Ceci est une histoire entièrement vraie, il s’agit de la mienne… Le prénom et l’âge ont été modifié pour des raisons évidentes.
Une jeune fille de seize ans prénommée Sandra, reçoit en cadeau un ordinateur en récompense de ses bonnes notes. Elle découvre qu’elle peut parler au monde entier via Internet, qu’elle pouvait voir les films pour lesquels elle a un faible: les pornos. Et tout ça sans que personne ne s’en aperçoive!
Ainsi tous les soirs ou presque elle choisissait une vidéo pornographique et se doigtait devant. Elle n’imaginait absolument pas être l’une des protagonistes du film, elle aimait seulement se faire du bien "devant" des gens en pleine action. Un jour par curiosité elle change de catégorie, habituellement elle ne visionne que ceux dans la catégorie "amateurs" ou "en public", mais elle a l’envie de visiter celle intitulée "lesbienne".
Dès l’instant où elle vit pour la première fois deux femmes se léchant la chatte, elle fut prise d’un élan d’excitation tel que la pauvre fille n’en avait jamais connu. Elle crut même avoir atteint l’ultime palier de la jouissance: l’orgasme. Sandra était loin de se douter qu’il ne s’agissait pas de cette étape ultime mais seulement d’un bref aperçut de ce que pouvait être le Nirvana. Une nouvelle routine plutôt agréable commença.
Elle regardait un porno de ces premières catégories puis enchaînait avec des vidéos lesbiennes, en les voyant elle ne pouvait s’empêcher de glisser une main dans sa culotte et de se frotter vigoureusement le clitoris. Elle se fit gémir de plus en plus fort au point que ça devenait difficile de ne pas se faire remarquer par sa famille qui se reposait juste à côté!
Sandra était tellement excitée ce soir-là qu’un deuxième porno lesbien ne suffisait pas à la calmer, elle décida donc de laisser parler son excitation pour changer une nouvelle fois de catégorie. Elle découvrit alors celle qui montrait des jeunes avec des vieux, le plus souvent d’ailleurs des femmes matures avec des hommes ayant la vingtaine à peine passée.
Voir des femmes de quarante ans se faire limer la chatte par des hommes ayant l’âge de leur fils déclencha en elle une nouvelle étincelle lubrique, mais ce n’était toujours pas assez. Elle voulait toujours plus de plaisir, toujours plus de sexe controversé. Elle mit alors des vidéos de femmes matures ayant du plaisir avec des petites jeunettes de vingt ans.
Pendant un mois tel fut son plaisir, mais au bout d’un moment une certaine lassitude s’empara d’elle, alors elle rechercha de nouvelles "expériences sexuelles" sur la toile. Elle découvrit des "chatroulettes", elle se connecta très facilement, car comme pour les films pornographiques il suffisait de cliquer sur "je suis majeur(e)". Elle eut alors la connaissance d’un nouveau monde comme elle aimait l’appeler, c’était un endroit où des hommes derrière leur écrans réclamaient des seins, des chattes et des culs pour pouvoir se branler. Car en effet sur ce site on ne voyait quasiment que des bites plus ou moins attirantes et plus ou moins en érection. Elle aimait discuter brièvement avec ces mâles souvent ventripotents qui ne cessaient de lui demander de leur montrer son minou. Bien entendu Sandra n’était pas stupide et savait pertinemment que quelqu’un de son entourage pouvait s’y trouver et donc la dénoncer. Elle prit donc l’habitude de ne montrer que son joli abricot et si son interlocuteur insistait vraiment, sa poitrine mais sous aucun prétexte ils ne pouvaient apercevoir son minois.
Elle avait toujours adorée se montrer dans le plus simple appareil, ce qu’elle faisait dès que l’occasion se présentait, chez elle. Alors vous pouvez sans problème imaginer à quel point elle était excitée et heureuse de se montrer et surtout d’être regardée!
Ainsi une nuit elle était tranquillement sur ce site à chercher de nouveau voyeur quand elle tomba sur un Québécois. Ils sympatisent vite fait puis tout naturellement il réclama de voir son intimité ce qu’elle accepta immédiatement. Elle se positionna à quatre pattes sur son lit et présenta son cul à la caméra pour bien lui montrer, ce qui n’était pas chose facile du fait que la lumière de sa petite chambre était éteinte pour ne pas risquer de trahir son anonymat. Elle se retourna au bout de quelques minutes pour lui présenter le devant emprisonné dans un string et qui ne demandait qu’à en sortir, ce qu’elle fit sans tarder. Puis sans avoir besoin de rien réclamer elle se mit à frotter son pubis, à titiller son clitoris et enfin à s’enfoncer deux à trois doigts dans sa chatte trempée par l’excitation insoutenable de se masturber sous les yeux d’un inconnu. Cela était d’autant plus émoustillant pour elle qu’elle ne le voyait pas car il refusait tout simplement de se montrer.
Dès à présent les séances de masturbation sur ce site remplacèrent bien vite la routine de visionner des films pornographiques accompagné de caresses intimes.
Tel est l’histoire de Sandra seize ans qui se déclare elle-même la pute de l’Internet.
