Histoires de sexe noir Histoires érotiques de couples amateurs

Une thérapie très spéciale – Chapitre 1

Une thérapie très spéciale - Chapitre 1



Corrigé par Redflag

Une thérapie très spéciale

Chapitre 1

Une douleur pour une chance

Les personnages :

— Nicole, 43 ans, Mère de Louis, épouse de Charles

— Louis, 18 ans, fils de Charles et Nicole

— Charles, 51 ans, père de Louis, mari de Nicole

— Docteur Annie Leblanc, 45 ans, sexologue

Louis attend avec sa mère, Nicole, dans la salle d’attente.

Le jeune homme n’en mène pas large, sa mère est assez fâchée contre lui !

Et pour cause, ils se retrouvent tous les deux chez un sexologue, car ce dernier a un problème…, assez personnel, voire intime.

Il y a deux jours, il est descendu, assez gêné dans la cuisine, Nicole s’est tout de suite aperçue que quelque chose n’allait pas quand elle a vu sa tête.

Comme d’habitude, il a fallu lui tirer les vers du nez pour savoir ce qu’il avait.

« Louis…, ça n’va pas ?

Euh, si, si !!!

Non, ça ne va pas, je le vois… !! »

Habituée à jouer la mère stricte, Nicole haussa la voix, attendant une réponse.

« Tu me le dis, Louis… !

Euh…, je nsais pas, c’est assez gênant… !

Bon, je n’ai pas toute la journée, je te rappelle que j’ai cours à 8 heures !

.. Alors, dépêche-toi, s’il te plaît !!! »

Sous la pression de la hausse de la voix de sa mère, Louis se décide de lui dire, regardant son bol, sans avoir le courage de parler, les yeux dans les yeux, rouge de honte :

« Ben, en fait, c’est…, c’est euh…, c’est mon pénis !! »

Nicole s’attendait à tout, sauf à ça, elle pensait que cétait encore un camarade de classe qui l’avait harcelé, car sa mère était professeur de math ou que sa famille était riche, profitant de son physique et son tempérament chétif pour lui en faire voir de toutes les couleurs.

Allant même jusqu’à le faire changer d’établissement, afin qu’il puisse étudier dans de bonnes circonstances.

Mais non, curieusement, c’est à ses parties intimes que Louis a un souci.

Assez surprise et n’ayant pas pour habitude de parler de ça avec son fils, elle se risque de lui demander des détails avec une voix…, beaucoup moins sûre :

« Ah bon…, mais tu as quoi ?

Je…, ben…

Bon, LOUIS !!!

Ben, quand je me masturbe, mon sperme ne vient pas et ça me fait mal, voilà !! »

Pour en finir, Louis avait parlé vite, comme pour se débarrasser de cette tâche le plus rapidement possible.

Nicole resta là, devant lévier, les mains pleines de mousse, car elle était en train de faire la vaisselle, ne sachant pas quoi dire.

Jamais, elle n’a eu ce genre de discussions avec Louis, la voilà confrontée à un problème que, sans doute, son père Charles, aurait plus de facilité d’en parler avec lui.

Mais son époux, étant en ce même temps à Paris pour son travail d’avocat, il lui fallait improviser sans son intervention.

En essayant de résumer dans sa tête tout ce que son fils lui a expliqué, la première surprise, c’est qu’il se masturbe.

Certes, elle n’était pas naïve au point de penser que cela n’allait jamais arriver, mais de le savoir comme ça, alors qu’elle ne s’en était jamais aperçue, fut tout de même un choc.

Le deuxième surprise est de savoir quoi faire devant un problème comme ça, surtout savoir quoi réponde à son fils, maintenant qu’il lui a répondu sous la pression de son interrogatoire.

Elle se nettoie les mains et s’assied à table, en face de lui.

Ça fait longtemps que…, que tu n’y arrives plus ?

Ben, ça fait quatre jours

Mais quatre jours, ce n’est, peut-être, pas si grave !

Oui, mais moi, j’ai mal, car à chaque fois, je n’peux pas me satisfaire et je sens une douleur atroce !

Où ça ?

À mon gland et mes testicules et mon sexe devient tout rouge et ça me cuit !

Tu as mal, mais…, mais, tu fais ça longtemps par jour ?

Euh…, avant, je devais le faire deux à trois fois par jour, mais maintenant, je dois essayer six à sept fois pour que ça sorte, mais rien n’y fait !

Sept fois par jour, doux jésus !!!! »

Nicole tombe de haut, le nombre l’a séchée, littéralement.

« Il ne doit faire que ça quand il doit être à la maison !! », se dit-elle, silencieusement.

Nicole est une femme croyante qui va régulièrement à la messe les dimanche, emmenant son fils avec elle.

Bien sûr, le jeune homme a eu droit à tout le tralala d’un bon petit religieux baptême, catéchisme, communion.

En tant que personne de foi, ce genre de pratique est assez mal vu sous le toit de l’église.

« Louis, mais tu arrives, tout de même, à réviser dans ces conditions ? »

À croire que les cours passent bien avant toutes autres choses, Nicole s’inquiète, dorénavant, des conditions nécessaires pour que son fils puisse bien réviser.

Ben non, je n’arrive plus à penser à autre chose, mon entrejambe me tire et j’ai mal aussi, dis maman, tu penses que c’est grave ?

Grave, je nsais pas, mais nous nallons pas attendre pour savoir quoi faire !

.. Ce soir, après les cours, je temmène chez le docteur Jouvial, il nous en dira plus ! »

Mais lorsqu’ils se sont retrouvés devant le docteur, ce dernier leur a dit qu’il n’y pouvait pas grand chose et les a envoyés directement à un sexologue pour être plus précis sur l’état de Louis.

Voilà pourquoi Louis se retrouve, ici, chez le docteur Leblanc, aux côtés de sa mère qui est énervée contre lui, par dessus le marché.

Il ne voulait pas venir ici, mais Nicole s’est fâchée et lui a ordonné d’y aller avec elle.

Quelle plaie, passer son mercredi après-midi ici à parler de ses problèmes intimes et devant sa mère, qui plus est…

« Déjà que les dimanches à la messe, c’est chiant, alors là ! », se dit-il.

Vers 16h30 la porte du hall s’ouvre, c’est le docteur Leblanc.

Louis de Landre, s’il vous plaît ! »

Louis, ainsi que sa mère, se lèvent, celle-ci voulait le suivre jusqu’au bout, voulant savoir ce que son fils avait et qu’elle avait une réserve sur cette sexologue qui venait d’arriver dans la région.

D’un geste tendre, elle leur montre la direction de son cabinet.

Après être tous assis au bureau, le docteur prend un stylo et regarde Louis, avec un sourire amical.

Alors Louis, explique-moi ce qu’il t’arrive ?

Je vous explique, il y a deux jours, mon fils… »

La sexologue stoppe Nicole, en faisait un signe calme de la main.

« Madame de Landre, je pense qu’il est mieux que se soit votre fils qui m’explique ce qu’il a, ne croyez-vous pas ?

Si, si, évidemment que je le comprends !! Lui répond Nicole, frustrée d’avoir été coupée comme ça.

Alors, Louis…, dis-moi ?

Ben, euh…, voilà, en fait, ça fait maintenant six jours que je n’arrive plus à me masturber et, euh, voilà !!! »

Le docteur se rend tout de suite compte du mal à l’aise du jeune homme.

« Écoute, Louis, ne pense pas que ce genre de problème n’arrive qu’à toi, si le métier de sexologue existe, c’est bien qu’il y ait une raison !

.. Est-ce que tu sais pourquoi tu n’arrives plus à te satisfaire ?

Euh…, non, pas du tout !

Ça t’est arrivé d’un coup ?

Euh, oui ! »

Elle note ses réponses sur un calepin, Nicole reste là, sans rien dire, attendant le verdict.

Puis d’un coup, la spécialiste se lève, se dirigeant vers le divan d’examen médical, derrière eux.

« Bon, retire tes chaussures et ton jeans, s’il te plaît, tu t’allongeras sur le divan, je vais t’ausculter pour voir si tout est normal ! »

Louis, dégoûté, savait que ça allait arriver, il na pas le choix et fait ce que le docteur lui a demandé.

Du coin de lil, il regarde si sa mère le regarde.

Une fois en slip et en chaussettes, il s’installe sur le divan.

Le médecin se place, sans rien dire, à ses côtés.

Elle prend sa tension, puis le touche un peu de partout.

Peux-tu lever les fesses, je vais baisser ton slip pour pouvoir t’ausculter les parties intimes ? »

Rouge de honte, Il soulève ses hanches et la sexologue baisse son sous-vêtement jusqu’au milieu des cuisses.

Nicole tourne la tête de l’autre côté pour ne pas regarder ça.

Sans l’avertir, le docteur Leblanc prend ses testicules d’une main et le pénis de l’autre.

Affolé, Louis regarde le plafond, sans respirer.

« Calme-toi, Louis, je ne vais pas te mordre ! » Dit-elle, en souriant.

La réflexion du médecin a déboussolé la mère et le fils qui rougissent tous les deux.

Nicole la trouve assez sans gêne de parler comme ça, alors que pour son enfant, la réaction est totalement différente.

« Eh ben, sacre bleu, il faut bien avouer que tu es sacrément bien doté pour un garçon de ton âge !!! »

Les paroles ont, pour effet, de faire tourner la tête de Nicole pour savoir de quoi il s’agissait.

Ses yeux tombent sur un membre agressif qui pointe vers le plafond, long et gros.

Les yeux de la maman s’agrandissent et sous le choc, elle retourne la tête, confuse et toute rouge.

Personne ne la voit se retourner, Louis est terriblement gêné !

Ne t’inquiète pas, Louis, ta réaction est normale, en plus, tu n’as pas pu te satisfaire comme tu le voulais ces derniers jours…, bon, ben, tu peux te rhabiller, maintenant ! »

Sans demander son reste, Louis se rhabille, sa mère regarde nerveusement les affiches contre le mur, comme pour s’occuper.

La sexologue retire ses gants et s’installe à son bureau, suivie du jeune homme.

« Bon, je ne vois rien d’anormal au niveau de son sexe, je pense que c’est plus un problème psychologique !

.. Louis, je vais te poser quelques questions, veux tu ?

Oui, bien sûr !

As tu une copine ?

Non ?

As-tu eu des rapports, ces dernières semaines ?

Non !

Es-tu vierge ?

Euh, oui ! »

Elle note toute ses réponses, pendant qu’il attend, aux côtés de sa mère, de l’autre coté du bureau.

« Bon, très bien, je ne pense pas que ça soit trop grave !

Alors docteur, qu’est-ce qu’il lui arrive ?

Comme je l’ai dit tout à l’heure, je pense que c’est psychologique, je ne pense pas que ça soit un problème de santé !

Ah bon, je suis rassurée, alors !

Rassurée, oui et non, Madame, pour écarter tout problème de santé, il me faudrait un échantillon de son sperme !

Oui, mais Docteur, je n’arrive pas a en avoir, comment on fait ?

Oui, c’est un problème et pourtant si on attend, j’ai peur que son état latteigne mentalement et devienne un problème psychologique, comme un manque permanent !

.. C’est assez gênant chez les étudiants qui sont en plein dans les études… !

Mon dieu, Docteur, Louis a des examens très importants, comment va-t-il faire ?

Calmez-vous, Madame de Landre, si nous nous y prenons dès maintenant, rien de cela n’arrivera !

Alors, que faut-il faire, Docteur ?

Tout à l’heure, je me suis rendu compte que lorsque je tenais le pénis de votre fils, il avait vite pris de la vigueur, j’en résume qu’une main, autre que la sienne, semble le stimuler davantage !

.. Je pense que ça va être notre issue de secours !

Pardonnez-moi, Docteur, mais je ne comprends pas très bien où vous voulez en venir ? Dit Nicole, soupçonnant avec crainte les paroles de la sexologue.

En somme, il faudrait que votre fils se fasse masturber par une autre personne pour pouvoir, peut-être, réussir à éjaculer… !

.. Je sais, la manière est radicale, mais il me semble que c’est la seule solution pour l’instant !

.. Peut-être, connaissez-vous quelqu’un ou alors, il faudrait contacter une personne dans ce domaine ?

Vous…, vous…, vous voulez dire, une prostituée, c’est ça ?

Euh, oui, plus radicalement parlant, oui !

Ah non…, ça jamais, je ne veux surtout pas qu’une des ces femmes touche mon fils, il en est hors de question… !!!

Alors…, je ne vois que vous, Madame ! »

Louis qui les écoutait parler, en regardant le sol, leva d’un coup la tête, en fronçant les sourcils, a-t-il bien compris ce qu’elle vient de demander à sa mère ?

D’ailleurs, celle-ci reste sans voix, assez déboussolée par la demande.

« Moi, mais…, mais non, je

Ecoutez, il va falloir faire un choix, Madame, si vous ne voulez pas que quelqu’un le fasse et vous non plus, comment faisons-nous ? »

Nicole la regarde sans rien dire, très inquiète pour le sort de son fils.

« Louis, peux-tu sortir un moment, s’il te plaît ? »

Louis sort du cabinet et s’assied sur un banc, dans le couloir.

La sexologue fait le tour de la table et s’installe dans le fauteuil où était Louis, en croisant les jambes, ce qui remonte sa jupe grise faisant griser son collant noir.

« Écoutez Nicole, je peux vous appelez, Nicole ?

Oui, Docteur !

Appelez-moi Annie…, je sais que pour vous, ce n’est pas simple, mais pensez à lui, à ses études !

Oui, je sais bien…, je ferai n’importe quoi pour qu’il puisse aller mieux…, mais de là, à le masturber…, et puis mon fils n’est sans doute pas d’accord ! »

Le docteur sourit :

« Je pense que vous vous trompez…, j’en suis même certaine !

Pardon ???

Nicole…, avez-vous remarqué que votre fils vous regardait pendant la séance ? »

Le visage de la mère se raidit par la surprise, demandant au Docteur de s’expliquer :

« Pendant que nous nous parlions, j’ai vu que votre fils regardait en direction de vos jambes toutes les cinq secondes, puis lorsque je me suis levée pour ausculter, il a regardé les miennes !

.. Je pense que votre fils est attiré par les femmes qui portent des jupes avec des bas, je pense qu’il a ce genre de fantasmes ! »

Nicole se regarde, gênée, sans rien dire.

Elle porte une jupe tailleur bleu, lui arrivant au-dessus des genoux, dévoilant ses jambes habillées de bas couleur chair et des escarpins noirs, une chemise en soie blanche.

C’est une femme fortunée qui prend soin d’elle, les cheveux en chignons, un maquillage parfait.

« Pensez vous que c’est à cause que je porte des jupes et qu’il me regarde, qu’il n’arrive plus à éjaculer ?

.. Dois-je ne plus porter de pantalon et éviter de mettre des talons ?

Calmez-vous, Nicole, justement, vous ne devez surtout pas faire ça, le fait que votre fils vous regarde plus qu’à la normale est un plus pour vous !

Mais si mon fils a un problème ddipe, il serait bien que je fasse attention ! »

Annie l’arrête en posant une main sur la sienne.

« Nicole, votre fils m’a regardée aussi, ce qui veut dire qu’il aime simplement les femmes qui s’habillent comme nous, ce n’est rien de méchant !

.. Et justement, ça peut être un bon point pour pouvoir le stimuler de ce coté-là !

Le stimuler ?

Ou l’exciter, si vous voulez !

Mais vous pensez vraiment que je doive faire ça ?

Ecoutez, nous sommes entre femmes et nous pouvons donc tout nous dire…. !

.. Louis est un puceau de 18 ans et fantasme sur les femmes qui portent des jupes et des bas et, c’est sans aucuns doute pour ça, qu’il aime vous regarder !

.. Si vous acceptez de l’aider, tout en étant habillée comme il aime, en lui laissant voir plus, il aura sans doute un orgasme et pourra enfin éjaculer et tout reviendra comme avant !

Alors, le remède à son problème serait, en fait, une sorte de déclic ?

Oui…, mais nous devons, quand-même, garder l’hypothèse d’un problème de santé et, pour cela, il me faut plusieurs échantillons de son sperme ! »

Nicole réfléchit à ce qu’elle vient de lui dire.

« Pensez-y, Nicole, si ça marche, alors votre fils guérira très vite et tout rentrera dans l’ordre !

Bon, très bien, je vais quand-même y réfléchir !

Je comprends tout à fait, prenez votre temps ! »

Le docteur lui donne plusieurs échantillons vides pour pouvoir mettre le sperme lorsque Louis éjaculera.

« N’oubliez pas, si vous le faites, notez chaque échantillon par une date, c’est important pour les analyses ! »

Elle sort dans le couloir, là où attend son fils.

« Louis, on y va ! ». Elle ne le regarde pas et se dirige vers l’extérieur.

Ils entrent dans lAudi garée dans le parking et s’en vont chez eux.

Dans la voiture personne ne parle, Louis se demande de quoi elles ont parlé en son absence.

« Maman ?

Oui, mon chéri ?

Elle t’a dit quoi, après ?

Oh, ne me parle plus d’elle…, cette femme ne sait pas ce qu’elle dit… !

Mais…, mais et moi, je fais comment, alors ?

Écoute Louis, je n’ai pas réponse à tout, d’accord, je vais voir ce que je peux faire en prenant contact avec un autre sexologue, maintenant, laisse-moi conduire tranquillement ! »

Tout penaud, Louis tourne la tête et regarde défiler les maisons de rue à sa vitre.

Voilà cinq minutes qu’ils ne se parlent plus, l’audi a pris la voie rapide pour quitter la ville et rejoindre leur maison de campagne.

À un moment, elle regarde furtivement son fils et s’aperçoit que celui-ci la regarde aussi.

Discrètement, elle suit son regard et tombe sur ses jambes.

Sa jupe est relevée, sans doute au moment où elle est entrée dans la voiture et Nicole n’avait pas fait attention.

Peut-être même, qu’ayant trop l’habitude d’en porter, elle ne fait plus attention que le vêtement peut se remonter à tout moment à cause d’un mauvais geste.

Mais, à l’heure du constat, il est trop tard, son fils a même le loisir de voir la lisière opaque beige de ses bas de couleur chair.

Encore deux centimètres plus haut et il aurait pu voir les attaches blanches de son porte-jarretelles et voir même, sa petite culotte en tulles blanches.

Le stress monte, Nicole ressent une sensation bizarre, elle languit pourtant d’être arrivée à la maison.

En attendant, elle prend surtout garde de ne pas trop écarter les cuisses quand elle conduit.

Une fois arrivés, elle attend qu’il sorte pour qu’elle puisse, rapidement, baisser sa jupe et sortir du véhicule.

Louis monte à sa chambre et Nicole s’installe à son bureau en déposant le sac d’échantillons dans un tiroir.

Nicole recherche sur internet d’autres sexologues qu’il y aurait dans le coin, mais, malheureusement, mis à part le docteur Leblanc, le plus proche est à plus de 80 km.

Manque de chance pour la mère de famille, va-t-il vraiment falloir faire avec cette Annie ?

Au repas du soir, Louis et sa mère mangent seuls, Charles, son père, travaillant sur Paris et ne rentre que le week-end.

Toujours aucun échange de mots, Nicole ressent, pourtant, de plus en plus, les regards sur son corps.

Surtout quand elle se lève pour aller à la table de travail, elle passe devant lui, les escarpins noirs claquent sur le carrelage et son fils semble aimer ça.

La sensation de tout à l’heure revient curieusement, son corps semble réagir sous le poids des regards de Louis.

Elle essaye de penser à autre chose, mais après une telle discussion avec la sexologue, cet après-midi, il est difficile de faire autrement.

En tout cas, la remarque des regards de son fils que le docteur lui a parlé, est formelle.

Pourtant, Nicole s’en veut de ne l’avoir jamais soupçonné un moindre instant.

Tout un tas de questions se mélangent en elle :

« Depuis combien de temps, il la regarde comme ça ?

" A-t-il déjà essayé de la voir nue ?

" A-t-elle, par mégarde, laissé voir, plusieurs fois, un peu plus que ses jambes dans la voiture, ou même, a-t-il pu voir sa culotte ?

A-t-il essayé de fouiller dans sa lingerie ?

Et surtout : Sest il déjà masturbé en pensant à elle ? »

La dernière question horrifie Nicole, mais une certaine curiosité de le savoir, la taraude dans son esprit.

Après le dîner, Louis regarde la télé, pendant que sa mère est dans le bureau, en train de réfléchir aux conseils du Docteur.

Les échantillons sont dorénavant sur la table, elle essaye de faire le pour et le contre.

Doit-elle vraiment aguicher son fils pour qu’il puisse enfin éjaculer et pouvoir continuer ses études convenablement ?

La réussite des études de son fils est, pour sa mère, dune importance capitale et c’est ce point qui fait pencher d’un côté la balance.

Elle file dans la cuisine et regarde Louis au loin, en train de regarder les experts sur TF1.

Elle réfléchit comment elle pourrait le stimuler afin qu’il puisse avoir un orgasme.

« Si vraiment, il aime la lingerie fine que je porte, je devrais la montrer, alors ! », se dit-elle, tout en le regardant.

Mais l’important, pour Nicole, est de ne pas faire voir à son fils quelle le fait exprès, simplement pour lexciter, son rôle de mère serait, alors, en danger.

Elle prend donc un magazine sur la table de la cuisine et se dirige au salon et s’assied dans un petit pouf en face de Louis, en serrant les jambes.

Le fait que ses genoux soient plus hauts que son bassin, la jupe tailleur bleu descend jusqu’à mi-cuisse.

Louis jette un coup dil sur elle et retourne à son feuilleton.

Nicole est toute tremblante à l’idée de savoir ce qu’elle va faire dans quelques instants.

Sentant le moment venu, elle écarte légèrement les cuisses, tout en bouquinant le magazine.

Au regard suivant, Louis s’arrête net, le coup dil en vaut la peine.

Malgré l’obscurité de la pièce, il peut s’apercevoir que sa mère a les cuisses qui se sont éloignées l’une de l’autre.

Il ne voit rien, il faut trop sombre, c’est quand même bête.

« Maman, veux-tu que j’éclaire la petite lampe, à côté de moi, tu aurais moins mal aux yeux, non ?

Oui, merci mon chéri ! »

Nicole n’est pas dupe, elle a deviné le but précis de cette demande et commence à découvrir une face cachée, malicieuse, de son propre fils qu’elle ne soupçonnait pas avant aujourd’hui.

La lampe éclaire bien la pièce et Louis croit pouvoir distinguer la lisière des bas de sa maman, mais pourtant pas assez pour y voir bien clair.

Emportée par cette sensation bizarre qui la poursuit depuis tout à l’heure, Nicole écarte encore plus les cuisses. Sous le geste, la jupe remonte automatiquement jusqu’au bassin.

C’est, dorénavant, une vue royale que le jeune homme a en face de lui, il en espérait pas mieux.

La culotte en tulle blanche est parfaitement visible et, dailleurs, les poils sombres, au travers, semblent s’écraser contre le tissu transparent, brodé par des fleures en dentelles.

Les bas chair, tenus par les attaches de son porte-jarretelles blanc sont aussi plus que visibles.

Le membre de Louis se dresse dans son jeans, celui-ci essaye de la cacher, une geste qui n’a pas échappé à sa mère.

« Au fait, Louis ?

Euh…, oui maman ?!!

J’ai réfléchi à ce que m’a dit le docteur, cet après-midi !

Ah…, et qu’allons-nous faire, alors ? »

Louis ne peut plus écarter son regard de l’entrecuisse de sa mère, d’ailleurs, celle-ci en rajoute encore, en dirigeant ses pieds vers lextérieur, ce qui accentue le fossé entre les cuisses.

Nicole est, dorénavant, dans la même position que pour pisser dans des toilettes turques.

Cela permet au jeune homme de s’apercevoir que la culotte du jour est vraiment toute petite et cache, à peine, les parties intimes.

Sans doute à cause de sa position assez originale, quelques poils pubiens ressortent sur le coté du tissu, ce qui accroît lexcitation de son fils.

De son côté, elle fait comme si elle ne le savait pas.

« Je pense que nous allons suivre sa thérapie, qu’en penses tu ?

Euh…, oui…, si tu es d’accord, moi je le suis aussi !

De toute façon, sache que si je fais ça, c’est pour que tu puisses continuer tes études dans de bonnes conditions…, as tu compris ? »

Il hoche la tête en signe de bien entendu.

Nicole s’étonne elle même d’avoir dit tout ça, maintenant qu’elle avait parlé, il était temps de mettre en pratique cette thérapie très spéciale.

Bientôt la suite, si ça vous a plu.

Fantomas

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire