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Florence et moi – Chapitre 4

Florence et moi - Chapitre 4



Je pense que vous l’avez déjà compris, Florence est une fille qui n’en fait qu’à sa tête et, durant les presque trois années où elle fut ma maîtresse, elle mena la danse bien plus souvent que moi. Aujourd’hui, je vous en présente un nouvel exemple.

Flo m’avait proposé de passer chez elle pour le « programme habituel », ce qui signifiait concrètement passer la journée chez elle à marteler nos manettes, regarder des vidéos, voire se mettre un film ou une série. Le tout entrecoupé d’une ou deux parties de jambes en l’air quand l’envie nous prendrait. C’étaient toujours des moments particuliers : nous agissions comme n’importe quels amis et, soudain, l’un d’entre nous disait ou faisait quelque chose qui mettait le feu aux poudres.

Mais en arrivant, j’eus la surprise de découvrir que ma maîtresse n’était pas seule. Sur son lit, une manette à la main, se trouvait Lucie, une de ses amies que je ne connaissais pas très bien. Il faut dire que la fille était plutôt du genre timide et très effacée, surtout en ma présence ou, de façon plus générale, de représentants de la gente masculine.

Elle avait quelque chose de craquant, avec son visage rond et angélique, aux lèvres pleines et roses, encadré par de longs cheveux noirs un peu ondulés et éclairé par de magnifiques yeux bleus. Malheureusement, elle affichait aussi un très large surpoids qui empêchait beaucoup de mecs de s’intéresser à elle et sa timidité n’arrangeait rien pour ceux qui n’ont que faire des considérations esthétiques, de sorte que Flo m’avait confié plus d’une fois désespérer de la voir trouver quelqu’un : à chaque fois qu’un homme s’intéressait à elle, elle fuyait aussitôt.

L’après-midi passa normalement, j’avais parfois du mal à détacher mon regard de l’imposant décolleté de Lucie ou de ses magnifiques yeux, mais elle ne m’adressa quasiment pas la parole de la journée, sinon pour me tendre la manette ou se moquer brièvement quand elle m’explosait sur Tekken… Soit à chaque partie. Elle finit par partir vers 19 heures, pour attraper le dernier bus, notre hôte n’habitant pas vraiment centre-ville.

J’avais retrouvé ma place près de la fenêtre, tandis que Flo se prélassait sur son lit, une cigarette nonchalamment coincée entre ses lèvres, elle me fixait avec un sourire joueur qui présageait du meilleur… ou du pire, la connaissant.

« Alors, elle plaît Lucie ? Fit-elle. T’as pas arrêté de la mater. »

Je décidai de rentrer dans son jeu et pousser un peu, histoire de voir où elle comptait en venir.

« Elle a un visage d’ange, répondis-je. »

Flo hocha la tête. Elle m’avait plusieurs fois dit que c’était une honte qu’une fille aussi jolie ne trouve pas chaussure à son pied.

« Et je me suis toujours demandé à quoi ressemblerait un ange avec du sperme plein la gueule, assénai-je. »

Ma maîtresse se redressa, les yeux écarquillés. Une seconde, je crus avoir été trop loin.

« De quoi ? Tu peux pas parler comme ça de mes amies, ça mérite une punition ! »

Ouf ! Elle n’aurait jamais parlé comme ça si elle avait été vraiment fâchée, ça faisait donc partie du jeu. Elle se leva d’un bond de son lit et fit sauter jean et string d’un seul mouvement ; ses vêtements n’avaient pas encore touché le sol qu’une grosse bosse se formait au niveau de mon entre-jambe. Elle s’allongea à moitié au bord du lit, les pieds au sol, se tenant sur les coudes pour me regarder droit dans les yeux.

« Viens te faire pardonner, vilain garçon » me lança-t-elle avec son regard le plus lubrique.

Je me levai aussitôt et entreprit de déboutonner mon jean, mais elle me coupa dans mon élan.

« T’as quand même pas cru que t’allais me baiser, non ? T’es puni mon vieux, pas récompensé, alors tu viens gentiment te faire pardonner. »

Je n’ai rien contre le sexe oral, bien au contraire, et cela vaut dans les deux sens. J’allais donc m’agenouiller au pied de Florence et glissait ma tête entre ses cuisses en direction de son sexe entièrement rasé. Sa main vint jouer avec mes cheveux, tandis que les miennes caressaient ses jambes, son ventre, ses hanches, le côté de ses fesses.

Je commençai par déposer quelques petits baisers sur sa vulve encore fermée, mais la pression de ses doigts sur mon cuir chevelu me fit comprendre qu’elle ne me voulait pas trop joueur. Alors je sortis ma langue, que je fis passer entre ses lèvres et remonter jusqu’à son clitoris, autour duquel je l’enroulais. Son jus avait un goût un peu acidulé, presque citronné, dont je ne me lassais pas.

Je pris tout mon temps pour faire monter son plaisir, alternant des phases lentes avec d’autres plus rapides, celles où ma langue simmisçait en elle avec celles où elle valsait à un rythme irrégulier, celui de la musique du jeu mit en pause, sur son bouton de plus en plus gonflé. A chaque accélération, je sentais ses cuisses trembloter, ses jambes se refermer autour de moi comme pour m’attirer toujours plus à elle, puis la pression se relâcher lorsque, avec plus de lenteur et de douceur, je retournais fouiller son intimité.

Son clitoris était maintenant si gonflé que je pouvais le faire coulisser entre mes lèvres, ajoutant ce plaisir à celui de la danse de ma langue. Ses jambes tremblaient sur mes épaules, sa main me pressait toujours plus fort contre elle, je la savais au bord de l’explosion. Alors, je délaissai l’exploration de sa grotte pour ne plus me concentrer que sur son bouton, que je suçais, léchais, toujours plus vite, avec toujours plus de passion.

Elle jouit brusquement, avec un gémissement presque étouffé, ses jambes se serrèrent au point de presque me faire mal. Et un instant plus tard, j’étais libre, tandis qu’elle reprenait son souffle. J’embrassais ses cuisses avec passion, à la fois par excitation et pour m’essuyer de son jus qui maculait mon menton et empoissait ma barbe de quelques jours.

Lorsque Florence se fut remise de ses émotions, je baissai mon pantalon pour lui présenter mon sexe dressé par une érection aussi imposante que douloureuse.

« Dans tes rêves, fit-elle en regardant mon membre, t’es puni. »

Elle se laissa glisser du lit et retira débardeur et soutien-gorge pour se retrouver en tailleur devant moi, entièrement nue.

« Comme tu as été sage, tu as quand même le droit de redécorer mon illustre poitrine. »

Et, comme pour accentuer son invitation, elle croisa les bras derrière la tête, me présentant ainsi son imposante gorge. Je soupirai.

« Donc en gros, je me finis tout seul, c’est ça ? lançai-je en désespoir de cause.

— Pu-ni. » confirma-t-elle en appuyant bien sur chaque syllabe. « Estime-toi déjà heureux que je t’autorise ça, tu l’as pas mérité. »

Même si ça faisait partie du jeu, je me fis la promesse de le lui faire payer un jour ou l’autre. Mais pour l’heure, j’étais beaucoup trop excité pour ne pas céder à son caprice, aussi m’entrepris-je au-dessus de ses seins, sous son regard coquin et appréciateur. Elle me confia plus tard que c’était la première fois qu’un homme se masturbait pour elle et qu’elle en avait savouré chaque instant.

Excité comme je l’étais, il ne me fallu pas une minute pour terminer mon uvre. Sage et obéissant, j’inclinai mon membre vers ses seins et lâchai plusieurs jets puissants. Tandis que je m’affairai à faire sortir les dernières gouttes de mon jus, elle s’amusa à étaler le reste sur sa peau diaphane et ses tétons ambrés.

Avec un petit rire, elle me tapota le sexe et y déposa un furtif baiser.

« Brave bête » commenta-t-elle en tendant la main pour récupérer ses fringues.

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