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Gentils Médors – Chapitre 4

Gentils Médors - Chapitre 4



Je suis aux anges, depuis le temps que jen rêve, je vais enfin sentir son sperme me remplir le cul. Je me lubrifie la rondelle avec de la graisse chauffante, jen met un petit peu sur lanus de Paul. Médor a lair de simpatienter, je suis sûr quil comprend ce qui va se passer. Jétale une couverture, me met à quatre pattes, Médor sapproche de moi, je lui saisis le collier pour laisser le temps à Paul de me pénétrer. Paul se positionne derrière moi. Je sens sa bite senfoncer lentement en moi. Il se couche sur mon dos en bougeant à peine. Soudain, je vois les pattes de Médor au niveau de ma poitrine, il lui est monté dessus. Dun seul coup Paul est secoué par de violents coups de butoir. Médor le baise sauvagement.

Putain que cest bon, ma bite dans ton cul et mon cul défoncé par une grosse bite de chien. Je ne vais pas tarder à jouir.

Effectivement, il jouit assez vite, mais je men fous, jai ce que je voulais, sa grosse bite qui se vide en moi. Je sens ses puissants jets de sperme minonder le conduit anal. Médor simmobilise.

Putain, il me remplit le fion, ça déborde.

Ne ten fait pas, je vais men occuper.

Au bout de quelques minutes, Médor se retire et va se coucher sur sa couverture. Paul est resté à quatre pattes. Je vais derrière lui et commence à lui lécher lanus encore ouvert en glissant ma langue dans sa rondelle.

Je savais que tu aimais le sperme, mais pas à ce point.

Je continu sur ses cuisses couvertes du sperme de Médor pour finir sur son sexe doù coule encore un peu de sperme. Je regrette de ne pas être assez souple pour aller chercher son sperme dans mon cul. Nous nous levons et allons prendre une douche. Nous nous lavons ensemble, je frotte la peau de Paul en insistant sur les fesses et le sexe. Evidemment, il se met à bander. Je lui gobe tant bien que mal la bite, elle est vraiment trop grosse, mais ce nest pas ce qui mintéresse, je veux lavoir de nouveau en moi, je veux sentir son gland me défoncer le sphincter. Je coupe leau, menduit le fion de gel douche. Je me retourne pour lui présenter mon cul.

Sil te plait.

Tu en veux encore un petit coup ?

Oui, même un grand.

Ok.

Il magrippe les hanches et présente sa bite à lentrée de mon fion. Il pousse doucement, son gland écarte le sphincter qui se laisse faire, il est bien souple maintenant. Je sens ses couilles sur mes cuisses. Il donne des coups de rein, lentement et très profondément. Jadore sentir ce monstre glisser dans mon cul pour me donner du plaisir. Je bande et Paul me saisit la bite pour me masturber lentement. Je mabandonne au plaisir dêtre possédé par cette superbe bite qui me dilate le conduit anal. La pression monte, mon corps commence à sentir les prémices de la jouissance. De même pour Paul, son rythme saccélère, sa bite frémit, pour finir par se vider en moi ce qui déclenche mon propre plaisir. Quand nous nous sommes un peu calmés, je prends sa bite ramollie en bouche pour lui en extraire les dernières gouttes de sperme.

Insatiable, tu es insatiable.

Jadore le sperme.

Nous finissons par sortir de la salle de bain, Médor est dans son coin, il se fait tard et Paul rentre chez lui. La soirée se termine normalement, Médor me prend deux fois juste avant daller se promener vers minuit. Je ne me suis pas lavé et mes cuisses ruissèlent de sperme. Personne ne sen rend compte. Nous passons une bonne nuit jusquà huit heures, heure à laquelle je vais le promener. Les journées se passent bien, plage avec Guy, Serge, Paul et Claude le matin ou je me fais prendre par Paul tous les jours sans préservatif. Jadore le sentir se vider en moi. Laprès-midi, cest souvent une séance avec Médor qui commence à y prendre goût, à tel point que je suis obligé de le calmer quand je vais le promener, il baiserait tout ce qui passe à côté de lui. Jai fini par lui faire comprendre que ce nétait quà la maison ou sous le figuier quil pouvait se laisser aller.

Arrive le vingt-cinq juillet date à laquelle débarque Gabrielle vers seize heures. Elle est seule, sans Elodie ni Médor 1. Je suis seul, Serge et Guy promènent Médor avec Fidèle qui nest plus en chaleur. Ces deux chiens sentendent très bien.

Tu es seule ?

Oui, Elodie est sur une exposition, mais je ne pense pas rester, ma location a été annulée, jai complètement oublié de payer le second acompte. Ils me lont dit que quand je suis arrivé. Lappartement que je devais occuper est pris par des bataves. Ils voulaient me louer un autre appartement mais beaucoup plus cher, jai refusé. Je suis à la rue, je retourne à la maison.

Comment se fait-il que tu naies pas Médor avec toi.

Je ne pouvais pas lamener à lappartement, cest interdit, Elodie le garde, mais je vais mennuyer sans lui, jai besoin de son affection.

Dis plutôt de son sexe.

Si tu veux.

Ok, ici, jai de la place, jai une chambre inoccupée, tu pourrais y rester un peu.

Cest gentil de ta part, mais comme je te lai dit, jai besoin de Médor.

Tu as besoin de Médor ou dun Médor.

Et je dois comprendre ?

Juste quici il y a un Médor, un gros Médor.

Un chien ?

Un dog allemand.

Un dog allemand, mais cest énorme.

Oui, et sa bite aussi.

Tu las dressé ?

Si on veut, il sait très bien soccuper de moi, mais la différence avec le tien, cest quil est nettement mieux monté et quil est pratiquement infatigable. Il lui est arrivé de me baiser cinq fois, tout en soccupant de trois autres personnes. Cest une bête de sexe.

Il me tarde de le voir, tout compte fait, je crois que je vais rester un moment avec toi.

Très bien, vas chercher tes affaires, je sors des draps pour toi, et puis déshabille-toi, tu es dans le quartier naturiste du Cap, tout le monde doit être à poil ici, nous faisons la guerre aux textiles qui viennent, il y en a de plus en plus, cest chiant tous ces voyeurs.

Elle se déshabille et sort chercher ses affaires. Entre temps, Serge et Guy sont de retour, ils laissent Médor et sen vont car ils sont attendus chez des amis. Je reçois un coup de téléphone dElodie qui narrive pas à joindre Gabrielle. Je lui explique la situation, elle me dit être très contente pour elle et massure que je peux faire ce que bon me semble avec elle, elle nest pas jalouse, surtout de moi. Comme je sais quElodie ne restera pas inactive pendant labsence de Gabrielle, je nai plus de scrupules. Je prépare le lit de Gabrielle quand elle arrive. Médor va vers elle. Elle connait bien les chiens et va à sa rencontre pour le caresser. Il se frotte à elle, le contact est établi. Il pose sa truffe sur son pubis. Il sent son odeur de femelle, je suppose quelle commence à mouiller un peu à lidée de ce quelle pourrait faire avec lui, ce qui doit affoler les sens de Médor. Gabrielle est une accro du sexe, surtout avec un chien, elle pose ses affaires par terre et se met à quatre pattes. Médor nattendais que ça. Il passe derrière elle, lenjambe et donne de grands coups de rein. Je mapproche pour laider quand il trouve le chemin, mais ce nest pas celui quelle attendait, il a lhabitude de sodomiser des hommes, il na jamais baisé une femme, il lui défonce la rondelle.

Ah le salaud, il mencule, il sest trompé de cible.

Tu naime pas.

Oui, mais je suis un peu sèche dans ce trou.

Je vais prendre de la graisse et me débrouille pour en enduire le fion de Gabrielle.

Merci, ça va mieux.

Médor la défonce de toute sa puissance, il simmobilise, lui introduit sa boule et se vide en elle.

Oh la la, il va me remplir, ça va déborder.

Je te confirme que ça déborde.

Elle se caresse le clitoris et finit par avoir un formidable orgasme. Elle sécroule par terre, Médor la libère, mais il continu déjaculer. Je me précipite pour avaler ce qui lui reste de sperme. Gabrielle me regarde étonnée, mais elle ne semble pas choquée.

Tu aime le sperme.

Ça, tu peux le dire, jadore le sperme, et ne bouge pas, je vais te nettoyer.

Je viens vers elle, me glisse entre ses jambes pour atteindre son fion et la nettoyer avec ma langue. Je fini sur sa vulve, elle se met sur le dos et écarte les jambes. Je remonte sur son clitoris, le lèche, le suce, laspire, le mordille jusquà ce quelle explose dans un formidable orgasme. Ce faisant, je suis à genou, ce que Médor interprète mal. Il se glisse sur moi et mempale de son vit dur comme du bois. Je suis secoué comme un prunier par ses coups de butoir, mais il finit par simmobiliser et se vider en moi. Au bout de quelques minutes, il me libère. Cest le moment que choisi Gabrielle pour se glisser derrière moi et me lécher la rondelle entrouverte.

A moi de te rendre la politesse. Je ne savais pas que lécher un cul pouvait être si agréable.

Oui, mais je cherche surtout le sperme.

Moi aussi, jaime le sperme et je compte bien boire le tien.

Cest quand tu veux, mais maintenant je demande une pose, je suis un peu fatigué.

Rassure-toi, moi aussi.

Elle finit de ranger ses affaires et nous sortons pour aller faire des courses. Je rencontre des amis, Gabrielle samuse à se faire passer pour ma compagne. Ce sont des « chéri », « mon cur » en veux-tu en voilà. Ça me fait bien marrer, mais je rentre dans le jeu. Quand nous arrivons à lappartement, Médor nous fait la fête, je ne sais pas à qui il la fait plus particulièrement, mais il va de lun à lautre en nous faisant comprendre son plaisir de nous revoir. Il se frotte à nous, pose de temps en temps sa truffe sur le pubis de Gabrielle ou entre mes fesses, mais il finit par soccupe de plus en plus de Gabrielle. Elle ne peut résister plus longtemps, un tel chien qui vient se frotter contre elle, qui pose sa truffe sur ses lèvres intimes, sur ses fesses, ça la fait réagir. Le chien sent très bien quelle libère son liquide de chienne en chaleur, sa bite sort de plus en plus. Elle se met à quatre pattes.

Vient mon chien, vient prendre ta chienne, mais ne te trompe pas cette fois-ci, vise la chatte, défonce moi le minou.

Médor se met derrière elle et commence à lui lécher la vulve et lanus.

Oui mon chien, oui, donne du plaisir à ta chienne.

Au bout dun moment, il se met en position et donne un grand coup de rein. Sa bite trouve le bon chemin et senfonce dun seul coup dans son sexe jusquà la boule.

Oui, comme ça, oui tu as trouvé mon nid damour, ha quelle bite, quelle bite, vas-y mon chien, vas-y, défonce moi.

Médor est en grande forme, il la défonce à une vitesse folle. Il finit par donner un dernier coup de rein pour simmobiliser et se vider en elle.

Ho lala, cette boule, quel pied, je vais jouir, je vais jouir, vas-y mon chien, vas-y, rempli moi, jaime.

Sa main va vers son clitoris, son doigt sanime sur son petit bouton. Son corps commence à être pris de convulsions, elle se raidi et part dans un extraordinaire orgasme. Elle pose sa tête sur le carrelage tout en laissant son cul en lair. Médor continu de se vider en elle. Au bout dune minute, il recule et se libère. Il va dans son coin pour se coucher sur sa couverture et se lécher consciencieusement la bite. Moi je me jette sur le sexe de Gabrielle, qui sest couché au sol, pour le nettoyer ainsi que ses cuisses maculées de sperme. Ma langue sactive sur sa vulve, ses cuisses, son anus, lisse lui aussi, ses lèvres pour finir sur son clitoris. Elle finit par exploser dans un violent orgasme. Quand elle revient à elle, elle se lève, me prend par la main, mallonge sur le divan et se penche sur mon sexe raide comme un bout de bois. Sa bouche me gobe la bite. Je suis étonné de sa technique, elle me pompe comme une pro, sa langue me titille le gland, me lèche le membre, ses dents me mordillent le bout du gland, et elle maspire comme pour me gober. Je finis par me lâcher et me vider en elle. Elle avale tout sans la moindre gêne, on sent quelle nen est pas à sa première pipe et quelle aime ça.

Tu es un génie de la pipe.

Tu sais, tu nes pas mon premier mec à qui je fais ça, de plus, jadore sentir ce membre raide dans ma bouche et ces jets de liquide aqueux et bien chaud menvahir la bouche. Et jespère que tu ne seras pas le dernier.

Dommage quElodie ne soit pas comme toi. Jaurais bien aimé faire un bout de chemin avec elle, voire plus.

Je sais, elle ma parlé de toi, et des sentiments que tu avais pour elle, mais elle na jamais connu dhomme, et elle veut continuer comme ça, elle ma dit une fois quelle voulait mourir vierge. Ce qui nempêche que cest une belle salope au lit.

Tel que je la connais, je men doute.

Bon assez parlé dElodie, si on préparait à manger.

Ok.

Cest à ce moment que je vois que Serge et Guy nous observent. Je le fais remarquer à Gabrielle qui semble un peu gêné par le fait que ces deux hommes lont vu se faire prendre par Médor et lécher par moi, mais je la prends par la main et lamène sur la terrasse.

Gabrielle, je te présente Serge et Guy, mes voisins de longue date, mes amis.

Enchanté mademoiselle.

Bonjour Gabrielle.

Elle est rouge de confusion.

Bonjour messieurs.

Ne vous en faites pas mademoiselle, nous avons nous aussi pratiqué et je vous avoue que jai beaucoup aimé ça.

Moi aussi, et je naspire quà recommencer, mais il faut laisser Médor se remettre.

Gabrielle se détend, son visage sillumine, elle sourit.

Je suis confuse de faire votre connaissance de cette manière.

Ne le soyez pas, cétait un très beau spectacle, mais vous semblez avoir une certaine expérience.

Oui, je pratique déjà depuis plusieurs années, jai moi-même un labrador qui soccupe très bien de sa maîtresse. Bon, je crois quà ce point, nous pourrions nous tutoyer, je naime pas beaucoup tous ces « vous ».

Serge et Guy acquiescent, je leur propose de se joindre à nous pour lapéro. Ils acceptent avec plaisir. Trente secondes plus tard, ils sont chez moi. Je sers les apéros, lambiance est à la fête, nous sommes en vacances et tout va bien. Médor se mêle à la fête et vient nous renifler tour à tour. Gabrielle triche un peu en ouvrant ses cuisses pour quil puisse sentir quelle nest pas indifférente à ses avances. Immédiatement, sa bite sort légèrement de son fourreau.

Je crois quil veut honorer ton invitée.

Cest le moment que choisi le téléphone de Serge pour sonner. Cest un couple e leurs amis homos qui leurs rappelle quils sont invités et attendus. Je suis un peu déçu quils partent, je me préparais à une soirée un peu partouze. Une fois seuls, Gabrielle se penche vers moi et me prend la bite en bouche. Elle se redresse pour finir bien raide.

Tu sais, jai bien aimé me faire enculer par ton chien, il a une bite fantastique, mais ce que jaimerais le plus, cest me faire baiser par toi pendant que Médor me défonce le fondement.

Et tu comptes ty prendre comment ?

Nous mettons ces dossiers du divan sur le carrelage, ils sont assez étroits et durs pour nous supporter sans gêner Médor. Tu te couches sur le dos, je mempale sur toi à plat ventre et je suis sûre que Médor en profitera pour me le mettre dans le fion comme tu dis.

Je pense que ça peut marcher.

Gabrielle pose deux dossiers du divan sur le carrelage, heureusement, ils sont plats. Je mallonge sur le dos dessus et me calle bien. Gabrielle soccupe de remettre ma bite en forme avec sa bouche, une fois ma bite bien raide, elle sallonge sur moi, présente sa vulve sur mon gland et se fait glisser jusquaux couilles, elle dégouline de cyprine. Médor sagite autour de nous. Quand Gabrielle est bien en place, elle tape un peu sur ses fesses. Médor passe derrière elle, pose sa truffe sur ses fesses, sent lodeur de la cyprine et savance pour présenter sa bite entre ses fesses. Je sens sa bite taper contre mes couilles, mais elle glisse vers le haut et senfonce dans les entrailles da Gabrielle quand je réussi à lui écarter les fesses pour mieux libérer le passage.

Ça y est, il me la mis.

Je sais, je le sens au travers de ta paroi, je sens sa bite senfoncer en toi, il me masturbe en même temps.

Médor donne de grands coups de reins, jessaye de donner des mouvements de va et vient à ma bite, mais ce nest pas très facile, Gabrielle est sur moi et pèse de tout son poids. Je sens sa bite glisser le long de la paroi et frotter sur la mienne, jai limpression dêtre masturbé avec un bâton qui glisse le long de ma bite, ça a leffet de mexciter encore plus. La conjugaison des grands coups de butoir de Médor, associés à mes légers mouvements font que Gabrielle part dans un premier orgasme juste au moment où Médor lui enfonce sa boule et commence à se vider en elle. Je sens ses jets de sperme la remplir, je suis au bord dexploser, mais je me maîtrise, je ne veux pas jouir maintenant, je veux quelle me sente un peu et si je joui en même temps que Médor, je ne fais pas le poids.

Hhhhhhaaaaaa, oui, oui, oui, je meurs, je meurs, hhhhhhaaaaaa je meurs, encore, encore.

Elle sexprime bruyamment, mais je nen ai cure car nous sommes dans un lieu ou entendre des personnes exprimer leur joie de jouir nest pas rare, et tout le monde sen fout. Elle sagrippe à moi, pose ses lèvres sur les miennes et membrasse passionnément, ce que je lui rends bien volontiers. Mes mains parcourent ce qui reste daccessible de son corps. Une dentre elles se glisse entre nos deux corps pour arriver sur le clitoris. Mon majeur sactive sur son petit bouton. Deux minutes plus tard, elle repart dans un nouvel orgasme en membrassant une nouvelle fois. Je me libère et laccompagne en lui remplissant le plus possible le vagin. Médor sest complètement vidé en elle et se retire. Sa boule fait un bruit toujours aussi saugrenu dans de telles circonstances. Maintenant que nous sommes que tous les deux, je marrange pour la faire mettre sur le dos, lui écarter les jambes et récupérer tout le sperme qui coule de son sexe comme de son anus, celui de Médor, comme le mien. Ma langue passe de sa vulve à son anus, passe par les cuisses, redescend entre les jambes pour titiller le périnée et remonter sur le clitoris, ce qui finit par lui donner un nouvel orgasme. Quand je juge quelle est bien nette, je me lève et laide à se lever. Je remets les dossiers et linstalle sur le divan, allongée sur le côté. Elle est un peu stone. Je prépare à manger suivi par Médor qui réclame sa gamelle, lui aussi doit récupérer des efforts fournis dans la journée. Inutile de dire que Gabrielle na pas dormi dans le lit que je lui avais préparé.

Gabrielle est restée quinze jours chez moi, ça na été que baise, partouze avec Serge, Guy, Paul et Claude, séance de zoophilie avec Médor et tout le monde. Elle a même expérimenté la « Baie des cochons », une plage que je considère comme le plus grand bordel à ciel ouvert du monde ou elle a fait lamour avec des hommes, des femmes, les deux en même temps. Elle est repartie épuisée mais heureuse. Quelques jours plus tard, jai reçu un coup de fil dElodie qui me disait être très contente que ça se soit bien passé entre nous. Elle me dit que maintenant, Gabrielle est aussi disponible pour moi, quelle maime bien et veut que nos relations continuent. Je suis retourné chez moi et nous avons repris nos petits ébats avec les Médor, un coup chez elle, un coup chez moi. Pourvu que ça dure !!!!

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