Le repas se passe normalement et Estelle paie laddition avec sa carte de crédit. Il était presque 15h et toujours pas de nouvelle de Fred. Estelle essaie dappeler mais pas de réponse. Quand soudain une camionnette sarrête juste à leur niveau, la porte latérale souvre et les deux filles sont happées par des hommes cagoulés. La scène ne passe tellement vite quil ny eu pas un cri et que personne na rien vu dans la rue. Immédiatement bâillonnée et cagoulée, elles se retrouvent dans lobscurité et dans lincapacité dappeler au secours. Les filles sont emmenées dans un entrepôt désaffecté lugubre et sale à lécart de la ville. Les 2 prisonnières sont attachées les mains au-dessus de la tête à une poutre se trouvant à 2m50 du sol. Un système de poulie permet de les décoller du sol. Jusque-là personne na dit un mot et cest toujours dans le silence que les filles sont déshabillées non sen mal car ces dernières se débattaient telle des tigresses. Une fois nue, un homme enlève leurs cagoules leur permettant de découvrir leurs agresseurs. Une douzaine dhommes, tous nus, la tête recouverte dune cagoule ou dun foulard et dune casquette afin de ne pas être reconnu. Les filles toujours bâillonnées, commencèrent à se calmer pensant que cétait un truc organisé par Fred. Mais cest à ce moment que le téléphone dEstelle sonne ; cest un SMS. Un des hommes :
-Cest à laquelle de ces putes ce téléphone ?
Estelle fait un signe de la tête pour répondre.
-Je peux lire tu viens de recevoir un SMS, il est de Fred ?
Estelle hoche la tête de nouveau.
-Il dit : – Désolé ma beauté, je suis en retard rejoignez moi à lhôtel habituelle.
Les 2 filles comprennent que Fred nest pas derrière tout ça et replonge dans laffolement.
-Les filles, on va samuser un peu ! Les salopes je devrais dire ou les putes peut-être
Un gars sapproche et affuble les deux filles de pinces tetons reliés par une chaine pendant que dautres commencent à les caresser. Leurs trous sont vite investit par plusieurs doigts qui les pénètrent sans délicatesse.
-Elles mouillent ces salopes, on dirait quon est tombé sur des chaudasses.
-Je propose un petit concours. La première qui fait cracher le mec de son choix regardera lautre subir un gage.
Tout le monde acquiesce en beuglant Puis on ôte les baillons des filles.
-Les filles vous pouvez choisir votre partenaire.
Estelle cherche celui qui la queue la plus tendu le plus excité et désigne un grand black du doigt. Magali choisi lhomme qui a proposé le jeu. Les cordes se détendues, permettant aux filles de sagenouiller mais laissant leur bras tendu vers le haut. Elles allaient devoir sucer ces 2 queues sans les mains et le faire vite. Magali savait quelle navait pas lavantage.
-3 ,2 ,1 cest parti !
Les filles prennent les queues en bouche et commence à pomper en serrant le plus quelles pouvaient leurs lèvres autour de ces glands. Sans surprise cest Estelle qui gagna dune courte dizaine de seconde sur Magali.
-Qui est ce qui propose un gage ?
-Pourquoi pas la gagnante ?
-Ok, mais si ça nous convient pas cest elle qui subit.
-On técoute ?
-Elle pourrait euh un petit bukkake peut-être.
-Cest nul ! Allez-y les gars tous dans son cul !
Les mains de Magali sont détachées, elle se retrouve à 4 pattes sur un vieux matelas sale. Un gars se glisse sous elle et lui prend la chatte puis rapidement un autre se fait sucer ou plutôt se branle avec sa bouche. Alors que Magali commence à gémir un troisième se pose sur sa rondelle et lui transperce sans plus de préliminaire ce qui ne coupa pas son plaisir. Cest à ce moment quelle réalisa que quelques jours plus tôt elle aurait vécu ça comme un viol mais que là elle prenait son pied, elle vivait son premier Gang-bang.
Les liens dEstelle sont retendus pour lobliger à se lever, jusquà ce quelle se retrouve sur la pointe des pieds. A ce moment un homme lui arrache les pinces qui ornaient la pointe de ces seins lui arrachant un long cri de douleur. La suite nest pas plus tendre : ses fesses sont fouettées avec un martinet, ces grandes lèvres caressées avec une cravache et ses seins pincés jusquà quelle perde léquilibre et se retrouve suspendu par les bras. Le supplice dure encore quelques minutes puis les liens sont coupés laissant Estelle seffondrer sur le sol.
Magali voyant le spectacle et ne voulant pas subir le même sort : -Baisez-moi ! Narrêtez pas !
Cest à ce moment que je rentre dans la pièce : -Et ba ma salope ! 12 inconnus, une bite dans chaque trou et tu en redemandes !
-Tu es donc derrière tout ça ! Allez les gars baisez moi.
-Stop, elle va vous sucer, mettez-vous tous autour delle ! Jen ai besoin de soir !
Un des gars Elle ne mets pas beaucoup de cur à louvrage et lautre pourrait laider!
Fred : -Magali, si tu ne veux subir le même quEstelle pendant quelle bosse à ta place !
-Je préférerai quil me baise !
-ta gueule et suces !
Estelle sapproche, prend une queue en bouche et une autre dans chaque main. Les éjaculations senchainent, Magali prends exemple, elles vident les 24 couilles en un rien de temps.
Estelle : -Magali, maintenant tu veux quils te baisent ou tu viens avec nous se soir ? Si tu choisis de venir avec nous tu deviendras la soumise de Fred et sera à lui dès quil le désirera. Si tu les choisis eux nos routes se séparent ici, direction pôle emploi et ta petite vie merdique davant tu as une minute pour nous rendre ta réponse.
Tout le monde fixe la salope en attendant sa réponse.
— Les 2 ce nest pas possible ?
— non ils vont te démolir !
— Jaccepte alors, mais à une condition.
— Laquelle ?
— Je veux une double anale maintenant !
Fred OK mais pas maintenant, tinquiète pas, ce soir tu en auras plein le cul, on y va ! Estelle, les gars vont te déposer tu sais ce que tu as à faire. Et toi tu viens avec moi ?
-oui Monsieur.
-A+ les mecs on remettra ça.
Jattache une laisse en cuir à la chaine qui relie les pinces et emmène mon nouveau jouet.
Frustrée, Magali baisse la tête et suit son nouveau maitre.
-Fred, ça veut dire quoi être ta soumise ?
-Cest simple une semaine sur deux quand tu nas pas ta fille tu es à moi, tu es mon jouet.
-ça veut dire que vous allez me baiser ?
-ça dépend de toi ce soir.
-Comment ça ?
-Je veux que soit la plus spontanée possible et fait-moi confiance surtout.
-OK
Je monte ma chienne dans la voiture, elle est nue couverte de sperme et de sueur.
-On va aller chez moi te laver un peu tu ressembles à une trainée et garde la tête haute que les gens qui nous croisent, voient que tu nas pas honte de toi.
-Oui Monsieur.
Elle dû se faire violence pour soutenir le regard des autres mais une partie delle aimait ces regards, cet exhibitionnisme, mais jen suis supris.
En arrivant chez moi, cest nue tirée par la laisse que je lemmène dans ma demeure