Comment aller plus loin dans la perversion ? Javais évincé mon ancien chef de son poste, je lavais humilié devant le personnel, javais séduit sa femme au point den faire ma chose, et javais même fini par la sodomiser devant lui en lobligeant à faciliter ma pénétration. Jétais assez content de moi. Il me restait plus quà éliminer mon ex-patron en tant quêtre humain. Pas le tuer, naturellement, cela aurait gâché tout le plaisir, mais le ravaler au rang de sous-être, vaguement animal, vaguement partie du mobilier. Naturellement, il me fallait la complicité de son épouse. Un jeu denfant
La première étape fut de lui faire présenter sa démission. Naturellement, il sest contenté de signer sous la contrainte, et avec laide dune dose massive de calmants administrée à son insu les documents que javais préparé. Il fut annoncé au personnel quil quittait sa femme et partait refaire sa vie à létranger. Naturellement, cela était confirmé par Bénédicte. Ensuite, sans vergogne, jallai métablir chez lui et occuper son lit. En ce qui le concerne, nous le maintenions entre deux eaux grâce à des doses massives de calmants. Nous lui avions emménagé un espace dans lex- cave à charbon, dont nous ne le remontions que pour nous en divertir.
La première fois, cela se passa ainsi : nous ouvrîmes sa cellule et le fîmes remonter pour son repas. Il était entièrement nu, avec un collier au cou. Il ne pouvait se tenir debout en notre présence. Comme il était nourri de façon parcimonieuse, il était assez faible (et de toutes manières plus vieux que Bénédicte et moi) donc velléités de rebellion peu plausibles. Je ne me gênais évidemment pas pour peloter Bénédicte, son épouse de façon intensive. Elle avait revêtu une tenue adaptée : porte-jarretelles et bas noirs, soutien-gorge et gants noirs, chaussures à talons aiguilles, afin de bien faire regretter la perte à son cocu. Pendant que je malaxais le bout des seins de Bénédicte entre mes gros doigts, le malheureux, à genoux ou à quatre pattes, nous fixait de ses yeux de chien battu alors, fatalement, nous nous sentîmes obligés de le malmener un peu. En ce qui me concerne, je lobligeai à avancer à quatre pattes en lui envoyant des coups de pied dans les flancs, Bénédicte voulût le chevaucher, ensuite elle lui tritura la bite entre ses doigts gantés de velours, lui arrachant de grosses larmes.
Bénédicte samusa à lui enfoncer son haut-talon dans lanus. Il gémissait et grimaçait, mais nosait pas se rebeller. Tout cela mavait considérablement excité, et je nen pouvais plus denvie de baiser Bénédicte. Celle-ci se pencha donc sur la table, et je lenfilai par derrière. Elle sadressait à son ex : « regarde mon gros cocu, comme ta petite femme chérie se fait sauter ». « tu as vu quelle bite, mon étalon ? Mmmh, il me fait bien jouir » »regarde sa bite à côté de la tienne, tu comprends pourquoi je ne veux plus de toi, vieux con, vieil impuissant ? ». Elle était vraiment en train de prendre son pied. Moi, de mon côté, javais pris le bout de la laisse de Paul, et javais tiré dessus jusquà lamener derrière moi. Jétais donc en train de prendre Bénédicte par-derrière sur la table, et javais empoigné la tête de son mari et lécrasais contre mon cul. « lèche moi, cocu, lèche ! ». Il savait quil navait pas intérêt à désobéir, et sa grosse langue avait commencé à saffairer sur mes fesses. Mais je voulais plus : « mon trou de cul, abruti, nettoie-moi le trou du cul ». Bénédicte ne tenait plus en place, elle remuait le cul comme une hystérique en criant « oui, lèche mon amant !! lèche !! ». Mes mains étaient crispées sur ses hanches étroites et je la pilonnais comme jamais, je sentais à chaque poussée le contact de mes cuisses avec le nylon de ses bas, et je savourais le fait quelle se soit parée de semblable façon pour mexciter. Au moment où son mari écarta mes fesses et les tint ouvertes avec les deux mains, puis que je sentis la pointe de sa langue sintroduire servilement dans mon anus, je lâchais ma giclée et poussais un cri de triomphe en répandant ma semence dans la chatte de sa femme.