à Sylvia de se pencher, juste à temps pour recevoir le jet dans la gueule ouverte, la langue tirée et avide.
William me demanda de me mettre en 69 avec ma femme, moi sur le dos. Elle commença à me bouffer les couilles et le zob mais sans réponse de ma part. Il était trop tôt pour que je rebandasse. Au dessus de ma tête, William la sodomisait avec ardeur tandis que je bouffais une chatte pisseuse de foutre et de mouille. Quand William eut, à son tour, atteint son point d’orgasme, il vint se mettre au dessus de mon sexe et Sylvia lui pompa le membre au moment où celui-ci explosait en saccades et dégorgeait tout son jus. La bouche remplie de semence, elle me reprit le zob tandis que Kevin m’avait soulagé la langue en plantant son pieu dans la chatte, ses couilles pourtant bien regroupées me chatouillaient le nez de temps en temps. Il se vida à l’intérieur, m’éclaboussant le visage de son beurre de couilles.
Tous les garçons avaient tiré leur coup sauf Benjamin qui en était à son deuxième tour. Il choisit de se terminer à la main sur les nibards pour un maigre résultat.
Nous étions couvert de jute, surtout ma femelle, qui en avait dans tous les trous, sur les seins, le visage et dans les cheveux.
Les mecs sortirent, nous nous allongeâmes sur le matelas trempé et nous nous endormîmes dans cette pièce qui sentait la sueur, la chatte et le foutre.
Le lendemain, c’est le bruit, vers midi qui m’a réveillé. Les gémissements de ma femme et les râles d’un mec. J’ai ouvert les yeux juste à temps pour voir deux types à poil qui sortaient de la piaule, Kévin, reconnaissable à sa forte carrure et Marc à son crâne rasé en brosse. Je me suis retourné. William était en train de prendre ma femme en missionnaire à grands coups de reins. Elle profitait visiblement de la pine, les bras allongés derrière sa tête, le gros seins dansant au rythme des coups de bite. J’avais déjà cette belle gaule raide qu’on a le matin, si dure, si ferme, alors j’ai eu une envie incoercible de la monter à mon tour. Je dis à William : "Enlève ta bite de ma femme". Il me répondit qu’il était sur le point d’aboutir et me demanda d’aller me faire foutre. Alors je posai ma main droite sur le gros nichon, la paume bien sur le téton dur. Mes doigts trempaient dans un liquide chaud et gluant. Je me soulevai un peu. Elle avait le torse couvert de sperme. Étaient-ils déjà tous passés la bourrer. Je ramassai de lourds grumeaux avec mes doigts pour les lui faire bouffer : "ton petit déjeuner, salope!". William avait dit vrai. Il était sur le point d’éjaculer. Il sortit précipitamment sa bite pour vider ses couilles sur les mamelles et sur ma main qui les pelotait.
Ensuite je la tirais comme un chienne mais assez rapidement. Quand tout fut terminé, nous sommes lavâmes et rejoignîmes la noce.
J’étais assez sceptique. Certes je savais que ma femme aimait la bite et j’avais moi- même peu fait le difficile quand il avait fallu la sauter au moment où Olivier me l’avait proposé. Mais là, je découvrais qu’elle était beaucoup plus salope que je ne l’avais jamais pensé. Je me demandais si tout le monde était au courant. Au fond, personne ne disait rien sur elle avant qu’on se mette ensemble. Je pense qu’elle tenait chaque mec comme elle m’avait tenu la première fois, par les couilles. Elle imposait le silence si on voulait recommencer. Et qui n’aurait voulu y retourner? C’était la nana de tous nos fantasmes. Elle semblait venir d’un film porno, être sortie de l’écran et s’être emparée de nos teubs envoûtées. C’était une bête de sexe, une sacrée pompeuse, une sacrée grimpeuse, apte par tous les trous, vachement endurante, experte en maniement de queue. Aucune nana ne nous avait jamais baisée comme cela et aucune ne nous rebaiserait jamais non plus de la sorte.
Cependant, je n’avais pas tout vu encore. Le voyage de noces allait m’en appendre bien plus.