Une petite confession. Aujourd’hui, je vous écris mon histoire, ou plutôt, mon expérience. Mon histoire est longue et ennuyeuse. Mon expérience, sensationnelle et honteuse. Mais j’ai besoin d’en parler, de vous en parler.
Je m’appelle Nathan. Étudiant de vingt-deux ans dans une branche informatique. Dans mon élément, j’ai réussi mon année avec succès, ayant des vacances sans étude. Un peu casanier et anciennement, très timide, j’ai eu très peu d’expériences à mon actif. À la lecture de la suite, vous comprendrez que je sois un peu perdu par rapport à ce qui m’est arrivé.
Depuis ma plus tendre enfance, j’ai toujours été curieux, ouvert sur bien des domaines de discussion, encore plus sur le sexe. Par hasard, vers la fin de mon adolescence, j’ai découvert la zoophilie à travers de vidéos. Je suis resté un certain temps à regarder des femmes se faire prendre par des chiens aux pattes habillées de chaussettes ou de femmes prenant les membres équins pour des godes charnels. J’y trouvais une grande excitation mais il manquait une certaine saveur. Un peu comme un gâteau sur lequel il manque la cerise. Un détail tendant vers la perfection. Mais cela me suffisait. Une fois la famille partie, j’allais sur mon ordinateur, baissant pantalon et boxer, m’asseyant sur ma chaise de bureau. Quelques vidéos plus ou moins artisanales et j’atteignais ce que je recherchais.
Pourtant, durant ce temps, je n’ai jamais porté un réel intérêt sur mes animaux à la maison. J’ai bien caressé la vulve de ma jeune chienne durant ses chaleurs. Mais là, j’avais déjà trouvé cette fameuse cerise et il m’a fallu un certain temps avant de le comprendre.
Après quelques mois de vidéos plus ou moins analogues, ma curiosité m’a porté vers la prise d’hommes. La fellation passait encore, ne me dégoûtait pas mais ne me faisait pas bander pour autant. Une sodomie canine sur un homme d’une trentaine d’années a éteint cette curiosité, ce n’était pas mon truc, ce n’était pas pour moi. De branlette en branlette, j’ai fini par chercher sur Internet et trouver des vidéos mettant en scène un homme actif, pénétrant l’animal. Je n’ai jamais autant ressenti de plaisir. J’en regardais de temps en temps, sans que cela devienne une obsession. C’est à partir de là que je caressais ma petite chienne durant ses chaleurs. Elle montait sur mes genoux et mes caresses glissaient vers sa petite vulve. Elle se frottait ou je la renversais sur le dos, rendant mes mouvements plus appuyés.
Un beau jour, comme tout autre jour, mes parents sont partis faire des courses ou aller à un rendez-vous. La raison importe peu. Ils étaient partis. J’avais envie mais savais qu’une énième branlette ne saurait pas me satisfaire. J’avais envie d’essayer. J’étais le sexe à l’air dans ma chambre et à ce moment, j’ai su que je ne voulais pas voir de vidéos. Je me rhabillais à la hâte et descendis les escaliers. J’avais également un labrador. Ou devrais-je dire, une. Encore jeune, deux ou trois ans. Un peu folle.
Je me rendis près des fenêtres donnant sur la rue, fermant les rideaux. Un peu d’intimité. Je fis mine de m’asseoir sur le canapé. Ma grande chienne venant près de moi. La petite dormant dans son panier. Je n’allumais pas la télévision, mon habitude lorsque je descendais dans le salon. Les seuls moments où je m’installais dans le canapé. Quelques caresses anodines. Je me redressais un peu, glissant sur ses flancs, la grattant, descendant toujours un peu plus jusqu’à son entre-jambes. J’étais gêné. D’un côté, ça me révulsait et d’un autre, je voulais continuer. Je pris sur moi pour continuer cette exploration, ne me demandant pas si elle serait accomplie jusqu’au bout ou non, voulant aller le plus loin possible. Elle tournait sur elle mais ne se déroba pas, m’offrant un accès plus facile à mes doigts, son derrière tourné vers moi, sa langue pendante.
Malgré cela, je ne me sentais pas des plus rassurés. Je savais que je ne pourrais pas être surpris, je n’avais pas cette appréhension-là. Je pense que c’était une petite désillusion. Je croyais que la frontière entre le voyeurisme de telles pratiques et la réalité était plus mince. Je ne bandais pas vraiment mais mon envie était là. J’avais chaud. Mon bas-ventre était chaud et le sien, aussi. Mes doigts osèrent enfin toucher ce sexe défendu. Il était un peu comme la vulve de la petite. Assez doux. Mon doigt trouvait facilement son entrée. Je sentis des fourmillements traverser mon corps. Je repensais à ces vidéos. Les doigts des hommes étaient plus assurés. Les miens, non. Ou plutôt le mien à cet instant. Je caressais dans de petits mouvements de va-et-vient cette vulve. Parfois, elle se retirait avant de me regarder et revenir quémander ces caresses intimes. Je pense qu’elle mouillait. À moins que cela soit une illusion de mon esprit. Mais une chose est sûre, elle aimait. Et j’avais envie de tester un peu plus. Je portai mon doigt à mes lèvres et le suçota doucement. Je ne sais pas comment vous décrire le goût. Pourtant, ce n’était pas désagréable. Fort et fin, à la fois. À petites doses, cela était un nectar et je ne devais même pas essayer plus car je savais que cela me dégoûterait. Les saveurs explosaient dans ma bouche, j’avais un peu plus de confiance dans ce que je m’apprêtais à réaliser.
Une fois mon doigt humidifié, je le glissais à nouveau sur la vulve de ma chienne. Un ou deux mouvements avant de le glisser lentement en elle. Ne vous détrompez pas, je n’ai pas réussi du premier coup. J’ai dû m’y reprendre plusieurs fois avant qu’il glisse bien en elle et qu’elle ne bouge pas. Les premières fois, elle s’écartait, léchant ma main et comme pour les caresses, demandant implicitement que je recommence. Je le sentais à sa chaleur, également. Mon doigt n’était pas entièrement en elle. Mais c’était bon. Pour nous deux. Je continuais quelques instants et m’étonnais de me retrouver si prude et pressé que dans mon adolescence. Très vite, j’abandonnais son sexe pour découvrir le mien. Il ne fallut que quelques instants et mouvements pour me rendre dur et j’invitais mon chien à venir près de moi, glissant mon sexe tendu près de son museau. Je pense qu’elle était tout aussi gênée que moi, si un chien peut ressentir cela. Elle ne savait pas comment réagir. Elle me donna quelques coups de langue dessus. Là où mes partenaires aimaient être proches de mon gland, la langue de Betsy, son nom d’emprunt dans le cadre de cette histoire, glissait vers la base, proche de mes testicules. D’autres sensations.
J’alternais entre mes mouvements de mains sur ma verge et ses coups de langue. Mais je voyais que cela n’était pas trop à son goût, préférant de loin les caresses que je lui procurais quelques instants plus tôt. Et je dois avouer que même moi, je préférais la chaleur de ses cuisses. Je me mis sur les genoux, droit, et le sexe dans la main. Je savais ce que je voulais faire même si mon assurance n’était pas encore rendez-vous, vestige d’une très grande timidité à peine révolue. Elle bougeait beaucoup. Non pour se débattre mais venir me lécher le visage, parfois le sexe et ma hâte renforçait mon impatience. Ma frustration descendant mon envie. Je la tournais pour avoir une vue sur son derrière. Sa queue était levée, me donnant une certaine vue sur son anus et plus bas, son vagin, même si la vue était plus limitée. Je pense que son jeune âge la rendait active et rester dans cette position sans que je lui procure des caresses la faisait marcher dans le salon, bouger. Je lui caressais donc l’encolure. Son péché mignon. Cela la calmait toujours quand elle était trop excitée et courait partout.
De mon autre main, je pris mon sexe et l’approchais doucement du sien. Je caressais son pelage, au niveau du sexe avant d’oser appuyer mon gland un peu plus et découvrir la chaleur de cette vulve et l’envie d’y pénétrer. J’avais peur. Peur de passer à l’acte. Je ne pense pas que cela était du dégoût. Plutôt la peur de transgresser un diktat de la société. Encore une fois, je prenais conscience que la frontière entre les vidéos devant lesquelles je me masturbais et l’acte était plutôt grande. Pour ne pas dire énorme. Je me sentais stupide. J’étais derrière elle, le gland posé sur l’entrée de son intimité et je n’arrivais pas à trouver le courage nécessaire pour atteindre la réalisation de ce fantasme. Je ne devais pas tarder. Je sais qu’elle ne sait pas rester en place, sauf quand elle dort. Lorsque mon sexe pressa contre le sien, dans le but de cette pénétration tant désirée, elle s’avança. Plus de surprise que de désagrément car elle lécha rapidement mon sexe, alimentant ce désir qui faisait rage dans mon bas-ventre. J’en avais vraiment envie. Je salivais sur ma main, me masturbant légèrement pour humidifier mon sexe. J’avais senti sa moiteur. Et comme son goût, cela me donnait vraiment envie. J’en perdais un peu la tête et tout ce manque d’assurance dont je faisais preuve précédemment.
Je la remis en position sans y poser mon gland. Mes doigts encore humides vinrent caresser sa vulve et je ne tardais pas à la pénétrer d’un doigt, plus assuré, plus glissant que le premier de tout à l’heure. Je la sentais un peu serrée, au début. Elle avait même glapi un instant avant de se laisser faire, semblant détendue. Un second doigt vint rejoindre le premier, plus difficilement mais néanmoins, sans devoir forcer ce passage moite. C’était assez étrange. Sur le moment, je n’avais pas comparé cela à mes expériences. Le sexe de Betsy était à la fois semblable et différent des autres sexes que j’ai pu doigter. C’était chaud et humide. Cela était excitant et sur le fond, ne différait pas du sexe d’une femme. Le changement le plus marquant, et peut-être celui alimentant mon envie de poursuivre, était la sensation d’aspiration, de contraction. J’avais l’impression qu’elle essayait de retenir mes doigts en elle et le plus fou est que j’adorais cette sensation.
Après quelques mouvements anarchiques et plaisants, mes doigts délaissèrent cet antre humide. Mon érection était présente. Mon sexe droit, raide. Je voulais jouir. Je devais jouir. Malgré mes caresses dans son cou, elle émit un petit son triste, propre aux chiens. Je ne sais pas comment le décrire. Je dois dire que je n’y ai pas porté vraiment attention dans ma hâte. Je glissais ma main libre sur mon sexe que je dirigeais à nouveau, mon gland contre sa vulve. Et cette fois, je ne manquais pas d’assurance ou de courage. Ma main ferme sur son cou, mon sexe la pénétrant lentement. Au début, elle voulait se retirer, comme le premier essai mais une fois le gland en elle, cette idée disparut. Je n’ai pas glissé entièrement dans son vagin. Je n’étais même pas sûr de pouvoir glisser jusqu’au fond. Il faut dire que la sensation de son intimité enserrant mon membre m’avait presque fait défaillir. Son corps tendu, sa langue pendante. Elle ne bougeait pas. Après quelques longues secondes d’attente, après ces longues secondes de familiarisation, j’osais de petits mouvements de bassin. Je glissais avec plus de mal mais chaque mouvement était intense. Mes mains posées sur ses flancs, légèrement redressé, je bougeais lentement, sentant ce plaisir monter dans mon bas-ventre, avec autant de chaleur et aussi rapidement que devant les vidéos, si pas plus. Il ne me fallut pas longtemps, peut-être quelques minutes, pour jouir, en elle. Deux puissants jets qui la firent sursauter et se retirer de mon sexe. Un orgasme épuisant. Haletant.
Je m’assieds au sol. Betsy se tourne sur elle-même, sa langue glissant sur son sexe, le léchant, le nettoyant. Assommé par la puissance de cet orgasme et par ce que je viens de pratiquer, je ne m’étais même pas rendu compte de l’ouverture qu’offrait son sexe. Je ne savais même pas quoi penser de moi. Je repris mes esprits quand je sentis une langue glisser sur mon sexe. La petite chienne s’était réveillée et nettoyait mon membre ramolli. Pris de honte, je me relevais, remontais boxer et pantalon sur mes jambes, en direction de la douche.
Depuis lors, je n’ai plus rien osé faire. Elle vient parfois demander des caresses. Je n’ai pas osé lui donner celles procurées en cet après-midi. Quand je suis seul, elle monte jusque dans ma chambre. Parfois je lui dis de redescendre, parfois non. De temps en temps, je me masturbe devant elle. Je n’ai pas encore osé franchir à nouveau ce cap. Vous comprendrez, lecteur, le sensationnel de cette expérience peu commune.