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Le tribunal – Chapitre 1

Le tribunal - Chapitre 1



Vous êtes condamné à une peine de transformation de 36 mois !

A l’énoncé de la sentence, je m’effondre dans le box et les policiers sont obligés de me soutenir.

— Non, pas ça, s’il vous plait, je suis désolé, je m’excuse… Pas ça… Pas ça

Je croise le sourire narquois de la plaignante Sophie. Je détourne les yeux.

C’est vrai que j’avais déjà frôlé plusieurs fois la peine de transformation et que les juges m’avaient déjà condamné plus légèrement précédemment en me signalant que toute récidive entraînerait une peine de transformation.

Mais quand j’avais vu Sophie dans ce bar, toute mignonne dans sa petite robe noire pailletée et son haut rose satiné, mon instinct avait dicté ma conduite. J’avais été lourd et malgré plusieurs « Non » très clairement exprimés par Sophie, j’avais posé mes mains sur ses fesses… Le patron avait immédiatement appelé la police. Et les enregistrements vidéo du bar avaient permis à l’avocate de Sophie de se régaler à l’audience.

J’avais déjà vu des transformés dans la rue ou dans des reportages sur l’holotélévision. Mais j’avais toujours pensé que cela ne pouvait pas m’arriver…

Depuis plus de 10 ans, cette "avancée" médicale avait permis de mettre quasiment un terme au harcèlement sexuel qui avait gangrené les relations homme/ femme dans les années 2000.

Juste après la sentence, les policiers m’avaient emmené à l’hôpital spécialisé dans les transformations, un bâtiment de cinq étages situé au milieu dans beau parc en dehors de la ville.

J’eus accès à une chambre située sur l’arrière du bâtiment et dès le lendemain, je rencontre le Dr Simonin.

— Nous allons réaliser une série de tests physiologiques et psychologiques pour déterminer le meilleur et plus rapide chemin pour vous amener à une complète transformation. Si vous coopérez, le processus se fera sans contrainte mais si vous résistez ou devenez violent, nous serons obligés d’utiliser des méthodes disons … plus expéditives. Avez-vous compris ?

— Heuuu oui, je pense, mais je voulais vous dire que je regrettais vraiment mon geste, pouvez-vous m’aider à sortir d’ici ?

— Non jeune homme, quand vous sortirez d’ici vous serez disons… Différent et le regard que porteront les hommes sur vous le sera aussi. Je sais que vous imaginez que vous ne finirez pas comme les transformées que vous avez croisées et peux être utilisé, mais perdez tout espoir….. Vous finirez par sucer des bites sans renâcler

— Mais je ne suis attiré que par les femmes !

— Nous allons nous charger de ce détail !

Je suis raccompagné dans ma chambre puis l’on vient rapidement me chercher pour m’emmener en salle de test.

Je réponds sur un ordinateur à une série de questions d’apparence anodine, puis la seconde série est plus orientée sur ma sexualité ; avez-vous déjà fantasmé sur les hommes, avez-vous déjà eu des rapports avec eux ? Avez-vous déjà porté de la lingerie ? Etc…

Ensuite, on me branche sur un appareil captant mes réactions émotionnelles et l’on me présente des photos de femmes et d’hommes dans des positions sexuelles explicites.

Pour finir une batterie de prélèvement sanguin complète cette journée.

Dès le lendemain, je suis de nouveau devant le Dr Simonin

— Voilà nous avons le résultat de vos tests. Pour résumer, vous êtes très hétérosexuel et donc le traitement va devoir être fort et rapide pour que vous soyez prés dans deux ou trois mois…

Je me mets à pleurer

— Voyons voyons, cela ne va durer que 36 mois… Sauf si vous souhaitez rester transformé par la suite, cela arrive souvent ! Pour résumer, vous allez recevoir des doses massives d’hormones pro activées, nous allons détruire vos envies masculines, implanter des comportements de belle salope servile au service des hommes, un training sur le comportement et les habitudes féminines, puis une chirurgie pour finaliser le tout. Bonne chance à vous !

En rentrant dans ma chambre, je trouvais sur le lit, un ensemble de lingerie sur le lit, une jupe, un chemisier et des escarpins

Je reste interdit devant ces vêtements, je sais ce qu’ils veulent mais je ne suis pas prêt.

Je les range dans le placard.

Le lendemain matin, l’écran de contrôle situé dans ma chambre me demande de me rendre dans la salle d’étude.

Dès que je pousse la porte, je sens le regard furieux de l’enseignante.

Je vois que les autres hommes sont déguisés en femmes, ils ne ressemblent pas à grand-chose et ont l’air pathétiques.

Le prof prend son téléphone et passe un appel.

Quelques minutes plus tard alors que je suis toujours interdit à la porte de la classe, deux molosses arrivent et me prennent par les bras.

L’un deux me pique avec une seringue et je sens ma volonté disparaître en quelques secondes

Ils me ramènent à ma chambre

— Allez ptite pute, enfile tes habits de salope.

Je me déshabille devant eux et je mets la culotte satinée et le soutien-gorge avec difficulté, je passe ensuite la jupe, le chemisier et enfin les escarpins.

Je me sens miteux et ridicule mais les deux gaillards me regardent avec envie.

— Mets-toi à genoux !

Je m’exécute et je vois l’un deux baisser son pantalon et s’approcher de moi avec sa bite à demi gonflée devant ma bouche.

— Suce-moi !

Comme je renâcle, il me met une grande mandale, je me mets à pleurer. Son collègue m’attache les mains dans le dos. Je suis sur mes genoux, habillé en femme, je sens son gland contre mes lèvres.

— Allez, ouvre que je me mette au chaud !

J’entrouvre la bouche et il pousse encore plus. Je sens son gland à l’intérieur comme un gros bonbon. Puis il s’enfonce à me faire hoqueter.

— Allez fait moi du bien

Son copain pousse ma tête vers le pubis de l’autre. J’ai des larmes qui coulent tant son chibre va loin

Je le sens gonfler et se tendre.

— Allez, bouge, sois une bonne pute. Viens chercher mon jus.

Je ne fais pas grand-chose mais à eux deux ils me font coulisser sur la bite du premier. Je sens sa raideur prendre de l’ampleur. Ça tape sur ma langue, sur mon palais avant de s’enfoncer vers ma gorge.

— Dans quelques jours tu nous prendras jusqu’à la garde ma belle. Après quelques minutes de ce traitement, je vois la veine de mon bourreau se gonfler sur son tube. Il gémit et je sais ce qu’il va se passer…

J’ai envie que cela se finisse car j’ai mal aux mâchoires, je commence à y mettre du mien, à bouger ma tête seule, à le regarder dans les yeux et à faire semblant de gémir aussi

— Haaaa c’est bien ça, tu es douée !

Il m’agrippe la tête, pousse sa bite au fond de ma gorge et je sens son sperme gicler dans ma bouche. C’est pâteux et gluant, il me remplit bien la bouche l’enfoiré et il me force à avaler.

Je déglutis sa purée avec une envie de vomir. Il sort de ma bouche.

— Nettoie-moi !

Je passer ma langue sur son phallus.

— Bien tu peux retourner en classe. Demain si tu ne veux pas te prendre une giclée de plus que ce qui est prévu au programme, habille-toi directement avec ce qu’on te donne.

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