Cette histoire vraie sest déroulée il y a 20 ans environ.
Deux surs Samantha et Élisa, toutes les deux 1,70 m, cheveux longs, châtain clair, Samantha les yeux verts, tandis quÉlisa, elle, a les yeux marron. Elles ont respectivement 20 ans et 22 ans, et vivent ensemble dans un appartement pas très loin de chez leurs parents. Cette fois, elles partent en vacances toutes les deux, pour la première fois, par un chaud mois daoût, vers une petite crique du sud de la France, crique difficile d’accès, ce qui explique qu’il n’y a en plein été que 4 baigneurs au km de plage. Depuis le début de leur vie à deux elles se sont rapprochées, intimement, et sont devenues gouines puis lesbiennes, et elles fonctionnent comme un couple hétéro, plus pucelles depuis que papa est passé par tous les trous avec le consentement des deux intéressées. Elles font souvent l’amour entre elles, rien que toutes les deux, jusqu’à ce que un soir, en promenant ma jument sur la plage, elles me remarquent, un regard, un sourire, une parole, sympa, et le courant est très vite passé entre nous.
" Elle est magnifique ta jument ! "
" Merci…
" Tu viens souvent dans le coin ? Nous, c’est la première fois".
"Non je ne viens pas souvent mais à partir de maintenant, si vous venez tous les jours, alors je ferai de même…"
Deux belles sirènes comme vous, deux, je ne vais pas me priver d’une telle joie pour les yeux, et si vous avez le temps maintenant, vous pouvez m’accompagner chez moi, c’est cette villa là-bas ; je la leur désignai en tendant le bras dans la direction. Elles acceptèrent avec enthousiasme ma proposition.
Une fois installés sur la terrasse, nous avons beaucoup discuté, et je les ai fait beaucoup rire, c’est cela le secret d’une bonne entrée en matière. Au bout d’un moment la conversation ayant dérivé sur le sexe, j’ai risqué une main sur la cuisse de Samantha ; voyant qu’elle ne me repoussait pas, je fis la même chose à Élisa ; pour toute réaction, Élisa me demanda : "Tu en as envie, hein ? de moi ou de nous deux ?
"De vous deux, les belles princesses, de vous deux" ; ma réponse étant juste un murmure à peine audible.
Déjà, la main de Sam se promenait sur la bosse qui déformait mon maillot ; sans aucune pudeur, je retirai ce maillot libérant mon phallus fier comme Artaban, dur comme du béton armé. La vue de cette énorme trompe les fascina toutes les deux.
Une bite comme cela ne se refuse pas, dit Élisa et, depuis papa, je n’en ai pas connu d’autre. Sam avait commencé à me caresser la queue, faisant déjà de petits va-et-vient, puis elle me pris en bouche pendant quÉlisa me léchait les bourses ; j’étais aux anges, deux langues très actives et adroites rien que pour moi ; c’était tellement bon ! Pas question de jouir tout de suite !!!
"Dieu que c’est bon, mes petites salopes, comme vous sucez bien ; continuez, hummmm, oui, comme ça, haaa oui …
Manifestement elles prenaient beaucoup de plaisir à me manger le chibre, j’avais envie de faire des choses porno avec ces deux chaudasses, de la sexualité un peu sale sans que cela soit odieux ni humiliant pour elles comme pour moi ; je finis quand même par lâcher de longs jets de foutre onctueux et chaud sur leur corps, le visage , les seins, le ventre, de partout ; et, à mon plus grand plaisir, elles se nettoyaient mutuellement ; quel bonheur de voir deux filles lécher le foutre de leur mâle sur le corps l’une de l’autre.
Puis, après les hors d’uvres, vint le moment où les choses sérieuses commencent : les feux jouissifs momentanément tranquilles, je pus m’adonner à mon art favoris, les caresses bucco-génitales ; j’avais pour moi deux bouches, deux langues, quatre seins et tout en double et, malgré que ce soit des surs, elle étaient différentes mais aussi bonnes l’une que l’autre et, à tour de rôle, je tétais ces magnifiques seins, enroulant ma langue sur ces pointes roses, titillant et mordillant gentiment ces mamelons, caressant et malaxant doucement les globes mammaires. La pièce était remplie de petits cris et de gémissements de plaisir intense. Ces magnifiques seins 95 B et 95 C, je crois, se dressaient fièrement, et la lueur blafarde de la fin de journée leur donnait une teinte surréaliste, style fantomatique, ce qui mexcita encore plus ; une fois ces poitrines dures comme de la pierre, fièrement dressées, à la fois souples et chaudes, je parcourus ces deux corps luisants de sueur, jusque dans les tréfonds de leurs intimités. Les deux belles, les jambes relevées, écartant les cuisses, ne demandaient qu’une chose, mais avant tout, la perfection de mes cunnilingus oblige, il fallait que je les fasse jouir avec la langue comme jamais elles ont joui, et personne ne pourra jamais les faire jouir comme je sais le faire ; j’ai appris cette technique avec ma tante avec qui je couchais de temps en temps ; pendant deux jours, elle me fit lécher sa chatte pour que je devienne le meilleur cunilinguiste du monde ; je crois que je suis parvenu proche de la perfection ; maintenant leurs chattes coulaient à flots, de la pisse ? Non, bel et bien de la cyprine, une telle quantité, phénoménal ! Hallucinant ! Je n’avais qu’une chose à faire, lécher et avaler tout ce nectar, ce jus de femelles en chaleur ; le fait de passer une main dans leurs entrejambes, elle ressortait littéralement inondée de liquide jouissif ; je pratiquai cette extraction de jus pendant un temps infini, les embrassant avec leur jus plein la bouche ; elles goûtèrent leur cyprine qu’elles connaissaient parfaitement ; plus de gémissements, plus de petits cris, que de longues clameurs de libération, après un puissant orgasme ; l’une après l’autre, elles memportèrent dans un 69 qui me libéra les bourses d’une accumulation de sperme prêt à gicler, à chaque instant, des couilles énormes tendant démesurément mon scrotum. Je pus gicler enfin dans deux bouches qui se disputaient à qui goberaient le puissant jet de foutre de l’instant présent ; durant quatre heures, avec des préliminaires à n’en plus finir (comme j’aime), dans un mélange de sueur et de liquides séminaux, une odeur de foutre et de cyprine emplit la pièce ; je ne saurais dire la quantité dhormones du plaisir qui sest libérée, mais sûrement beaucoup…
La suite plus tard ; je suis fatigué !