On me demande de partager une histoire à trois, et bien que j’en ai plusieurs, une plus particulièrement, m’a donné beaucoup de plaisir. Il est vrai qu’avec Dany, je n’ai pas encore eu l’occasion d’essayer, bien que je ressente qu’elle en ai très envie. Après tout elle est bi et c’est normal d’avoir besoin d’un homme. Dans mon histoire précédente, avec ma mère et mon mari, l’idée à fait son chemin.
Je vivais donc seule depuis plusieurs mois, j’avais changé de région, avait des aventures avec des femmes. Je m’épanouissais et me trouvais bien dans ma peau. Ma profession me permettait de faire beaucoup de rencontres, et de découvrir de nombreuses femmes qui, même si elles ne se l’avouaient pas, souhaitaient des expériences homo. J’habitais avec ma fille un pavillon dans la banlieue d’une grande ville, et avait un voisinage très BCBG. J’avais sympathisé avec un couple qui habitait non loin de chez moi. Ils étaient plus âgés que moi, et nous nous rencontrions assez souvent. Lui était un homme plus âgée qu’elle, très bien physiquement, et très sportif. Le bel homme de 45 ans. Elle, la gravure de mode, grande, brune aux cheveux longs, yeux bleus verts, une magnifique poitrine et des jambes interminables. Elle avait 35 ans, femme active, directrice d’une agence, et toujours habillée très chic et sexy.
Chaque fois que nous nous rencontrions, je craquais, et je fantasmais sur elle. Combien de soirées j’ai fini à me masturber, ou quand l’occasion se présentait, je faisais l’amour à une autre, en pensant très fort à elle. Ils étaient au courant de mon homosexualité, ne voyant que des femmes chez moi, et n’y prêtaient aucunes attentions. Des vrais amis, sans jugements ni préjugés. Je désirais cette femme plus que tout, bien qu’elle m’est répétée plusieurs fois qu’elle n’avait rien contre les lesbiennes, elle aimait trop les hommes pour franchir le pas. Cela m’a toujours fait sourire, mais là c’est un point de vue personnel.
Le soir de mon anniversaire, je les avaient invité avec quelques amis, afin de fêter mes trente ans. Quand ils sont arrivés ce soir la, les bras m’en sont tombés, tant je l’ai trouvé attirante. Elle portait une robe noire croisée fermée par une boucle, , et qui s’ouvrait largement à chaque pas qu’elle faisait. Ses jambes gainées de bas noirs très fins, tenus par un fin porte jarretelles. Un décolleté vertigineux, on devinait sa généreuse poitrine libre, qui n’avait nullement besoin de soutien gorge. Sa robe était suffisamment moulante pour faire ressortir son joli petit cul, et bien dessiner toutes ses formes. Je lui aurait sauté dessus sur le champs si nous avions été seules.
Elle arborait un sourire radieux, et ses yeux brillaient de mille feux. Je me suis approché d’elle pour lui déposer un baiser sur la joue, et je n’ai pas pu m’empêchée de lui murmurer à l’oreille.
— Je vois que tu as déjà pris un acompte, j’espère que cela en valait la peine.
— Un goût de trop peu. Me répondit elle en me rendant mon baiser.
Cette fois l’envie était devenue trop forte, il fallait que je lui donne du plaisir à tout prix, que je la serre dans mes bras et que je la fasse jouir.
La soirée se déroulait agréablement, le champagne coulait à flot, et le traiteur m’avait fourni un buffet froid copieux et délicieux. Les invités semblaient s’amuser, et vint le moment d’ouvrir les cadeaux, nombreux et diverses que mes amis m’offraient. Dans le lot, il y en avait un de très spécial, et qui je dois le dire m’a vraiment touché. C’était un gode ceinture double, de belle taille, bien dessiné, et qui de plus était vibrant pour la partie destinée à celle qui le portait. Sur l’emballage il y avait une petite carte ou j’ai pu lire ces quelques mots.
" Joyeux anniversaire de la part de d’Émilie et Denis.
Ce n’est qu’une partie et nous comptons sur toi pour venir chercher la suite. Gros bisous."
J’ai relevé la tête et mes yeux ont croisés ceux d’Émilie. Elle avait un grand sourire, et me fit un clin d’il complice. Mon cur à sauté dans ma poitrine, et je me suis fait violence pour ne pas lui sauter dessus. Je suis allée les remercier, et son baiser c’est porté sur le coin de mes lèvres. Denis était vraiment un gentlemen, car bien qu’il s’en soit aperçu, n’a pas sourcillé.
Le reste de la soirée s’est terminée assez tard, et vers les une heure du matin, les invités ont commencés à partir. Nous sommes donc restés seuls tous les trois et le silence s’est installé dans la maison. Denis s’était installé dans un fauteuil et dégustait un digestif. Emilie était debout devant le canapé et semblait attendre quelque chose. Je la sentais gênée, et son sourire était un peu figé. J’ai tamisé la lumière, et je me suis approchée d’elle lentement. Je lui ai pris la main et l’ai fait tourner comme pour une valse. Je l’admirais et je ne pu m’empêcher de lui dire.
— Tu es absolument magnifique, et tu me rends folle.
Je lui ai posé la main sur la hanche et l’ai attirée vers moi. Nos poitrines sont entrées en contact et je l’ai serrée plus fort contre moi. J’avais le cur qui palpitait fort dans la poitrine. Une de mes mains est remontée dans son dos, pendant que l’autre descendait sur sa croupe. Nos lèvres se sont jointes et nos langues se sont enroulées dans un baiser passionné.
Je me suis légèrement écarté et ai posé mes mains sur sa magnifique poitrine, cherchant les tétons pour les faire rouler sous mes doigts. Je n’ai eu aucune difficulté à les trouver, ils étaient déjà dressés par l’envie. Ses yeux étaient clos, sa respiration s’accélérait et elle a posé ses mains sur les miennes. j’ai posé mes lèvres dans son cou, et je l’ai effleurée de l’épaule jusqu’à l’oreille.
J’essayais d’avoir les gestes les plus doux, malgré mon envie de la violer sur place.
Denis s’est levé et positionné derrière elle, ses mains se sont posées sur ses hanches et il l’attira vers lui. Elle s’est laissé aller, et sa main s’est posée sur la bosse qui déformait son pantalon. Elle le massait doucement et il l’embrassait tendrement dans le cou.
Mes mains ont parcouru son corps, ses cuisses, ses fesses. Je me suis arrêtée pour m’attaquer à la boucle qui retenait sa robe fermée. Sa robe s’est ouverte et Denis l’a fait glisser et tomber sur le sol. Je pouvais enfin admirer son corps de déesse, sur lequel j’avais si souvent fantasmé.
J’ai posé mes lèvres sur ses tétons que j’ai aspiré, et ma langue en a fait le tour. Elle a laissé échapper un râle et sa main est venue écraser ma tête contre son sein. Denis avait ouvert son pantalon et elle faisait aller et venir sa main sur sa queue.
Je suis descendue doucement le long de son ventre, lui prodiguant des baisers et ai enfoncé ma langue dans son nombril. J’ai continué mon chemin et me suis retrouvé accroupie, la tête au niveau de son pubis. Mes mains se sont posées sur ses cuisses, et j’ai commencé à les caresser doucement, tout en les embrassant tendrement. Elle écartait les jambes, pour laisser passer ma tête, et je pouvais poser mes lèvres à l’intérieur de ses cuisses, là ou la peau est la plus tendre et la plus douce. Denis lui avait saisi les seins qu’il triturait et leurs bouches étaient soudées. Je lui ai posé une jambe sur le canapé et j’ai pu avoir accès à sa chatte. Ma bouche est entrée en contact avec sa vulve, à travers son string. Sa main accompagnait toujours ma tête qu’elle me plaquait contre son ventre. Sa respiration était devenue haletante et son bassin remuait lentement.
Je me suis déshabillée, la bouche toujours posée sur sa chatte et me suis retrouvée nue en un temps record. Denis l’a allongé sur le canapé et lui a calé la tête avec un coussin. Elle était magnifique, offerte, consentante, et prête à m’offrir son corps. Je me suis jetée sur sa bouche, les deux mains sur ses seins. Je l’ai couverte de baisers, de son cou à ses cuisses. Je lui ai fait glisser son string le long de ses jambes et ai pu enfin profiter pleinement de l’objet de mes désirs. Ma bouche s’est emparée de sa chatte juteuse et parfumée, et mes doigts se sont insinués dans tous les trous humides qu’ils rencontraient. Son bassin ondulait sous mes caresses et j’entendais ses ronronnements ininterrompus.
Denis s’était agenouillé à coté d’elle, lui caressait et suçait les tétons. Deux de mes doigts avait trouvé sa rosette et je commençais à la forcer. Ses jambes s’écartaient de plus en plus et elle se cambrait pour faciliter la pénétration. J’ai fait entrer un puis deux doigts dans son anus et me suis mise à lui aspirer le clito, que j’excitais avec ma langue. Ses mains posées sur ma tête me plaquèrent contre sa chatte, son corps s’est tendu comme un arc et son cri à rempli la pièce. Je me délectais de sa cyprine qui coulait et m’appliquais à lui nettoyer sa jolie chatte. Elle est retombée, le souffle court, me caressant la tête avec beaucoup de douceur. Denis l’embrassait tendrement, lui caressant toujours un sein.
Je me suis dégagée, levée et ai récupérée le cadeau qu’elle m’avait fait. Je tenais à ce que se soit elle qui en ai la primeur. Je l’ai ajusté à ma taille et l’ai enjambée, cherchant sa bouche pour l’embrasser. Elle a ouvert les yeux, m’a souri et m’a dit.
— Que s’était bon, j’aurais jamais cru.
— J’ai envie de te prendre maintenant et de te faire jouir.
— Oui! Me dit elle, prends moi, c’est ton cadeau, profites en, prends du plaisir.
Je me suis installée entre ses jambes, saisi le membre dur et l’ai frotté contre sa chatte pour le lubrifier. Elle s’est ouverte et s’est remise à mouiller abondamment. J’ai commencé à le faire pénétrer doucement, millimètres par millimètres, jusqu’à ce que mon pubis entre en contact avec le sien. Elle avait le souffle court et ses mains se crispaient sur mes hanches, m’attirant en elle.
J’ai commencé un lent va et vient et la partie du gode dans ma chatte, me prodiguait une sensation extraordinaire.
Denis, de son coté lui avait posé son sexe sur ses lèvres, et je voyais sa langue exciter le bout de son gland. Elle a ouvert la bouche et il l’a pénétré très profond, engloutissant presque tout son son membre. Sa main est venue enserrer la tige de chair, et elle s’est mise à le masturber avec beaucoup de plaisir.
Je l’a pénétrais de plus en plus profondément, je sentais monter le plaisir, et les mouvements de son bassin s’accéléraient. Je me plaisais à faire ressortir mon jouet de sa chatte pour mieux la pénétrer et chaque fois, je lui arrachais un cri étouffé par la queue. Ses mouvements devenaient de plus en plus désordonnés et je sentais que l’issue était proche. Denis s’est retiré de sa bouche et lui a permis de reprendre un peu de son souffle, pour le dernier galop. Je me suis accrochée à ses épaules et ai amplifiée mes mouvements. Elle s’est tendue, ses jambes se sont resserrées autour de ma taille, son ventre a été pris de convulsions, et un râle puissant est sorti de sa gorge. j’ai eu l’impression que cela durait une éternité.
Elle avait son premier orgasme avec une femme.
Je me suis retirée d’elle, assommée par le plaisir que je venais de prendre, et essayais de reprendre mon souffle.
Denis la contemplait, un large sourire sur les lèvres.
Elle est revenue lentement sur terre, m’a regardé, m’a souri, et a balbutié.
— Oh! Mon dieu, quel plaisir, c’est ton anniversaire, et c’est toi qui me fait un cadeau.
— Non c’est toi, depuis le temps que je te voulais.
— Je sais, je n’étais pas chaude, mais Denis à su me convaincre. Je ne regrette pas, au contraire, c’était vraiment merveilleux.
Nous nous sommes tendrement embrassées, et mes mains ont parcourues son corps me délectant de sa peau douce.
Je venais de réaliser mon fantasme, et la nuit n’était pas terminée. Denis à pris beaucoup de plaisir à faire l’amour à sa femme, et elle a su se partager entre son mari et moi, pour son plus grand plaisir.