MON FILS, MON AMOUR.
Je me présente, Juliette, 45 ans, divorcée, 2 enfants, Arielle 20 ans et Hervé 18. C’est quatre ans après la naissance de notre fils que mon mari a quitté le domicile conjugal. Non pas parce que l’on ne s’aimait plus, non, car nous avons toujours été un couple uni, complice, faisant régulièrement l’amour, sans contraintes ni tabous. Il est vrai que mon corps était assez exigeant. Très tôt j’avais découvert le plaisir par les caresses solitaires et lorsque j’ai rencontré celui qui allait devenir mon mari, ce fut, entre nous immédiatement l’entente parfaite.
Dès que l’on s’est connu, il sut me mettre en confiance d’abord par des baisers enflammés qui me mettaient dans tous mes états et qui m’obligeaient à me masturber sitôt rentré chez moi. Puis ses caresses se firent de plus en plus appuyées et précises. D’abord sur ma poitrine qui était plutôt développée et dont il agaçait les tétons. Cette caresse, déjà, avait des effets dévastateurs, il n’était pas rare qu’elle suffise à me procurer un mini orgasme. Vous vous doutez que j’attendais avec impatience le moment où ses mains viendraient se nicher entre mes cuisses et vérifieraient l’humidité de ma culotte. Mais ne voulant surtout aller trop vite à l’essentiel, il employa une méthode plus rusée. Assis dans sa voiture, lors d’un profond baiser, en appuyant sur mon coude, il amena ma main jusqu’à toucher, comme par inadvertance, la bosse qui déformait sa braguette. Toucher le sexe d’un homme, même au travers de son pantalon, fut pour moi, un instant magique. J’en rêvais depuis si longtemps aussi, à peine l’eus-je effleuré quelques secondes, je l’empoignais fermement et commençais, maladroitement, un mouvement de branle. Encouragé par ma réaction, il ouvrit sa braguette, saisit ma main et la glissa à l’intérieur de son pantalon. Déjà, simplement couvert par le slip, la forme de son sexe se dessina un peu mieux sous mes doigts je n’avais qu’un désir, c’était de le tenir sans aucune entrave alors, sans attendre, je le libérais de son dernier rempart. C’était chaud, lisse et dure. Je repris alors le mouvement de branle jusqu’à son éjaculation qui fut rapide et abondante. J’étais fier de lui avoir donné du plaisir. Vous vous imaginez le pied que je pris ce soir-là en me masturbant. Le lendemain, à peine installée dans sa voiture, le premier baiser donné, je posais ma main sur sa braguette. Il parut enchanté de mon initiative et m’embrassa de nouveau. Cette fois je sentis son sexe grossir. Lorsque je le sentis suffisamment bandé, je le sortis entièrement et je pus enfin l’admirer. Lui me regardait en souriant.
— Elle est à toi, dit-il, fais en ce que tu veux.
Je commençais par la regarder, faisais coulisser la peau, passais un doigt sur le gland que je trouvais doux et humide puis, je me mis en action, prête à réitérer mon exploit de la veille mais, cette fois-ci, avec la vision en plus.
— Attends, dit-il en me bloquant la main, avant que tu ne me fasse éjaculer, j’aimerais savoir ce que tu ressens toi, pendant que tu me caresses?
— Franchement! Tu veux le savoir? Et bien je mouille, je mouille comme une folle, comme hier, comme les jours précédents. J’ai le sexe en feu. Fais quelque chose mon chéri, fais-moi jouir sinon je devrais faire comme les autres jours.
— C’est-à-dire?
— Je vais devoir me donner seule ma jouissance.
— Tu te masturbes alors?
— Bien sûr, pas toi?
— Si, ma chérie, chaque soir après t’avoir quitté.
— Seulement? Jamais avant que tu me connaisses? Parce que moi, ça fait plusieurs années que je me donne du plaisir.
— Et en ce moment, demanda mon fiancé, le ferais-tu devant moi?
Pour toute réponse je soulevais ma jupe et baissais ma culotte.
— Tu ne veux pas toi me donner ce plaisir, plus tard dis-tu, tu veux me voir et bien regarde
Et je me suis branlée sous ses yeux effarés et son regard me fis rapidement jouir et lui fis sucer mes doigts poisseux.
— Maintenant à toi!
— A moi quoi?
— Tu vas te branler aussi.
Il s’exécuta. Je fus impressionnée et émerveillée de voir son sperme gicler si fort. Quelques minutes plus tard, nous nous sommes masturbés mutuellement. Puis les jours passants, nos masturbations ne suffirent plus et nous sommes passés à l’acte. Je perdis ma virginité sans douleur.
Donc, si mon mari nous quitté c’est seulement à cause de ce fils qui, né prématuré, semblait faire la fierté de son père mais qui, jour après jour, manifesta des troubles de la croissance qui se sont avérés par la suite. Mon mari ne l’a pas supporté et, malgré mes supplications, malgré les preuves d’amour que je manifestais il est parti. Il ne s’est plus jamais manifesté mais il paie régulièrement la pension alimentaire qui, étant donnée sa très bonne situation, me permet d’élever mes enfants sans être obligée de travailler. Heureusement car, avec un enfant réclamant des soins permanents, cela n’aurait pas pu être possible.
Revenons-en à mon fils. Hervé n’est pas ce que l’on peut appeler un débile mental non! Il a plutôt un retard ce qui lui fait agir comme un enfant bien qu’il ait 18 ans. Physiquement il n’est pas très beau, le corps petit et maigre. Bien entendu il n’a pas d’amis et ne jure que par moi qui l’ai élevé comme je pouvais, lui donnant moi-même un enseignement qui lui permit d’acquérir le minimum de connaissance c’est-à-dire de savoir lire, écrire et compter. Sa sour, Arielle, quant à elle, mène une existence tout à fait normale de jeune fille de son âge. Elle a un petit copain avec qui elle sort mais je ne sais pas si ils ont déjà passé à l’acte. Je pense que si ce n’est pas encore le cas, cela ne saurait tarder car je les ai quelques fois surpris, sur le canapé du salon, me croyant absente, en train de se caresser entre les jambes. Bien qu’ils reprenaient bien vite une attitude décente à mon arrivée intempestive, j’avais quand même eu le temps d’apercevoir, l’espace d’une seconde, la queue du petit ami de ma fille et j’avoue que ce qu’ils faisaient me rappelait le temps de mes fiançailles et cela me troublait au point qu’une irrépressible envie de faire l’amour me prenait et que je devais très rapidement satisfaire par une frénétique masturbation.
Depuis quelques temps le comportement d’Hervé m’intrigue. Il devient taciturne, cherchant à toutes les occasions pour me voir en petite tenue, se mettant à quatre pattes pour regarder sous mes jupes puis s’isolant de plus en plus souvent dans sa chambre. Une fois même sa sour s’est plainte, elle aussi, de son frère qui lui avait mis la main aux fesses et une autre fois de lui avoir malaxé sa poitrine.
Pas de doute, Hervé avait des pulsions sexuelles. Etant donné son âge mental, je n’aurais jamais cru que cela puisse se produire un jour ou, tout du moins, pas sitôt. Je me mis donc à le surveiller de plus en plus étroitement et me rendis compte, en plaquant mon oreille contre la porte de sa chambre, qu’il devait soulager seul ses pulsions comme bon nombre d’ados doivent le faire seulement, lui, il le faisait trois ou quatre fois par jour. Je pouvais comprendre son geste, j’aurais été mal placé pour le gronder puisque moi-même, je n’avais d’autre sexualité que la masturbation qui, par ailleurs, suffisait à me satisfaire pleinement, mais j’aurais voulu lui faire comprendre que se masturber trop pouvait nuire à sa santé. Si, au début, je l’espionnais, maintenant je sais que chaque fois qu’il rejoint sa chambre dans la journée, c’est pour s’adonner à la masturbation.
Un jour ce fut plus fort que moi, après avoir entendu ses gémissements au travers de la porte, je l’ouvris délicatement sachant que, pour des raisons de sécurité, elle ne pouvait pas être verrouillée. Allongé sur son lit, le pantalon et le slip baissés, Hervé agitait son sexe en prononçant des mots incompréhensibles, sauf que parfois il me sembla entendre le mot "maman". Je ne sais pas s’il m’a aperçu mais je la refermais bien vite. Devant ce spectacle je n’ai pas osé le sermonner comme j’avais décidé de le faire. Je rejoignis ma chambre, m’allongeais et me mis à pleurer. Je me sentais impuissante mais, tout à coup, l’image du sexe de mon fils s’imposa dans mon esprit. Bien que je ne l’avais aperçu que quelques secondes et n’ayant comme référence que celui de mon ex-mari, celui d’Hervé m’avait paru énorme. Peut-être la minceur de son corps Faisait paraître son sexe plus imposant qu’il ne l’était vraiment mais ce n’était pas la seule raison, il fallait se rendre à l’évidence, Hervé avait un grand et gros sexe. Pourtant, me rappelant les fois où je lui donnais le bain, son sexe était de taille normale. Bien entendu il était au repos et je n’avais jamais envisagé, à cette époque, qu’il puisse bander. Soudain je sentis mon entrejambe s’humidifier.
— Mais que m’arrive-t-il pensai-je!
Je savais très bien ce qui se passait en moi. Cela faisait trop longtemps que je vivais sans homme et la vue d’une belle queue fièrement dressée m’avait excitée. Durant la nuit qui suivit cet épisode, j’eus beaucoup de mal à trouver le sommeil et ce n’est qu’après mon troisième orgasme que je réussis enfin à dormir.
Pendant le petit déjeuner, ma fille me trouva triste mine et s’inquiéta de ma santé.
— Tout va bien ma fille, tout va bien! J’ai seulement passé une mauvaise nuit.
Bien entendu je ne lui ai pas donné les raisons. Durant 3 jours je cherchais la solution pour résoudre ce problème et la seule qui me venait à l’esprit, toujours la même, je devais lui rendre visite pendant ses séances de masturbation et le résonner. Un après-midi je me décidais enfin. J’entrais dans sa chambre. Comme la dernière fois il avait empoigné sa queue et il se branlait. Sans lui laisser le temps de réagir, je m’approchais du lit.
— Hervé! Il faut qu’on parle dis-je d’une voix assurée.
Mon fils me regarda et ne parut pas surpris, au contraire, il se branla de plus belle.
— Arrêtes hurlai-je en posant ma main sur la sienne pour stopper sa masturbation mais, au lieu d’obtempérer, d’un mouvement vif, il ôta sa main pour que la mienne vienne en contact avec sa bite et replaça la sienne sur la mienne et, la maintenant fermement, il reprit sa masturbation. La manouvre avait été si rapide que je le laissais faire. Dans ma tête tout se bousculait: devais-je me fâcher? Non il était trop tard. Ma main avait trouvé le rythme et je me surpris à aimer ce que j’étais en train de faire. Tenir ce sexe dur et chaud entre mes doigts me procurait d’incroyables sensations tant par sa taille que par la vision de son gland lisse et humide.
— Oui maman, continue, c’est bon.
J’ai obéi et l’ai masturbé jusqu’à éjaculation puis je me suis enfermée dans la salle de bain pour nettoyer ma main pleine de sperme. Je n’osais pas me regarder dans le miroir de peur d’y voir une femme indigne, une mère dépravée. De plus je ne savais plus quoi faire, impossible de revenir en arrière. Pendant le repas du soir personne ne parlait, l’atmosphère était lourde même les plaisanteries émise par Arielle n’arrivaient pas à la détendre.
Le lendemain matin, vers 10h je me trouvais seule dans la cuisine et Hervé apparut les cheveux ébouriffés, mais surtout avec une forte érection qui déformait son bas de pyjama et qu’il arborait fièrement.
— Maman, dit-il, tu veux? Comme hier?
Sur de mon consentement, il abaissa son pantalon de pyjama. Sa queue apparut dans toute sa splendeur.
— Non Hervé, non! Hier c’était un accident, il ne faudra plus que cela se reproduise.
— Maman, s’il te plait, encore une fois, c’était si bon.
Sa bite m’hypnotisait? Je sentis toute ma détermination s’envoler. Mon fils était maintenant à 20 cm de moi.
Je n’ai pu résister davantage et ma main enserra son chibre. Ô cette queue, je sentais que je ne pourrais plus m’en passer. Au fond, s’il avait eu une maladie je l’aurais soigné et ses pulsions sexuels en étaient une pourquoi ne devrais-je pas le soulager. Lorsque je le sentis sur le point d’éjaculer, j’arrivais à saisir le rouleau d’essuie-tout pour recueillir son sperme avant qu’il n’éclabousse partout, me rappelant l’énorme quantité et surtout avec quelle force il l’avait émis hier.
A partir de ce moment une ou deux fois par jour, je répétais mon geste. De mon côté ma fréquence masturbatoire avait augmenté et, à chaque jouissance, je ne manquais pas de prononcer le prénom de mon fils. Plus les jours passaient, plus j’avais envie de le prendre dans ma bouche mais j’avais peur de le choquer, aussi je lui ai acheté une revue ou l’on voyait de nombreuses fellations. Le questionnant sur ce qu’il avait vu, il me dit que les photos de femmes prenant le sexe de l’homme dans la bouche, lui avaient beaucoup plu. Ce jour-là, je lui fis sa première fellation. Puis, plus tard, me parlant toujours de la revue porno, il me dit être intéressé par le minou des femmes. Je lui fis donc un cours d’anatomie mais ce qu’il souhaitait surtout c’était d’en voir un en vrai et, bien sur, ce ne pouvait qu’être le mien.
Au point où nous en étions j’accédais à ses désirs avec quelques réticences pour la forme car j’avais très envie de me montrer. Puis tout alla crescendo. Il a d’abord regardé, puis il a touché et pour finir il m’a branlé. Maladroit au début, grâce à mes conseils, il sut, à chaque fois, me procurer un orgasme. Puis je lui fis comprendre qu’il pouvait utiliser sa bouche et sa langue.
Je me déculpabilisais en me persuadant que tant qu’il n’y avait pas pénétration il n’y avait pas vraiment inceste mais je redoutais le jour où il me le demanderait. Heureusement un fait nouveau allait survenir et ferait disparaître cette crainte.
Cela faisait quelques semaines qu’Hervé et moi avions recours à ces caresses bucco digitales pour nous faire jouir et nous prenions de moins en moins de précaution. Il nous arrivait souvent de faire cela dans n’importe quel lieu de la maison quand l’envie nous prenait. Si j’avais cédé aux désirs de mon fils, je crois que nous l’aurions fait à longueur de journée. Arriva l’impensable. Alors que nous étions en 69 sur la moquette du salon, trop occupés à donner et à recevoir du plaisir, un bruit me fit sursauter. Arielle se tenait dans la pièce.
— Arielle! Ne dis rien, laisses-moi t’expliquer dis-je d’une voix timide mais chevrotante car Hervé continuait à me lécher la chatte si bien que j’étais au bord de l’orgasme.
— Mais je n’ai encore rien dis fit-elle remarquer mais si je peux me permettre, je vous en prie continuez, c’est si beau. Je ne savais pas que mon frère avait une si belle queue, rien à voir avec celle de mon petit ami que j’ai largué, d’ailleurs, il y a plusieurs semaines.
Ces paroles m’enlevèrent un gros poids et du coup, je me mis à jouir sans retenue.
— Il lèche bien mon frère à ce que je vois. Quelle chance tu as maman d’avoir un mâle à ta disposition. Pour moi, qui suis en manque, j’aimerai aussi avoir une main ou une bouche masculine pour remplacer mes doigts qui me procurent des orgasmes certes mais pas de vraies jouissances. S’il te plait, occupes-toi de ton fils, tu vois bien qu’il bande, tu ne vas quand même pas le laisser finir seul?
— Non ma fille puisque cela va être toi qui vas le faire éjaculer lui répondis-je en me relevant. Viens, approche.
Arielle ne se fit pas prier deux fois et se jeta, telle une affamée, sur la queue de son frère, qu’elle engloutit. Pendant qu’elle le suçait, elle avait glissé une main dans sa culotte. Ce spectacle m’émoustilla et moi qui n’avais jamais eu d’instinct homosexuel, je fis une chose que je n’aurais imaginé il y a 5 minutes. Je me plaçais derrière ma fille, lui releva la robe jusqu’à la taille, baissa sa culotte, regarda quelques secondes les doigts d’Arielle se branler la chatte puis passais ma langue tout le long de la raie culière. Arielle émis un grognement et agita son fessier en guise de contentement.
Hervé éjacula. Ma fille eut des haut-le-cour tant la quantité de sperme à avaler, était abondante.
— Maman cria-t-elle, qu’elle est bonne la bite de mon frère et toi, maman ta langue est divine, tu as dû en sucer des chattes pour avoir une si grande dextérité à moins que tu n’aies appris avec ta sour, tante Yvette car elle lèche aussi bien que toi. Vas-y, ça me vient, titille mon clito, entre un doigt.AHHH.
Sur le coup je ne fis pas très attention à ce qu’elle venait de dire surtout que je me trouvais dans un état d’excitation qui empêche les neurones de fonctionner aussi lorsque Arielle me bascula sur le tapis et me fourra sa tête entre les jambes, mon seul désir était de jouir.
Une fois tout trois enfin apaisés, je repensais à l’évocation de ma sour Yvette que m’avait fait ma fille. Je lui demandais donc de s’expliquer.
— Je pensais que tu le savais maman que ta sour était portée sur les femmes.
— Mais elle est mariée répondis-je outrée.
— L’un n’empêche pas l’autre. Nous avons tous des désirs et des vices cachés. Regardes, toi avec ton fils, moi avec mon frère, toi avec moi. Tout cela peut être normal entre personnes adultes consentantes. Alors si je te dis que l’année dernière, lorsque nous étions chez tata, elle et moi nous avons échangé des baisers, des caresses et même plus.
— Et moi qui te prenais pour une petite fille modèle!
— Et moi pour une maman vertueuse. Qu’est-ce qu’on va s’amuser toutes les deux!
— N’oublie pas ton frère, une bonne queue peut toujours servir. Justement regardes, il rebande, ne voudrais-tu pas le dépuceler?
Notre trio fonctionna à merveille jusqu’aux vacances où, grâce à Yvette, il se transforma en quatuor pendant un mois.