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Mes toutes premières expériences – Chapitre 1

Mes toutes premières expériences - Chapitre 1



Après ma premières aventures avec F……d’autres ont suivies ils n’était pas rare qu’à peine rentré du lycée je ne fonce voir F…..qui toujours seule attendait mon arrivée avec impatience,aujourd’hui contrairement au fois précédente elle ferma la porte à clef.

-Pourquoi verrouilles-tu la porte ?

-Parce que je te réserve une surprise as-tu gouté?

-Oui.Elle me prit alors par la main et m’entraina dans sa chambre où je devais constater que le petit dernier n’était pas là.

-Où est M………d

-Chut il est avec son frère dans l’autre chambre et referma la porte sur nous les volets étaient clos mais munis ce clair voie laissaient entrer une légère clarté.E t je constatais quelle se dévétait entièrement.Jamais je ne l’avais vue nue et là elle apparut telle une déesse à mon jeune regard.Elle était une belle brune au teint mat une taille fine et deux magnifiques jambes,une poitrine sublime aux seins généreux et biens galbés elle m’avoua un tour de poitrine d’un 95C aux larges aréoles brunes surmontés de magnifiques petits tétons qui la faisaient se pamer lorsque je les mordillais en les suçant,une toison non pas brune mais noire bien fournie,et une paire de fesses bien rebordies et douces et fermes à souhait.J’étais là à la regarder.

-Deshabille toi,allez tu n’as pas envie.

-Si mais je regarde ta beauté tu es merveilleuse.Et me prenant dans ses bras elle me serrait contre elle,plus grande que moi j’avais ses tétons à la portée de mes lèvres et je me mis à les téter,les sucer,les mordiller ce qu’elle affectionait le plus car la elle se mettait à mouiller et à jouïr.Elle m’avoua que mème lorsque son petit la téter elle se mettait une protection entre les cuisses pour parrer à ce problème.Nous nous allongeames sur le tapis qu’elle avait préparé pour cela en le protégeant d’une serviette de bain.A ce moment là mon sexe était bien érigé et je n’eus aucun souci pour me loger au fond de sa chatte baveuse,que je me mis à limer comme un jeune chien de plus en plus rapidement de son côté F…. venait à ma rencontre avec de violent coup de son bassin jamais elle ne se donnait de la sorte.

-Vas y…. plus vite… encore… va bien au fond…..Ce que je faisais avec application sortant mon gland et le replongeant dans la fournaise,je sentais ma queue doublait de volume elle mème s’en apperçut et sa main partit s’en rendre compte.

-Oui c’est bon tu es bien gros dans moi vas y à fond me suppliait-elle.Et je redoublais de coup de boutoir sentant mon gland buttait contre le fond de son vagin,elle croisa ses jambes autour de mes reins et me suppliait de la prendre plus fort.J’étais en nage mais ne faiblissant pas je continuais de la limer avec violence et finis par lui cracher tout le venin contenu dans mes couilles au fin fond de sa grotte,alors qu’elle plongea dans l’inconscience avec un petit cri de bonheur et moi je m’affalais sur son corps complètement heureux.Quand nous reprimes enfin nos esprits je lui demandais pourquoi elle me faisait ce plaisir alors que les autres fois elle me permettait de la baiser sans se mettre nue et m’obligeait à jouir en dehors de son ventre.

-Oui j’ai voulu car mon mari arrive demain matin et que je sais pas si il repartira comme cela j’aurais un bon souvenir de toi car s’il ne repart pas se sera fini pour nous tu comprends maintenant mon tésor.

-Bien que je comprends mais je voudrais aussi un dernier cadeau de toi.

-Que veux-tu comme cadeau.Et tout en bafouillant je lui demandais de prendre ma bite sa sa bouche et de me sucer.Elle refusa catégoriquement.

-Non ça je ne peux pas le faire car c’est dégoutant pourquoi veux-tu cela ?.

-Pour savoir mes cousins disent que c’est super.Toujours nu je me remis à bander et elle se mit à me branler doucement.

-Allez suce moi s’il te plait soit gentil….Je ne pus terminer ma supplique car elle venait de se pencher sur ma queue et la prendre entre ses lèvres et se mit à la sucer tandis que de ma main posée sur sa tète je l’obligeais à l’absorber totalement.Je ne fus pas long à me vider en fond de sa gorge,manquant de s’ettouffer elle en avala la quasi totalité.

-C’est pas si déguelasse qu’on le dit mais ce n’est pas une friandise non plus.Non dans notre religion nous ne pratiquons pas ce genre de plaisir,les hommes seuls prennent du plaisir,nous les femmes nous ne servont que pour faire des enfants.Bon il est temps pour toi de retourner chez toi,nous verrons par la suite ce qui se passera peut-ètre qu’il repartira.Après avoir prit congé je regagnais l’appartement de mes parents ma soeur était déjà arrivée,plus jeune de deux ans elle était aussi en avance et accusé une jeune poitrine dont les seins gonflaient bien la blouse qu’elle portait.

-Où étais-tu encore chez F….ma parole tu la baises,je crois que je vais le dire aux parents.

-Si seulement tu fais allusion à quoi que ce soit je dirais à papa que je t’ai vu avec un garcon qui te pelotais.

-Sale menteur tu sais bien que c’est faux et il n’y a rien à peloter chez moi.Et voulant la vexer je me moquais d’elle en disant.

-Oui tu as raison je me demande quel garçon irait faire mumuse avec les noisettes qui te servent de nichons.

-Ce ne sont pas des noisettes mais plutôt des pommes mon cher.

-J’y croirais que si je les vois pour moi ce sont des noisettes.

-Non mais des fois tu crois au père Noël.Et vexer elle bomba le torse pour faire saillir ses deux petits obus

-Ce sont des noisettes?

-Montre comme cela on ne peut pas juger.Me regardant dans les yeux elle me dit

-Et si je te les montre que me donnes tu en échanges.

-Ce que tu veux.Reffléchissant elle demanda.

-Montre moi çà en désignant ma queue.A mon tour je lui dis

-Je veux bien mais tu me montres aussi ce que cache ta culotte.

-Ah non pas çà les tétons je veux bien mais ma fentine pas question.Alors je lui dis qu’elle ne verrait pas ma bite et que tant pis si elle caftait.

-Bon tu regardes seulement toi d’abord montre.

-Non on le fait ensemble.Et elle ouvrit sa blouse ne portant pas de soutien gorge elle arborait il est vrai deux magnifiques pommes et moi je lui présentais ma bite qui se trouvait elle pendante au repos.

-Ah bon ce n’est que çà me dit elle en riant.

-Oui mais elle est endormie mais si elle se réveille elle est bien grosse comme les petits boudins que fait grand mère,et toi montre aussi baisse ta culotte.Elle releva sa jupe et tira sur l’élatique pour dévoiler son trésor,je fus surpris de voir la touffe de poils qui ornait son pubis elle était aussi fourni que moi.

-Et t’es bien poilue petite……Je ne pus finir ma phrase qu’elle me demanda de lui faire toucher ma queue.

-Si tu veux toucher il faut aussi que je touche.Là elle fut d’accord et se saisit de ma queue toute molle et moi je me mis à lui toucher et carresser les nichons ce qui la fit elle frissonner et moi durcir dans sa main.

-Tu vois ce que je te disais un vrai boudin et si tu le carresses bien fort il va grossir bien plus.Et de la mème façon je plaquais ma main à sa motte et insinuer un doigt dans le sillon de sa fente mon doigt s’attarda sur son bouton et le carressa doucement ce qui la fit mouiller immédiatement elle saisit de ma main et m’obligea à stopper mes carresses.Au mème instant à la porte d’entrée les parents arrivaient et nous les entendions rires ce qui nous fit retrouver une tenue correcte en deux temps trois mouvements.Je me précipitais le premier laissant le temps à M-C….de se ressaisir.

-Bonjour papa bonjour maman.M-C…en fit de mème.

Votre travail pour demain est-il fait.

-Oui le mien est terminé et mon carnet de notes est à signer et je suis toujours le premier de ma classe.M-C…..était elle aussi la meilleure et les parents contents ne nous en demandèrent pas plus sinon d’aller à la rencontre de grand mère qui revenait avec D…..notre petite soeur de deux.Une fois rentrés,nous étions à table quand M-C demanda à papa l’autorisation d’aller dormir dans la toile de tente de notre jardin privatif.

-Non tu ne dormiras pas seule au jardin à moins que ton frère te tiennes compagnie.Ce que je refusais aussitôt,cela la contraria et elle fondit en larmes.

-Bon d’accord je viens avec toi ce soir.Elle me remercia et continua son souper.Une fois terminé nous fimes notre toilette et après avoir passer nos tenues de nuit,souhaiter une bonne nuit à tout le monde nous descendimes au jardin.L’un et l’autre nous pénétrames dans la toile après avoir disposer nos duvets cote à cote, je fermais la toile et nous étions allongés sur les duvets il faisait assez chaud et il était inutile de se couvrir.Nous discutions gentiment lorsque nous entendimes maman,elle venait nous rendre visite pour nous demandez si tout aller bien.Une fois rassurer elle quitta le jardin.Voila une heure que nous étion allongés et ce fut M-C……qui engagea les hostilités.

-Bon et ne profites pas que je dorme pour me peloter compris?

-Oui bonne nuit bébé lui dis je en lui faisant la bise.Aussitôt elle s’endormit j’en fus conscient car elle se mit à ronfler,j’allais pouvoir me masturber tranquillement ce que je faisais assez régulièrement deux ou trois fois par semaine.Ayany libérée ma bite je me carressais doucement lorsque la recommandation de M-C me revint à l’esprit me tournant vers elle.Elle me tournait le dos et sa chemise de nuit étant remontée elle m’offrait son postérieur et je devais aussi constater qu’elle avait oté sa culotte,je tentais un effleurement de ma main sur son cul,aucune réaction je laissai ma min s’infiltrait sous sa chemise en direction de ses petits nichons qui étaient superbement gonflés et durs j’étais le premier garçon à les toucher,je me mis à bander comme un ane,abandonnant ses seins je saisis ma bite et le gland décalotté je le guider dans le sillon de ses fesses ce qui la fit réagir et se mettre à plat dos.Elle avait les cuisses entrouvertes et je plaquais ma main sur sa motte et renouvellais la caresse d’avant le repas.Elle se réveilla brusquement.

-Cochon tu profites de mon sommeil.J’avais toujours mon doigt dans le sillon de sa fente et je lui caressais le clito cela la fit réagir elle ferma les cuisses et ma main se trouva prisonnière,mon doigt lui ne cessait de lui astiquer le bouton elle mouillait abondemment et moi je bandais dur.Le bout de ma queue était tout contre son anus,l’endroit était tout aussi humide que sa fente je poussais légèrement engageant le gland dans son boyau elle poussa un petit cri.

-Aïe tu me fais mal arette et en disant cela voulant aussi se libérer de cet envahisseur elle fit un faux mouvement et ce fut elle qui s’empalla sur ma bite en poussant un cri plus important que le précédent.Craignant que quelqu’un n’ait entendu je stoppais l’investigation de ce cul que je repris une fois l’alerte terminée.Je me remis en mouvement ressortant presque totalement et m’enfonçant jusqu’à la garde,le moment de surprise passé M-C…..venait elle mème à la rencontre de mon noeud.La position que nous avions étant contraignante je ressortais de son boyau pour la positionner à genoux et je replongeais aussitôt pour n’en sortir qu’après avoir envoyé trois ou quatre bordées de foutre dans ses intestins.Quand tout fut terminé et nous ètre nettoyés avec les kleenex nous nous endormimes jusqu’au matin.

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