Je m’appelle Nicolas, j’ai 22 ans et je vis avec ma mère, Marie 43 ans, et ma sur, Laura 21 ans. Ma mère est une très jolie femme, grande, de long cheveux blonds, s’habillant sexy. C’est une prof de math dans un lycée. Ma sur est infirmière, elle est un peu plus petite que ma mère, la plupart du temps elle à une queue de cheval brune. Quand elle travaille, elle porte une blouse toute la journée, c’est pourquoi, une fois à la maison, elle se promène, sans gène, en petite culotte et en nuisette.
L’histoire que je vais vous raconter à débuter il y a 5 ans. J’avais alors 17 ans, ma mère 38 et Laura 16. Ce jour là, Laura partait en voyage scolaire à Londres durant deux semaines, ce qui signifiait autant de jours de tranquillité car Laura et moi nous nous disputions pour un rien, par exemple débarrasser la table, ce qui avait le don d’agacer ma mère.
Après avoir laisser Laura à l’aéroport, ma mère s’installa à côté de moi sur le canapé. Nous regardâmes tous les deux la télé pendant un moment puis elle engagea la conversation :
« Bon, vu que ta sur n’est pas là, ça te dirai qu’on se fasse une bonne pizza ?
Oh ouais ! Chorizo ou quatre fromages ?
Hum… Les deux, m’a t-elle répondu avec son plus beau sourire. »
Elle enfila donc sa veste et partit chercher les deux pizza. La pizzeria était à 10 minutes de la maison, il avait donc une heure environ avant son retour.
Ne m’étant pas vider les bourses depuis un moment, l’idée de me masturber était très présente mais je ne voulais pas regarder une vidéo porno sur internet comme j’en avait l’habitude de le faire. Je voulais quelque chose de plus « réel ». Ayant à une période fantasmé sur ma mère, je me suis dit que je pourrai me vider en pensant à elle. Je me dirigeais donc vers son placard, pris un string et commença à le poser sur mon visage tout en caressant mon sexe. Rien qu’à la vue du string je bandais fortement. Il faut dire que j’étais encore puceau et que le moindre petit truc me faisais bander. Mais ce n’était pas assez excitant, je reposa donc le string et en pris un autre dans le bac à linges sales. Celui ci n’avait aucune odeur particulière sur la face avant mais une légère odeur d’anus sur la ficelle. Je reniflais à cet endroit là tout en me branlant. Cette odeur avait le don de m’exciter au plus au point. Je pensais à des choses que j’avais vu dans certain film mais là je les faisais à ma mère. Quand tout à coup, cette dernière entra dans ma chambre et me surpris queue en main. Elle était gênée, puis elle vu son string sur mon nez et poussa un cri, ferma la porte et s’en alla. Moi, choqué, avait débandé direct.
Un peu plus tard, je descendis dans le salon, je retrouvais ma mère qui regardait la télé. Sur la table les boites de pizza. Ce n’était pas les boites de d’habitude, elle avait dû aller à la nouvelle pizzeria du bout de la rue, ce pourquoi elle était rentré plus tôt. La honte m’envahissait, on n’osa pas se parler. Puis elle rompu le silence :
« Dis, tu pensais à moi quand tu te… ?
…Oui, répondis je timidement.
Et c’était la première fois en pensant à moi ?
Non… »
Cette interrogatoire était gênant.
« Tu t’es fini quand je suis parti ?
Non, j’avais trop honte.
On va devoir vérifier si tout marche alors.
Je n’en croyait pas mes oreilles, elle voulait que je me finisse devant elle ? Non, j’avais dû mal comprendre. Mais ces paroles là m’avait excité et je commençais à avoir une petite érection. Ma mère le vit de suite et posa sa main sur mon entre jambe. J’avais donc bien compris, je bandais dur comme fer à présent. Ma mère déboutonna mon jean, défit ma braguette et tira de toute ses forces mon pantalon pour me l’enlever. On voyait à présent le bout de mon gland qui dépassait de mon caleçon. Ma mère ôta ce dernier et commença à me caresser les bourses. Elle souriait. Elle empoigna ma bite avec son autre main et fit des va et vient au début très lent puis elle accéléra la cadence. Elle s’arrêta et me lécha les boules, puis ma bite de bas en haut pour arriver jusqu’au gland. Elle y déposa un premier coup de langue puis un deuxième. Ensuite, elle lui fit plusieurs petits baisés et le prit en entier dans sa bouche, puis me suça pleinement. Elle faisait des va et vient en tournant sa langue autour de mon gland. C’était sublime. Sa salive dégoulinait partout. Tellement excité, je ne pu me retenir plus longtemps. Tout le jus lui est rentré dans la bouche. Elle approcha son visage du mien, joua un peu avec le sperme, elle faisait des bulles, le recrachait dans la main et le reprenait, puis avala la semence. Elle me sourit, elle avait les yeux qui brillait, ses paupières clignaient magnifiquement bien. Elle approcha sa bouche de la mienne et m’embrassa. Nos langue ainsi que nos salives se mélangeaient. Je sentais un léger et bon goût de sperme. Elle se leva, me fit une bise sur la joue et me dit en chuchotant à l’oreille :
« Ça marche très bien tout ça. ».