Le Banquier
Après mon expérience malheureuse dans cet hôtel sordide, je ne savais plus comment faire pour m’acquitter de mes dettes qui s’accumulaient régulièrement. Je décidais d’aller voir mon banquier afin d’obtenir un report de mes créances. Je pris donc rendez-vous. Ce jour-là, j’enfilais une petite culotte de dentelle translucide noire, un soutien-gorge blanc qui mettait en valeur ma poitrine sans être trop visible sous mon chemisier, puis un porte-jarretelles et des bas noirs. Je choisis un tailleur bleu un peu moulant, un chemisier blanc, une veste assortie au tailleur et pour terminer des escarpins qui m’obligeaient à marcher cambrée. J’aime me sentir en beauté et qui sait un peu de charme m’aidera peut-être dans ma démarche. Je pris ma veste et sortis. En arrivant à la banque, je me rendis aux toilettes pour refaire une touche de maquillage. Il me fallait être impeccable pour impressionner le directeur. Je suis une grande jeune fille, brune, de 1 m 75 pour 52 kg, assez désirable. En regardant dans le miroir, je me sentais réellement très féminine. Mentalement j’étais prête à de nombreuses concessions pour obtenir un délai voir une remise sur la somme que je devais à la banque. Je respirais un bon coup puis je sortis des toilettes. Je me suis dirigée vers le bureau de la secrétaire, une jeune femme blonde, mignonnette mais sans plus.
— Bonjour, j’ai rendez-vous avec monsieur B.
— De la part de ?
— Mademoiselle Christine D.
— Monsieur, Madame D. est là.
Une voie assez grave sortie de l’interphone
— Faites entrer !
Je me dirigeais vers la porte du bureau et j’entrais. Le directeur était un homme de belle allure, la quarantaine sportive, au visage ferme adouci par un regard enjôleur. – Bonjour Mademoiselle D., asseyez-vous, En m’asseyant sur le devant du fauteuil je pris bien soin de serrer mes cuisses l’une contre l’autre et de remonter mon tailleur qui avait glissé dans le mouvement.
— Que désirez-vous Mademoiselle D. ?
— Depuis quelque temps j’ai des problèmes financiers… Il consulta son ordinateur un instant.
— En effet votre découvert se monte à plus de 7000 francs.
— Vous serait-il possible de m’accorder un délai pour que je puisse rembourser ce découvert ?
— Non !
— Pourquoi ?
— La banque ne peut se permettre cela ou alors à un taux si élevé que votre situation ne ferait qu’empirer.
— Mais… que vais-je faire ???
Les larmes commencèrent à me monter aux yeux tant mon désespoir était grand. Pourquoi m’était-il impossible de m’en sortir ? J’étais venu ici pour trouver une solution et apparemment ce sera difficile. Même si je devais payer de mon corps j’aurais au moins un délai pour me sortir de ma situation. Je me mis à sangloter espérant ainsi attirer son attention.
— Que vais-je faire ? Monsieur aidez-moi !
— Ce n’est pas mon problème Mademoiselle D.
Me répondit-il cyniquement. Il me fallait le ferrer maintenant aussi je lui dis d’une petite voix :
— Si vous trouvez une solution je vous en serais toujours reconnaissante…
— Vraiment ? Le ton du directeur changea quelque peu.
— Installez-vous mieux Mademoiselle D., je crois que nous avons à parler.
En me reculant pour me mettre plus à mon aise dans le fauteuil, je pris bien garde à ma position, si bien que lorsque je me retrouvais calée contre le dossier, mes jambes étaient légèrement écartées. Je restais ainsi quelque temps et lorsque je remarquais que le directeur avait reluqué vers mon entrejambe, je les resserrais vivement.
— Christine, je peux vous appeler Christine ?
— Oui ?
— Ce n’est pas gentil ce que vous venez de faire…
— Quoi ?
— Vous voulez que nous trouvions une solution ?
— Oui !
— Alors…
Le poisson mordait et comprenant parfaitement ce qu’il voulait, je desserrais lentement mes jambes, tout en regardant fixement le bureau pour ne pas à avoir à affronter son regard.
— Bien… Je pense que nous trouverons un accord… si vous continuez à faire des efforts !
— C’est à dire ? Demandais-je un peu inquiète. Il se pencha vers son interphone.
— Véronique ! Un temps, puis
— Oui monsieur !
— Je n’y suis pour personne jusqu’à nouvel ordre.
— Bien monsieur.
— A nous Christine….. Déshabillez-vous !
— Pardon ?? Je pensais l’avoir aguiché mais, là, les événements prenaient une tournure imprévue.
— Vous avez entendu !!
— Oui… mais… ???
— C’est simple, vous faites ce que je vous demande et nous trouvons une solution ou… vous partez et vous êtes interdite bancaire pour le reste de vos jours et de toute façon vous devrez payer votre dette !
— Mais… Que voulez-vous ???
— Vous admirer en sous-vêtements, juste pour mon plaisir !!
— Mais, vous êtes fou !!
— Peut-être mais vous n’avez pas le choix !
S’il désirait me voir en sous-vêtements c’était un moindre mal. Je me mis à sangloter le visage dans les mains afin de l’amadouer un peu plus.
— Suffit comme ça vos jérémiades ! Debout ! Doucement, je me levais.
— Très bien. Déshabillez-vous !
— Oh non… non… !! – Allez !! Tout en sanglotant, j’enlevais ma veste, la laissant choir sur le fauteuil.
— Monsieur…. snif ! Je vous en prie….
— Vous avez commencé, il faut continuer maintenant !!
— Mais, pourquoi… ??
Comme aucune réponse ne venait, je déboutonnais mon chemisier, bouton par bouton, et l’enlevais. Apparut alors aux yeux de l’homme mon soutien-gorge de dentelle.
— La jupe, maintenant ! Plus vite que ça !!
Je dégrafais ma jupe, et la laissais tomber à mes pieds.
— Une vraie petite pute… !!
Le mot sonna douloureusement à mes oreilles surtout depuis ma récente et triste expérience.
— Porte-jarretelles et bas j’aime beaucoup !!! Gardez le porte-jarretelles et les bas… Continuez !!!
Je retirais mes chaussures.
— Eh bien… Ca n’a pas l’air mal du tout… On dirait qu’il y a ce qu’il faut, là où il faut… A poil, maintenant !!
— Mais… Vous avez dit juste en sous-vêtements…
— Une belle pouliche comme toi se doit d’être nue !
Le salop, je l’ais allumé et maintenant il profite de la situation. Tout en me forçant à pleurer, je hochais négativement la tête.
— J’AI DIS A POIL !
Le ton du directeur ne souffrait plus aucune retenue. Je dégrafais mon soutien-gorge, qui rejoignit les autres vêtements sur le fauteuil et recouvrais aussitôt ma poitrine de mes mains.
— Petite bêcheuse, enlève les mains de ta poitrine, que je puisse l’admirer.
Je plaçais mes bras le long du corps dévoilant mes seins nus.
— Parfait… Parfait… Quelle poitrine !!! Bien, le slip maintenant !!
Au point où j’en étais, j’obéis en faisant glisser doucement ma culotte pour retarder au maximum l’échéance. Lorsqu’elle fut à mi-cuisses, je la lâchais, la laissant tomber le long de mes jambes. Une fois au sol je l’enjambais. Je me trouvais maintenant entièrement nue, seul mon porte-jarretelles et mes bas habillaient mon corps. D’une main, je masquais mon intimité.
– Eh bien… Un corps parfait… Rien à jeter… Tournez-vous que je vois vos fesses !
Je fis un demi-tour.
— Très beau fessier… fesses bien fermes… bien cambrée !!
— Bon ! Marchez un peu, que je vous apprécie !!
Je fis trois allers retour dans le bureau.
— Parfaite, vous êtes parfaite. Venez, maintenant vous allez vous pencher, les seins sur le bureau et les bras allongés, et tendre votre croupe !! Je me suis approché du bureau et je m’y suis allongée prenant la position demandée.
— Très bien… Maintenant, écartez vos fesses avec vos mains, que je puisse voir votre petit trou !
— Oh non ! Pas ça…
— Christine, TOUT DE SUITE !! Obéissez !!
Pleine de honte et pleurant de plus bel, je portais mes mains à mes fesses, puis après un temps d’hésitation, je les écartais, dévoilant mon petit trou. Pourquoi j’obéissais, je ne saurais l’expliquer. Je découvrais que j’aimais me soumettre
Cet homme m’utilisant comme une poupée me permettait de me laisser aller à ce nouveau penchant.
— Hummm ! Quel joli petit cul… ça à l’air bien serrer, tout ça… Bien… maintenant, retournez-vous, allongez-vous sur le bureau, sur les coudes ! Pour écourter mon humiliation, je me suis retourné et j’ai grimpé sur le large bureau de direction et pris la pose, en prenant bien soin de croiser mes jambes.
— Ecartez les cuisses ! En le regardant droit dans les yeux je lui dis calmement.
— NON !!
— Non ?? Bien. En fixant mon regard, il se pencha vers son interphone.
— Véronique ! – Oui monsieur !
— Préparez-moi un dossier d’interdiction bancaire au nom de Mademoiselle D.
Comprenant que j’étais perdue et la mort dans l’âme, j’écartais légèrement mes jambes.
— Attendez Véronique. Puis me regardant : Mieux que ça Mademoiselle D. !
J’obéis, dévoilant mon sexe sans aucune réserve.
— Je vous appellerais plus tard Véronique pour confirmer ou infirmer ma demande et il coupa l’interphone.
— Très bien… gardez la pose… Très joli tout ça… et quelle paire de seins !
L’homme me contemplait.
— Es-tu prête à aller plus loin ?
— Plus loin ? (La situation m’échappait de plus en plus.) Non je ne veux pas aller plus loin.
— Mettez-vous debout devant moi, bras le long du corps !! Sans me presser j’approchais du directeur, il me tenait et d’une certaine façon moi aussi. S’il voulait satisfaire ses envies, il avait besoin de moi, de ma soumission, de mon corps.
— Tu suces au moins ?? La question était tellement intime que je ne pus répondre, je demeurais sans réaction.
— Tu me réponds, oui ou non, petite salope ?
— Je balbutiais. Je ne sais pas, moi, je ne sais pas.
— Merde ! Tu dois bien savoir comment tu suces, non ??? Je ne répondis pas… et hochais affirmativement la tête.
— Parfait ! J’aime les femmes qui savent se servir de leur bouche. Le directeur se rapprocha de moi.
— Quant à moi, je commence à bander comme un âne. Il prit ma main et la posa sur sa virilité.
— Tu sens la bosse, dans mon pantalon ?? Allez ! A genoux !
Il me prit par les épaules et me fit agenouiller. J’entendis le bruit de la fermeture éclair et bientôt j’eus le sexe du directeur dressé devant le visage.
— Qu’est ce que tu attends ? SUCE-MOI ! Je mis un temps à réagir, puis je commençais à prendre le sexe dans ma main.
— Oui, tu as raison, branle-moi un peu avant. Je le masturbais doucement. Puis, tout d’un coup, je donnais un coup de langue sur le gland, et enfournais le sexe dressé dans ma bouche.
— Ahh… Hummm… OUI… continue… Sors ta langue… Passe-la partout… Sur la queue, sur les couilles… sur le gland…. Je m’exécutais, léchais la verge, les couilles, puis suçais de nouveau.
— Hummm… suce bien… oui… Oh… cette bouche… cette langue… Oui… Fais le bien durcir… L’homme limait ma bouche, me tenant la nuque.
— Oui… Tiens… suce. Il se retira tout à coup, la verge couverte de ma salive. Il prit son sexe à la main et se branla au-dessus de mon visage. Comprenant ce qu’il voulait faire. –
Non ! Pas ça… Je vous en prie… Pas ça ! Pas sur mon visage… Je vous en prie… Vous pourrez jouir dans ma bouche, si vous voulez !!
— Humm… excellente idée, petite salope. Il me présenta son sexe dressé et luisant.
— Ouvre la bouche, et sors la langue ! Je me mis à pleurer, j’ouvrais ma bouche et il s’enfonça à l’intérieur.
— Ahhh… Je n’en peux plus… Pompe-moi bien. Je faisais de mon mieux pour qu’il arrive rapidement à l’orgasme, serrant mes lèvres sur sa verge, caressant ses couilles, faisant des allers retour de plus en plus rapides.
— Ohh… Ta bouche… Ouiiii !… Ahhh !!… OUI !!!… Ca y est !!!!… Je jouis !!!!!… Ahh !!!!… Tiens !!!… Tiens !!… Avale !… Avale tout. Le sexe planté dans le fond de ma bouche, il jouissait, en me maintenant la nuque d’une main, afin que je ne puisse pas m’échapper, j’étais obligée de recevoir toute sa semence. Les jets de sperme se succédaient et coulaient dans ma gorge. Il se retira et quelques jets, moins puissants, atterrirent sur ma joue, le menton et le coup. Je voulais protester mais plusieurs longs filets de sperme coulèrent immédiatement de ma bouche sur mon menton, pour dégouliner sur mes seins et mon ventre. Comme il approchait de nouveau sa queue, je détournai la tête, ce qui ne l’empêcha pas de frotter son gland sur mon visage afin de déposer du sperme sur mes joues.
— Ouvre la bouche !!!
Résignée, j’écartais de nouveau les lèvres, il continua un peu à frotter sa queue sur les flaques de sperme qui maculaient mon visage puis la rentra dans ma bouche.
— Oui… C’est bien… Bouffes mon foutre… Avale tout… C’est bien… Nettoie-moi bien la queue !!
J’avalais, suçais, et nettoyais son vit couvert de sperme. Au bout de quelque temps il se retira, se réajusta puis il alla vers une porte qu’il ouvrit.
— Va te refaire une beauté tu es couverte de foutre. Je me levais et me dirigeais vers la pièce, dans laquelle se trouvaient les toilettes et un lavabo. Dans le miroir je vis une femme nue, le visage portant les traces de sa victoire sur l’homme. Cette vision déclencha en moi une violente envie de me masturber. Mes doigts trouvèrent naturellement le chemin de mon sexe, déjà liquide de ce désir irrésistible de me donner du plaisir. Je fixais mes yeux sur le miroir, suivant sur le visage de cette femme sa progression vers la jouissance. Je la vis ouvrir la bouche juste avant qu’un râle ne sorte de ma gorge, le corps parcouru d’un spasme libérateur. Après m’être nettoyée tant bien que mal, je sortis et me dirigeais vers mes vêtements. Il me regarda pendant que je m’habillais sans rien dire. Une fois prête, je me tournais vers lui.
— Alors ??
— Tu as un mois de répit après si tu n’as pas comblé ton découvert je lance la procédure.
— Quoi seulement un mois !!! La rage montait en moi.
— Calme-toi, voilà un numéro de téléphone qui te permettra d’effacer facilement ta dette si tu as le courage d’appeler.
Il me tendit une feuille sur la quelle je lus : ’Maîtresse Sandra’ suivait un numéro de téléphone. Comme je relevais la tête il me dit :
— Tu aimes jouer les soumises et faire croire à ton partenaire qu’il a toute puissance sur toi. Cet homme venait de me révéler ma nature profonde. J’aimais être humilié tout en gardant le contrôle de la situation. Je ne répondis rien, fis demi-tour et me dirigeai vers la porte de sortie du bureau.