Jimagine trop ces moments-là, ce moment-là précisément, que jaimerais quil se passe. Sur un lit, contre un mur, sur une table n’importe où pourvue que ma première fois se passe avec lui. Jaimerais à la fois le faire tendrement et brutalement avec lui, tous nos sens se connectant en même temps, qui fusionnerait. Quil me touche partout qui membrasse lentement et de plus en plus fort et de plus en plus profondément. Que ses mains descendent le long de mon corps, qui sattardent sur mes seins doucement qui les découvrent du bout des doigts puis pleinement entre ses mains qui les pressent doucement puis quil joue avec.
Quil menlève mon t-shirt, tout en continuant de membrasser et quil descende avec ses lèvres le long de mon cou en parsemant de légers baisers mouillés, en atteignant mes seins pendant que je perds mes doigts dans ses cheveux déjà légèrement humides par lenvie qui monte en lui petit à petit.
-Oh! Olivier, oui! Ohhhhh, comme cest bon!
Je me cambrerais pour quil est un accès plus facile à mes seins, quil puisse y goûter plus facilement, il descendrait le long de mon ventre sarrêterais à la limite de ma culotte en coton, humerais lodeur qui pourrait sy dégager. Je le stopperais à ce moment-là, voulant de nouveau sentir sa bouche sur mes lèvres, sentir sa langue sinsinuer dans les moindres recoins de ma bouche.
-Cest à mon tour, lui disais-je, dans un souffle
Masseyant en tailleur sur lui, je commencerais par entremêler mes doigts dans ses cheveux tout en déposant des baisers sur son visage, puis ensuite commençant par sa bouche je déposerais de doux baiser et arrivant ensuite à son menton que jeffleurerais avec mes dents, je le lècherait sentant sa barbe passant sur ma langue, la piquant au passage. Je descendrais rapidement sur son cou, et son torse déposant de tendres baisers un peu partout et descendant en même temps, ma main droite qui partirait à la rencontre de son sexe à demi dur rapidement devenu à mon goût après de savantes caresses. Je serais alors à la limite de son caleçon avec ma bouche, déposant le long de celui-ci des baisers de plus en plus rapide de plus en plus passionné.
Je descendrais alors son caleçon à terre et en me fiant seulement à son souffle court et rauque pour me guider dans ma première fellation.
Je commencerais par la base de son pénis que je lécherais avidement, tendrement, doucement jusquà atteindre son gland que je goberais en le suçant et tournoyant doucement autour comme une sucette bien ronde, tout en faisant descendre et monter ma main autour de son pénis. Je redescendrais alors le long de celui-ci et irais taquiner ses bourses les léchants et en les prenant entièrement en bouche, sans jamais discontinuer mon mouvement de va-et-vient sur son pénis maintenant bien érigé vers le ciel, je terminerais en déposant comme toujours des baisers partout sur son pénis et ses bourses.
Je remontrais alors vers sa bouche en la baisant avec force. Nous serions alors ce moment-là, sur le lit moi sur lui finissant mes prodigieuses caresses.
Il me retournerait sur le lit ouvrant mes cuisses au passage avec son genou tout en maintenant mes bras au-dessus de ma tête. Il arracherait ma culotte la réduisant en lambeaux au pied du lit. Il se plaça sous mes cuisses les laissant flotter au-dessus des siennes laissant reposer son pénis juste au-dessus de ma vulve et commençant se va et vient entre mes lèvres atteignant doucement mon clitoris qui déjà fortement gonflées par mon envie de lui se met à ne plus savoir ou donner de la tête. Et enfin au moment où il allait entrer en moi, moi lui offrant ma virginité, ma première fois, lui en me donnant tout ce qui pouvait me donner, un bruit de clé qui tourne sur la porte dentrée.
-Merde, ta mère! Vite va dans ta chambre oublier pas ta culotte et ton t-shirt me chuchota-t-il.
Et finissant sur un baiser je me précipitai dans ma chambre avec mes affaires veillant à tout emporter, au moment ou je me glissai dans mes draps ma mère ouvrit la porte de la chambre parentale où se trouvait mon beau-père feignant de dormir, mais ma mère toujours avide de sexe, saisissant son pénis, comme à son habitude, je suppose car je lentendais déjà se réjouir à la perspective de faire lamour avec lui. Et moi à qui cette érection métait destinée, je finissais le travail comme toujours à la main et mon imagination de la suite que cela aurait pu se produire avec mon beau-père.