Salut c’est votre folle de Lycra
Dans les épisodes précédents je vous expliquais comment mon chef au boulot, Thierry, avait fait de moi sa petite soumise obéissante et offerte. En 2 ans avait fait de moi sa petite salope totalement à sa merci.
Au bout de 2 ans il m’a invité à me défaire de mon appartement pour venir vivre avec lui dans son bel appartement.
Il m’a expliqué qu’à partir de maintenant je vivrai en femme chez lui une chambre pourrait qu’il me rémunérerait pour mes prestations…
C’est ainsi que le weekend d’après je me débarrassais de tous mes meubles en les donnant à droite à gauche et que j’emmènageais avec le reste de mes vêtements masculins mais surtout de ma garde-robe féminine.
Ma chambre était grande accueillante mais surtout féminine tout était axée autour de la femme ce que j’appréciais c’était la petite salle de bain qui y était accollée.
Maquillages et parfums était disponible au-dessus du petit lavabo.
Décidément il avait tout fait pour entretenir mon côté féminin et je dirais même le développer.
Il m’a expliqué que dorénavant quand je serai chez lui je ne serai qu’en femme, autant vous dire que mon côté masculin allait en prendre un coup.
Le premier soir dans ma nouvelle demeure, il va de soi que j’ai une droit d’être honorée comme il se devait.
Déjà le soir à l’heure du repas alors que nous étions à table à plusieurs reprises il m’a donné son sexe à sucer.
Par moment à force de le sucer je me demandait quand est-ce que son sexe débandait.
En même temps c’était flatteur cela voulait dire que je lui faisais de l’effet et qu’il adorait mes prestations buccales.
Une fois le repas terminé nous nous sommes retrouvés dans le canapé à regarder la télé ; ce qui devait arriver arriva rapidement je me suis retrouvée à lui faire une bonne pipe.
C’était vraiment agréable d’être traitée comme une femme déjà que j’étais habillée en femme…
Ce soir-là la télé je ne fit que l’entendre je ne l’ai pas vraiment regardé.
Au bout de 10 minutes de ma prestation il c’est complètement déshabillé et m’a fait venir me mettre à genoux face à lui à cheval sur ses cuisses ou plutôt le haut de ses cuisses…
C’est ainsi que nous deux sexes se sont retrouvés collés l’un à l’autre c’est une position que j’adorerais juste pour ça ou plutôt entre autre pour ça.
Thierry a joué avec nos deux sexes en y déposant régulièrement de la salive, puis il s’est un peu laissé descendre.
Je savais ce qui allait se passer et je me suis laissé faire, quelques minutes après je sentais son sexe forcer l’entrée de ma chatte.
Il n’a pas eu longtemps à forcer et il s’est glissé en moi; moi qui t’ai donné sa femme je prenais plaisir à être traitée ainsi.
J’adorerais être sur lui, le sentir me pénétrer et pouvoir l’embrasser en même temps.
Il me tenait fermement par les hanches pour donner le rythme et en même temps il m’embrassait goulûment mais amoureusement.
Je contractais ma chatte pour mieux sentir son sexe coulisser en moi, pendant que lui faisait attention à se retenir le plus possible pour faire durer le plus longtemps le rapport.
Il était maintenant pratiquement allongé sur le canapé et je le sentais contracter ses cuisses pour elle est plus profondément en moi, cela me donnait l’impression qu’il me soulevait avec son sexe.
Il m’arrivait de temps à autre d’entendre une personne parler dans la télé mais j’étais quand même plus concentrée à me faire baiser et surtout donner du plaisir à mon homme.
Thierry appréciait beaucoup que je me concentre à 100 % pour lui donner du plaisir.
Je n’ai pas dû attendre la fin de l’émission en prime time pour que mon homme me Balance toute sa liqueur en moi.
Il est encore resté quelques minutes en moi histoire de se vider complètement au fond de mon boyau.
Ensuite nous sommes allés nous coucher dans le lit conjugal.
Il n’aimait pas que je me douche avant que j’aille me coucher car il préférait que je sente le sexe, car effectivement je sentais le sexe mais c’était l’odeur de son sexe.
C’était une façon supplémentaire de montrer que je lui appartenait.
Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.
Durant la nuit il est venu se coller dans mon dos, c’était très agréable car je sentais son sexe; j’ai même eu le droit à de doux baisers dans le cou.
Au petit matin quand j’ai ouvert un il j’ai constaté que mon homme était déjà levé, en même temps il était presque 10h.
J’ai enfilé une longue et douce robe 95 % viscose et 5 % élasthanne, elle me servait de chemise de nuit et je me suis rendue à la cuisine.
Thierry était là, il s’occupait, il est venu me caresser les fesses et m’embrasser fougueusement.
Dans la seconde qui suivait j’avais la Gaule…
Après de nombreuses caresses précises et un roulage de pelle en règle il m’a fait agenouiller pour que je lui taille une pipe.
Il est vrai que au bout de plus de 2 ans j’avais pris grand plaisir à faire des fellations et avoir son sexe dans la bouche, lui caresser avec ma langue la base du prépuce là où il était le plus sensible.
J’adorais cette position où j’étais agenouillée devant lui et il me tenait la tête pendant qu’il me baisait la bouche.
C’est lui qui contrôlait le mouvement, qui donnait le rythme; je me sentais vraiment sa soumise dans ces moments-là, j’adorerais.
Il a fait attention à ne pas partir en moi ensuite nous avons pris notre petit déj en amoureux comme le ferait un jeune couple d’amoureux un dimanche matin.
Meme à table je ne débandais pas car il passait son temps à me caresser toujours sur les parties les plus sensibles.
Une fois le petit déj fini, la table débarrassée, il m’a allongé là sur la table face contre table m’a fait écarter les jambes.
Mes petits seins étaient plaqués contre la table, c’était très agréable.
J’aimais vraiment me laisser faire et m’offrir à lui.
Il a juste déposé une petite noix de salive sur mon petit trou avant de me pénétrer assez sauvagement je le reconnais.
Ensuite il s’est mis à me ramonner tout en douceur, me maintenant fermement par les cheveux et me claquant les fesses de temps à autre.
J’étais vraiment à sa merci, à sa disposition et ça c’était une sensation que j’adorais.
Au bout de 15 minutes je l’ai senti se contracter et une claque magistrale est venue s’écraser sur une de mes fesses puis il s’est vidé en moi, il m’a balancé la purée.
Il venait de me féconder pour la journée.
Je me sentais sa poupée gonflable du solitaire, la chèvre du légionnaire mais je me sentais bien.
Il m’a collé un gros tampax dans le cul car comme il m’a dit "il fallait que je garde sa semence en moi’.
Mes conditions de vie chez lui étaient fort acceptables et je ne regrettais pas du tout d’être venue vivre dans son bel appartement spacieux.
C’est le ventre plein de mon petit déj et rempli de la semence de mon homme je suis repartie dans ma chambre.
Je me suis allongée sur mon lit et me suis endormie toujours avec la Gaule.
Vers 13h Thierry a frappé à ma porte, je lui ai ouvert et quelle ne fut pas ma surprise et ma honte de le voir en galante compagnie.
Il m’a dit
-"je te présente Marie elle est lesbienne mais aimerait se faire féconder, mais elle n’accepte de se faire que féconder que par une fiotte travestie bien membrée".
-"Jusqu’à maintenant tu étais ma pouliche j’étais ton étalon, aujourd’hui pour l’après-midi tu vas être l’étalon de Marie"
Il est vrai que voilà bien longtemps maintenant je prenais très grand plaisir à pénétrer et honorer une femme; je prenais d’autant plus de plaisir quand elle était belle, comme Marie.
Marie était grande et belle, jamais je n’aurais crû une seconde qu’elle était gougnotte; c’est sa compagne qui devait avoir de la chance.
Elle était on ne peut plus féminine du haut de son mètre 75 me semble-t-il, perché sur ses petits escarpins, avec sa petite jupe son petit caraco et son chemisier par-dessus elle était bandante.
Thierry m’a expliqué qu’il allait nous quitter et qu’il allait aller dans sa famille pour l’après-midi.
Je me suis donc retrouvée seule face à cette femme fort désirable que j’allais devoir honorer et surtout féconder, si tout marchait bien.
Une fois la porte fermée et nous retrouvant tous les deux dans la chambre, Marie est allée s’asseoir sur mon lit a écarté les jambes, m’a fait agenouiller entre ces dernières pour que j’aille le brouter le minou.
Pour mon plus grand plaisir je me suis exécutée d’autant plus que cela faisait bien longtemps que je n’avais pas brouté un minou et surtout un aussi beau minou.
Marie ne portait pas de culotte elle, avait les jambes gainées de bas nylon le tout accroché à un porte-jarretelles assez large mais très doux.
Son petit gazon sentait bon la femme, son petit gazon sentait bon le désir, son petit gazon était bien entretenu; il appelait l’homme à bras ouverts…
J’avais ma tête cachée sous la jupe d’une femme et ma langue venait de se poser sur ses lèvres intimes.