Mon Amour,
Ce soir, je suis seul et je n’ai jamais eu aussi envie de toi…
Je t’imagine, là, debout devant moi alors que je suis assis sur mon canapé.
Tu es habillée avec une chemise blanche, légèrement décolletée, et une jupe noire par-dessus tes bas noirs.
Tu me regardes d’un il coquin et, lentement, tu déboutonne ta chemise, laissant petit à petit découvrir ta peau blanche.
Ton dernier bouton défait, tu fais glisser négligemment ta jupe à tes pieds. Tu sais me plaire…
Alors, je me lève, m’approche de toi ; en te prenant les mains, je t’embrasse tendrement.
Tu relèves la tête afin que je pose mes lèvres dans ton cou. En quelques baisers, je fais le tour pour me retrouver derrière toi.
Tes soupirs de satisfaction m’encouragent à faire tomber ta chemise de tes épaules.
Mes bras t’enlacent, mes mains te caressent. J’ôte tes bretelles du soutien-gorge et t’embrasse les épaules.
Je dégrafe ton haut de dentelle pour libérer ta généreuse poitrine que j’aime tant.
Je fais rouler tes tétons qui pointent déjà entre le pouce et l’index. Tu gémis de plaisir.
Je passe délicatement la paume des mains sur ton ventre et descends ensuite sur tes petites fesses.
Je glisse mes mains entre ta peau et le tissu de ta petite culotte. M’agenouillant, je la tire vers le bas pour te mettre entièrement nue.
Je me relève et te susurre à l’oreille de te tourner face à moi.
Enlacés l’un et l’autre, nos lèvres se rencontrent, puis nos langues roulent doucement.
Tu entreprends de me déshabiller. D’abord le T-shirt, ensuite mon short, tout en me couvrant de baisers.
Tu poses tes mains sur mon sexe durci par le désir au travers de mon caleçon.
Tu t’agenouilles, baisses mon sous-vêtement pour découvrir ma verge au garde-à-vous.
Tu la prends entre tes doigts et la mets dans ta bouche. J’adore quand tu me prodigues une fellation : je sens que je ne me contrôle plus
J’en ai des frissons qui convulsent le long du corps, surtout quand tu donnes des petits coups de langue.
Tu te relèves, te diriges vers la table du salon, t’assois dessus et me demandes de m’approcher.
C’est à mon tour de me baisser. J’écarte doucement tes jambes et commence à lécher ton clitoris tout dur.
Tu es déjà toute mouillée. Je titille ton clito avec ma langue, d’abord doucement, puis de plus en plus vite.
N’y tenant plus, tu me demandes de te prendre là, sur la table du salon. Je m’exécute immédiatement ; j’ai trop envie de toi !
Je pose mon gland à l’entrée de ton vagin humide et chaud. Puis je pénètre doucement.
Je suis bien en toi. Je commence des mouvements de va-et-vient en accélérant le rythme au fur et à mesure de l’acte.
De plus en plus vite et de plus en plus loin. Tes petits cris de plaisir m’excitent.
Je te demande alors de te retourner. Cette position m’excite énormément. En te voyant te toucher le clito, j’ai envie d’être plus sauvage.
Tu me donnes envie de faire du sexe avec toi. Ma bite est prête à exploser.
Je sens que je vais vite venir. Je te murmure que je vais jouir.
Tu me réponds que tu es à moi, que je te prenne toute.
Les spasmes secouent mon corps pendant que le liquide chaud se répand en toi et que ton orgasme fait se resserrer tes jambes.
J’ai l’impression de voir un ciel étoilé. La fièvre redescend tout doucement ; notre étreinte s’achève.
Merci, mon Amour, de me donner autant de plaisir.
Je t’aime.